Les aventures de Françouais



Chapitre 1 - Un doigt de pouésie


 
 

ALBERT DUGLARD un célèbre pouète en mal d’inspiration avait spécialement choisit Saint Saturnin les Bains pour se remettre les idées en place et pourquoi pas trouver une nouvelle inspiration qui le rebombarderait au top 150 000 des auteurs inconnus au bataillon.

Il avait quitté la capitale plusieurs jours auparavant et ne se contentait que de quelques dizaines de kilomètres au quotidien. En effet il ne pouvait résister à l’appel des putes des aires d’autoroute et à l’appel de la licence IV.

Dans sa caisse flambant neuf, il flottait une odeur de gerbe et de couille mal lavée. Albert avait massacré l’intérieur tout cuir en gerbant sur le tableau de bord un whisky corrosif et de contre façon.

Une chiasse impérieuse liée au picrate étoilé avait aussi sérieusement attaqué le siège du conducteur Mais Albert n’était pas du genre à s’arrêter à de simples détails. Sur l’autoroute passant non loin de Saint Saturnin, il fut retardé par un embouteillage monstre lié à un nouveau carambolage. Albert ne comprit pas pourquoi au loin il distinguait un p’tit gros binocleux qui au milieu des champs faisait des bras d’honneur en direction des automobilistes.

Des lesbiennes Norvégiennes qui en avaient marre d’attendre dans leur dedeuche demandèrent très poliment à Albert si elle pouvaient se faire un petit cunnilingus sur le capot tout tiède et fraîchement moustiqué de sa caisse. Albert accepta fort volontiers et malgré les trois grammes cinq qui lui diluaient le cerveau, trouva la force de triquer à la vue des chattes non épilées.

Albert juta dans son ben et jouit une deuxième fois de la présence d’une substance tiède et visqueuse dans son calebutte. Les lesbiennes s’en allèrent et la substance devint froide et désagréable mais Albert se renfila une bonne rasade d’alcool de bois spécialement préparée par un gentil péquenot de Goudriole les Fiotes. Il eut un haut de cœur tellement le liquide était fort et pour s’habituer à la rudesse des produits campagnards, s’en renfila une lampée illico.

Le temps ne passait pas dans ce putain d’embouteillage, il n’y avait strictement rien à faire car la campagne était moche et la radio muette du fait de la présence d’un canal militaire. Ce qui occupa à un moment les automobilistes en mal de vitesse fut un accrochage entre deux dépanneuses. La première qui toute sirène hurlante déboulait à plus de 180 sur la file d’arrêt d’urgence fit une embardée pour éviter un oiseau qui picorait sur le bas côté. Elle s’envola dans le champ et après quelques dizaines de tonneaux s’immobilisa. Une autre dépanneuse quelques instants après suivit le même chemin, non pas à cause du piaf mais à cause de l’instinct grégaire des dépanneurs qui les poussent à rester ensemble. Un gaillard de 130 kilos en sortit avec une superbe combinaison verte et jaune fluo maculée de cambouis et de sperme. Le mastodonte s’arma d’une barre de ferraille et alla décapsuler le véhicule fraîchement accidenté. Il en sortit un autre gaillard inanimé habillé de la même manière. Le gaillard à la carrure d’athlète le mit immédiatement en position latérale de sécurité et pratiqua son plus beau bouche à bouche avec la langue. L’individu inanimé puait de la gueule, une sorte de mélange ail tabac mais retrouva progressivement ses esprits. Le gaillard sortit son chibre érectile et pénétra sans ménagement l’homme qui revenait à la vie. Il argumenta aux curieux que c’était une méthode Chinoise qui permettait d’assurer la complète zénitude du sujet en cas d’abus de tonneaux.

Les curieux amassés sur le bord de l’autoroute filmaient ou photographiaient la scène pour en cas de besoin pouvoir prodiguer de suite cette réanimation express et efficace.

Devant ce spectacle, les lesbiennes Norvégiennes remirent cela sur le capot d’Albert qui triqua une deuxième fois. Ca et là il y eut quelques enculades et cunnilingus sauvages pratiqués à la va vite car un gyrophare de keuf luisait à l’horizon et par les temps qui couraient il valait mieux ne pas se faire choper dans ces conditions. Le premier motard arriva sur les lieux et en voulant faire un dérapage contrôlé se balança la gueule dans un platane. Tout le monde l’applaudit car il ne fallait jamais contrarier un keuf et son collègue arriva tout fier en saluant et remerciant la foule. Ils signèrent quelques autographes et reprirent leur chemin. Ce fut peut être le suspens intense qui excita la foule car une mini partouze prit place sur le bitume.

Les gens affairés à fourrer ne firent pas attention aux dépanneurs qui repartirent dans la deuxième dépanneuse bras dessus dessous en direction du premier hôtel. La lamentable attente continua jusqu’à la nuit et plus aucun élément ne vint distraire les queutards. Albert qui venait de pisser de rage dans son froc se jura de s’arrêter à la prochaine sortie, histoire de se dégourdir les jambes et le chibre. Son estomac noué par les doses considérables d’alcool le faisait souffrir à se tordre par terre mais il était taillé dans le roc et tiendrait le choc jusqu’au prochain troquet.

Au petit matin, sans savoir pourquoi, Albert se retrouva garé dans un champ à proximité de la caravane de Micheline. Micheline était une ancienne pute même pas sur le retour car trop abîmée par le poids des années et des clients qui vivotait seule et loin de la civilisation qui l’avait rejetée. Elle s’introduisait sauvagement la prothèse que Super plombus avait perdu au Chiotatlon quelques saisons auparavant lorsqu’elle entendit quelqu’un patauger non loin de son antre. Elle passa un œil au travers de ses rideaux miteux et vit un type en marcel, slip et chaussettes qui faisait un brin de toilette dans une marre. Marcel avait choisi la marre ou Micheline allait pisser mais cela ne semblait pas le moindre du monde le déranger.

Un bruit sourd fit sauter Micheline, c’était la prothèse de Super plombus qu’elle avait négligemment laissée en elle. Elle se reconcentra sur l’observation du minable qui était à quelques mètres de son palace. Il était laid avec un gros bide et pleins d’auréoles, une moustache qui ne ressemblait à rien venait caricaturer son visage grêlé de chicots rougeâtres. Il eut un mal de chien à ôter son calebutte qui restait obstinément collé à sa peau. Micheline sentit une onde de désir monter en elle et en profita pour lâcher une grosse caisse.

Albert entendit le bruit du pet mais ne s’imagina pas qu’il provenait de a caravane pourrie et continua sa toilette matinale. Il se décalotta le chibre pour bien nettoyer le prépuce comme sa maman le lui avait fortement recommandé quelques années auparavant. Devant ce spectacle Micheline n’en pouvait plus et commença à se tripoter furieusement. Albert constata alors qu’il y avait quelqu’un dans la caravane et se redressa. Il n’eut pas le temps de réfléchir car une furibarde à moitié à poil déboula sur lui en lui ordonnant de pratiquer sur elle les pires sévices.

Albert qui n’était pas contrariant s’y employa avec les doigts puis les mains accompagnées des pieds. Il fit aussi du head fucking qui fut particulièrement bien acceptée par la squatteuse des lieux. Lorsque Albert trouva la force de triquer de façon plus liée au hasard qu’à l’excitation elle l’enfourcha et se rua furieusement pour atteindre l’orgasme. Quelques orgasmes plus tard Albert était vidé, il ne pouvait plus bouger le petit doigt. Telle une araignée en rut, Micheline se releva et amena sa proie maculée de sperme et de merde dans sa tanière.

Albert devrait donner encore un peu de lui pour pouvoir jouir d’une retraite bien méritée.

Lorsque Micheline fut rassasiée elle offrit en guise de remerciements des boutanches de picrate. Albert les vida goulûment en faisant un petit rot façon nouveau né. Micheline le trouva très chou et lui plaqua le visage entre ses deux énormes loches. A plusieurs reprises Albert faillit étouffer alors que Micheline poussait des glapissements de bonheur. Elle avait son poupon gonflable en chair et en os et ne comptait pas s’en séparer de sitôt.

- Tu bois comme un alcoolique dit-elle en le regardant amoureusement.

- C’est ce qui me permet de te limer avec tous ces tremblements, c’est la résultante de plusieurs années de recherche fondamentale.

Micheline fut subjuguée car elle était tombée sur un chercheur. Jamais dans sa sinistre vie une telle aventure ne lui était arrivée, il s’agissait certainement d’un don du ciel. Elle tripota pensivement le chibre molasson et verdâtre de Marcel qui regardait non pas les étoiles mais les trous qu’il y avait dans le plafonnier. Le chibre revint tout doucement à la vie et elle retrouva le sourire. Lorsqu’il fut suffisamment raide pour une mise en bouche, elle le dépiauta de toutes les callosités et autres saloperies.

Après l’effort, le réconfort et l’heure de reprendre des forces avait sonnée. Le repas du midi fut composé de mets délicieux : boudin noir à la graisse de canard tartiné de crème d’anchois. Les deux tourtereaux se régalèrent et se léchèrent les doigts. Micheline tait tombée follement amoureuse d’Albert qui la comblait plusieurs fois par heure. Ils firent une superbe sieste coquine arrosée de vin rouge supérieur.

Albert ouvrit un œil quelques heures plus tard, Micheline était collée contre lui et ses bourrelets semblaient suinter de graisse. Ce n’est pas qu’elle puait, mais elle dégageait une forte étrange odeur mais il finirait par s’habituer à la longue. Une trique frénétique le saisit mais il ne pénétra pas Micheline car il avait trop envie de caguer.

Il sortit au grand air et choisit la plus belle touffe d’herbe pour se soulager. Micheline réveillée se glissa discrètement derrière la fenêtre pour ne pas louper une seule miette de ce spectacle. Elle était émerveiller de voir se petit être se contorsionner et pousser comme un taré. Elle irait récupérer discrètement la matière fraîchement déposée dans l’herbe, se serait là un goûter idéal. Micheline eut un orgasme lorsqu’elle vit Albert uniquement vêtu de chaussettes trouées se torcher le cul.

Elle alla se recoucher et l’attendit dans son pucier les jambes écartées, l’après midi promettait d’être torride.

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