Les aventures de Françouais



Chapitre 6 - Boire un petit coup c'est fou

 
 

FRANCOUAIS ROUPILLAIT dans la niche du chien. Depuis quelques semaines, il avait du mal à se remettre de sa détention Parisienne et surtout de son enlèvement et rapatriement à Saint Saturnin les Bains. Il ne supportait plus de dormir avec quelqu’un, donc il faisait chambre à part avec belle maman qui se contentait plus encore des bites environnantes.

Le cabot dans un premier temps avait élu domicile dans le pucier de la vioque mais après une première nuit blanche passée avec elle, il préférait aller roupiller peinard dans la paille de la grange.

Françouais qui dormait paisiblement sous les rayons tamisés du soleil, se prit un ballon de foot en cuir dans la gueule. Il se réveilla donc de mauvais poil le nez pissant de sang. Il poussa une gueulante qui ne fit même pas tressaillir la racaille Saint Saturnoise qui en avait vu d’autres. De rage il se dressa sur ses guiboles blanchâtres desquelles dégueulaient des poils et des croûtes. Il shoota comme un forcené dans le ballon, s’éclata les orteil en poussant une nouvelle gueulante et explosa les carreaux de la porte d’entrée du vieux con d’en face. La racaille morte de rire ramassa le ballon et alla sous d’autres cieux foutre la merde.

De la maison d’en face se firent entendre des menaces de mort. Un vieil hirsute, mal rasé et à moitié dépenaillé pointa le bout de sa pétoire. François qui pourtant n’avait aucune notion de combat de rue eut le réflexe de plonger derrière la niche car l’orage allait éclater. Plusieurs caisses de cartouches y passèrent, des détonations à tout va retentirent. Une épaisse fumée envahit la baraque du vieux mais cela ne l’arrêta pas. Il dégomma la quasi intégralité des pots de fleurs de belle maman ce qui fit hurler de rire Françouais.

Puis la quiétude revint, le vieux était calmé. En fait la fille au pair de la maison c’était sacrifiée et lui faisait une pipe. Il lâcha son fusil qui en tombant lâcha une nouvelle détonation qui alla mourir en direction de l’autoroute. La fille au pair lui mordait à pleines dents les baboules, les masticotait et cela faisait bander mou le vieux qui souriait bêtement. Peu après au moment d’envoyer la purée, il ne put se retenir de chier ce qui déconcentra l’effrontée qui cessa toute activité de glandosussion pour aller vomir par la fenêtre.

Françouais ramena sa fraise, ou plutôt son gland en direction de la fille au pair qui était depuis des mois déjà nourrit aux glands. Elle lui fit une pipe avec dents ce qui changeait vu la moyenne d’âge des vicelardes du bled. Le vieux qui fulminait car c’était sa fille au pair recherchait activement sa pétoire pour farcir le derche de Françouais de plombs tout frais. Françouais fut le plus rapide, il remballa sa quincaillerie s’essuya le bras constellé de vomi de la veille, aux rideaux et prit congé.

Il marchait tel un cow boy dans la rue, il était à l’affût du moindre cul à bourrer et de la moindre boutanche à descendre. Il aperçu un cul de bouteille oh comble de la jouissance et se jeta dessus. ‘Tain la boutanche était vide et Françouais attendit qu’un vieux armé de cannes passe pour la lui balancer dans les pattes. Une fois le vieux à terre avec un col du fémur, un tibia et un péroné cassés, Françouais reprit son petit bonhome de chemin.

Il s’arrêta devant le poulailler de la mère Demi histoire de vérifier s’il était toujours aussi bon au lancer de galets. Quelques jets plus tard et quelques carreaux en moins, il y avait toujours autant de poules qui gambadaient ça et là. Il repartit en pestant, il mettait sa méforme sur le compte du fait qu’il n’était pas bourré. Il passa devant la cabane à chiotes du père Bazzzin ce vieillard acariâtre qui forçait comme d’hab comme un taré et donna un coup de pompe dans la porte en guise de salutations.

- Sacré vingt dix dioux pus moyen de caguer tranquille dans le pays ? L’autre jour je caguais derrière l’usine de produits chimiques lorsqu’un camion benne est passé nom dix dioux à fond dans une flaque de boue. La Gertrude m’a enguirlandé le soir nom dix dioux parcequ’elle pensait que j’avions encore cagué dans mon ben. Nom des dieux, elle n’a jamais voulu croire mon histoire, maintenant elle est sous perfusion à l’hôpital, ça lui apprendra à cette vieille pute vierge, nom dix dioux d’vingt dix dioux. Z’allez voir si j’me relève et que’j vous chope, vos fesses vont rougir sous mes coups de cannes.

- Te fatigues pas vieux c’est moi Françouais.

- Ah ben dix dioux d’sacré plaisantin d’Françouais, toujours la p ‘tite blague pour rire.

- Je t’en commande un ?

- Oh vingt dix dioux, sa fait bien dix minutes que j’me suis rien envoyé dans le cornet, un double vingt dioux.

- Ca marche répondit Françouais en pressant le pas en direction du troquet.

- ‘lu lâcha t-il après avoir balancé un coup de pompe dans la porte afin de l’ouvrir.

- ‘lu répondirent-ils en chœur après le tintamarre de la porte qui claque.

- Un double et un triple.

- ‘Pa garde j’ai le kiki tout dur brailla Fiston en sortant des cagoinces en exibant fièrement l’objet.

- Qu’il est con répondit Françouais.

Fiston ne se démonta pas, il alla montrer son sguegue à qui volait le voir. Certain lui prodiguèrent de savants conseils pour le garder ainsi. Une heure après alors que le père Bazzzin ce vieillard acariâtre et Françouais se déchiraient à l’éthanol pur, un concours de branlette était organisé.

Une Dauphine dans un tintamarre cauchemardesque pila devant le troquet. Une furie en bigoudis, armée d’un cabas et de la pétoire de son voisin bondit hors de la caisse. Personne dans un premier temps n’y prit garde. Elle fit voler en éclats la porte.

- Il est ou cet enfoiré, il est où ? gerba t-elle en rentrant.

- Qui ? répondit docilement le patron du troquet qi en avait déjà vu beaucoup plus.

- Françouais, cet immonde abruti qui vient de me ruiner mes géraniums à faire du tir au pigeon.

- Même pas moi conasse, c’est le vieux d’en face qui en avait après les gamins que tu protège.

- Ils sont très gentils ces petits, ils viennent souvent me débloquer la charnière et je peux te dire que cela me fait un bien inouï. Si je devais ne compter que sur toi, cela fait bien longtemps que je ne me souviendrais plus comment l’on fait.

- Ta gueule vieille pute répondit Françouais en lui crachant à la gueule.

Sa plus faire attention à elle qui le tenait toujours enjoue avec la pétoire. De plus il largua une caisse en continuant sa conversation sur les porcs d’Eude qui chiaient près de la source ce qui donnait un goût bizarre au pastis par la suite.

Belle maman, se rendit compte que la plupart de l’assistance ainsi que son fiston avait le chibre à l’air. Elle donna un coup de crosse sur le chibalow de fiston qui partit en hurlant se planquer dans les chiotes. Son fiston n’étant plus là elle pouvait profiter de cette manne foutresque. Elle déposa délicatement ses affaires et entama un streap tease à vous couper la chique. Les vieux en oubliaient leur pastagua au goût de lisier et se branlèrent assidûment. Des myriades de mouches arrivèrent à l’odeur des frusques sales encore humide suite à l’aventure avec Albert. Les bestioles se battaient pour butiner alors que fiston hurlant toujours dans les chiotes n’était pas là pour les manger. Lorsqu’elle fut à poil et que le spectacle était quasiment insoutenable, Françouais imperturbable tapait du poing sur le zinc en jurant qu’il irait lui-même sodomiser les porcs d’Eude s’il ne les parquait pas ailleurs.

Belle maman ondula son corps autour de la pétoire, l’érotisme de la situation était quasi insoutenable et seul une horde de supporters de la première heure se branlaient assidûment. Elle frotta sa vulve sur le canon et se l’introduisit. A ce moment une salve de sperme gicla de concert dans l’espace et retomba sur elle maman qui la bouche ouverte implorait les dieux et la magie des couilles qui s’entre choquent en se vidant. Une fois que tous les fans eurent envoyés la purée, elle se roula par terre en poussant des cris aigus.

Comme ils étaient trop alcoolisés pour pouvoir rechargé avant quelques heures, ils lui introduisirent des doigts à foison. Ah qu’elle était heureuse la bougresse la bouche ouverte prête à avaler le moindre prépuce décalotté mollasson.

- J’irais les rendre zoophiles comme cela ils n’engrosseront plus les truies braillait de son côté Françouais qui en avait toujours après les porcs d’Eude.

- J’prendrais bien un autre coup dit le père Bazzzin ce vieillard acariâtre en tapant sur le zinc avec son cul de gobelet.

Une fois les glaudes calmés, belle maman ramassa ses frusques, son cabas et sa pétoire. Elle prit en arborant un déhanchement à faire pâlir une pute sur le retour et se dirigea vers les chiotes. On entendit un raffut d’enfer alors que chacun se reculotait ou commandait une nouvelle consommation. Visiblement fiston passait un sale quart d’heure, elle le chopa par le cou, le força à se mettre à genou et à dégobiller le contenu d’une cuvette qu’il venait de se siffler.

Elle lui brossa les dents avec un balai à chiote et de l’harpic, puis le rinça sous des torrents de chasse d’eau. Quand fiston fut tout propre, elle lui balança un grand coup de pompe dans les couilles pour le punir. Il avait de la buée sur les lorgnons qu’elle venait de lui visser sur le groin. Il braillait comme un veau et en se débattant, déchira son string reconstitué en paille de sombrero. Son sang ne fit qu’un tour et elle lui éclata la gueule sur une cuvette. Du sang et des dents giclèrent mais cela ne l’arrêta pas. Fiston se prit des bourrades dans la gueule et sur le corps du même acabit que lorsqu’il se retrouvait au beau milieu de la mêlée lorsqu’il faisait le ballon quand il jouait a rugby.

Il finit par trouver la sortie et s’y engouffra, l’air était devenue décidément trop saturée pour continuer à jouer tranquille dans son lieu de prédilection. Lorsqu’il passa devant les glaudes qui continuaient la picole, cela répandit un délicieux parfum de produits de nettoyage de sanitaires qui dépareillait sévère avec l’odeur de vinasse environnante. Il se précipita dehors et au passage dissimula dans la cuvette de la cabane du père Bazzzin ce vieillard acariâtre, un bâton de dynamite qu’il allumerait le temps voulu.

Belle maman se lava et en profita pour se masturber, elle en avait eu pour son argent.

- On appellera l’armée s’il le faut et ils nous aideront à sodomiser les porcs d’Eude gueulait toujours Françouais face à son comptoir en le martelant du poing.

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