L'accueil dura un sacré bout de temps et là ou les autres prisonniers demandaient grâce, Françouais était frétillent comme un goujon le jonc en pression maximale qui menaçait de lui faire craquer le futal. La grosse puait encore plus la transpiration qu’auparavant et donnait des signes évidents de faiblesse. Elle s’arrêta pour reprendre son souffle en interrogeant son assistante du regard. L’assistante visiblement aussi très impressionnée pensa exactement la même chose que ça chef, elles étaient tombées sur l’homme non pas étalon, mais presque. Un enfoiré de service issu du plus profond de sa cambrousse qui allait se prendre des tonnes de condamnations supplémentaires pour rester en ces lieux et coopérer aux tâches de ramonage. Ce sinistre connard leur servirait de manche à balais histoire de vibromasser leurs corps à longueur de journée pour qu’en dehors des heures de travail elles puissent encore plus abuser de boustifaille en tout genre. La chef remouilla son ben à cette lubrique idée. Elle allait ces prochaines années adorer se pointer au boulot et peut-être que même pour la première fois ferait des tonnes d’heures supplémentaires. Elle réutiliserait peut-être même la chambre de bonne de son prédécesseur pour travailler en nocturne. Cette chambre de bonne avait servit de longues années durant à l’ancien responsable qui aimait écrire la nuit et qui trouvait de l’inspiration pour ses romans gores grâce aux cris des prisonniers qui se faisaient violer.
- Tu as l’air heureux de te prendre une volée au ceinturon demanda la chef incapable de taper une nouvelle fois.
- J’adooooore, ne vous arrêtez surtout pas Mademoiselle. Je pourrais supporter ce traitement de vos propres mains de jour comme de nuit répondit Françouais qui grimaçait tellement sa trique lui faisait mal.
- Assistante, comme le précise notre aimable règlement, saisissez-vous de ce chibre érectile et branlez-le jusqu’à ce que mort s’ensuive.
L’assistante par l’ouvrage alléchée se précipita pour grimper en haut du mat. Elle lui déboutonna la braguette et attaqua par une petite pipe avec les dents. La chef ne supporta pas cette initiative et cela valu à l’assistante un jet de la bouteille d’ancre dans la gueule. Comme elle avait l’arcade éclatée et que cela pissa le sang le spectacle fut momentanément interrompu. Françouais craignait de tout balancer avant la fin du dernier round largua une caisse pour penser à autre chose. Comme l’envie de tout balancer lui revenait sans cesse à l’esprit, il eut une petite pensée pour l’équipe de foot de Goudriole les Fiotes, ces espèces d’enfoirés qui n’arrêtaient pas de tricher. De par cette pensée, son chibre commença à diminuer de taille malgré le fait qu’il serrait les fesses à donf.
- Viiiiite, assistante reprend ton ouvrage, il diminue dangereusement.
L’assistante s’essuya le front avec un vieux tricot de corps qui traînait depuis des lustres par terre et se remit à l’ouvrage. Elle le branla voluptueusement à deux mains pour le faire revenir à la vie. Elle s’acharnait à la tâche et opinait du chef devant sa chef qui paraissait de nouveau joasse. Françouais de peur de se prendre une nouvelle mandale dans la gueule n’osait pas se laisser aller et laisser partir sa tête en arrière. Restant sur ses gardes, il assista à l’immonde spectacle de la gracieuseté de chef qui se dessapait à nouveau. Une fois le ben aux chevilles, et le calebute encore en place elle s’assit sur la poubelle en fer qui en avait visiblement vu beaucoup d’autre. Elle grimaça en serrant les dents et poussa du plus fort qu’elle pu. Elle pondit dans sa culotte qui à cause de l’usure ressemblait à quelque chose en dentelle mais qui n’en était pas, un magnifique bronze. L’odeur devint rapidement monstrueuse et la bougresse apeurée continua de plus belle à branler le Françouais. La grosse continua sans relâche à forcer dans un brouhaha classique de vide boyaux. Une proéminence au niveau de sa petite culotte menaçait de la faire éclater. Essoufflée elle rouvrit les yeux pour se changer les idées, ce bougre de Françouais triquait toujours comme un malade alors que l’assistante suait maintenant à grosse gouttes. La chef trouva se spectacle fort adéquat et avec ses grosses pattes potelées se tripotait le sexe en poussant des cris monstrueux. Les prisonniers dans leurs cellules qui entendaient ses bruits de femme en rut commencèrent à se branler. Debout, assit ou couché, bientôt tout le monde dans le quartier des hommes se branla. Quelques uns qui n’avaient rien demandé se firent choper par derrière par des gros rustauds qui en cas de migraine se mettaient à balancer des baffes dans tous les sens. Les cris résonnaient de plus en plus au long des couloir et certains gardiens furent aussi pris d’une soudaine gaule et se reculèrent dans les coins sombres pour s’affranchir au mieux de cette crise subite.
La chef du haut de son perchoir se pavanait se penchant en arrière. Elle se pencha tant qu’elle se vautra au sol en explosant sa petite culotte. Elle se tortilla sur le sol tel un ver de terre tiré au lendemain d’une grosse cuite de son terrier. L’autre branla encore plus puissamment Françouais et avait maintenant mal aux mains.
La chef arrêta de brailler pour ne pas louper une miette du spectacle. Françouais mourut dans les mains de l’assistante, des giclées lamentables partaient de son pylône et mourraient dans les mains de l’assistante qui ne demandait pas mieux. Françouais regretta que le coup des quenottes ne se soit pas poursuivit plusieurs heures durant. La chef overjouissante lâcha un cris à faire péter les carreaux puis se secoua la tête histoire de reprendre ses esprits. Elle se releva en lâchant quelques pets alors que des paquets de merde se décrochaient de son derche attirés par la force de gravitation. Elle se dirigea vers un lavabo pour se nettoyer les mains puis le cul. Le lavabo très rapidement déborda mais cela ne sembla pas la gêner le moindre du monde.
- Voici une belle chose de faite, dit-elle en s’essuyant les mains, assistante, vous pouvez vous laver les mains.
- Trop tard patronne, j’ai tout avalé répondit la bougresse en se léchant les babines de concupiscence.
La chef était trop fatigué pour lui foutre des coups de tatane mais elle n’était pas passé très loin. Elle récupéra des fringues à peu près propres pour se refaire une petite santé vestimentaire.
- Alors avorton, tu as craché deux fois la purée en un rien de temps, te sens-tu mieux ?
- Oh oui Mademoiselle, et je reste à votre disposition pour de plus amples ébats répondit Françouais qui commençait à trouver l’ambiance de la prison sympathique.
Au loin des prisonniers gueulaient pour que les cris continuent, ils avaient besoin d’encore un peu de blé à moudre, alors que d’autres passaient dans leur mètre quarré alloué de cellule un coup de serpillière.
Comme les matonnes remettaient correctement leur tenues, sur les badges de présentation, françouais pu lire : Gertrud hôtesse de sexe en chef et dur l’autre : Hilda assistance hôtesse de sexe. Cette nouvelle coutume qui était pratiquée dans beaucoup d’établissements enchantait les gens car ils savaient tout de suite à qui ils avaient à faire et le faire de présenter le prénom incitait à la sympathie.
- On va donc avant de te foutre dans ta cage, te briefer sur le règlement de cette prison d’où l’on ne s’évade pas annonça froidement Gertrud.
- Bien Mademoiselle répondit de sa plus belle et mielleuse voix Françouais qui attendaient avec impatience tous les sévices obligatoires de cette crémerie.
-Alors vous êtes à dix par cellules de six mètres quarrés, le moindre rapport est considéré comme passible d’une peine de six mois de mitard. Trois repas par jour, le premier servit à domicile, le second et le troisième à la cantine dans des boxes séparés. Une promenade d’une heure par jour, possibilité de faire une heure de gymnastique par jour et possibilité de faire une activité manuelle d’une heure par jour. Accès une fois par semaine aux douches. C’est compris ?
- Bien sûr Mademoiselle, c’est clair comme de l’eau de roche mais je ne suis pas sûr d’y aller si souvent, je ne suis pas malade..
- Ne m’interrompez pas lorsque je parle, pas de drogue, pas d’alcool et très peu de cigarettes. Visites autorisées une fois par mois, durée de l’entretien dix minutes. De part votre peine, vous pourrez bénéficier dans six mois de permissions le dimanche, mais rien n’est certain. Tout courrier et colis est systématiquement contrôler, faites passer le message à votre femme d’écrire sur du papier glacé pour éviter que les traces suspectes n’endommagent le papier. Quand aux horaires et tout ce qui peut aller avec, cela vous sera précisé par vos gardiens.
Gertrud se jeta sur Françouais et lui chopa le chibre. Elle lui titra dessus comme l’on joue avec un élastique et visiblement elle cherchait à le lui faire regonfler. Comme il tardait à se gonfler elle donna quelques coups dans les balloches ce qui accéléra les choses. Elle le ponctionna jusqu’à la dernière goûte en ondulant son corps. Ces nichons frappaient le sol et donnaient une atmosphère de tamtam dans la brousse africaine au sein de la tôle.
Françouais avait une furieuse envie de l’enculer à sec pour la faire hurler et là il était sûr qu’elle deviendrait son esclave sexuelle. Il n’aurait ensuite qu’à lever le petit doigt pour être choyé et servit en temps et en heure. L’idée de lui perforer sa tenue de matonne avec son chibre turgescent lui traversa l’esprit mais il en resta là car cette manœuvre forcée n’avait que peu de chance d’aboutir à quelque chose de concret. Il s’imagina avec ses deux grosse salope à poil au beau milieu d’un plumard à les rendre folle et à leur défoncer la chatte et l’anus à les empêcher de s’asseoir durant des semaines. Il jura solennellement que ces deux putes y passeraient du-t-il y laisser la peau de ses couilles.
L’ambiance de la prison lui convenait à merveille, deux plus il savait que les prisonniers étaient une fois par mois autorisé à se branler des minutes durant, devant les films pornographiques d’une chaîne codée. Il était logé, nourrit et blanchit et n’avait plus à supporter son connard de Fiston et l’autre vieille grognasse de Belle maman. Ils étaient maintenant loin tous ces pécores de Saint Saturnin les Bains et Françouais se rendit compte qu’il n’avait que trop attendu pour saisir l’occasion d’inaugurer de nouvelles chattes.
Gertrud se gargarisa la gorge avant de se prendre une lampée de whisky dans la bouteille qu’Hilda lui tendait. D’ordinaire comme personne ne voulait se laisser sucer elle se contentait d’extraits de contenus de capotes usagées qu’Hilda ramassait patiemment et amoureusement dans les toilettes des douches.
Françouais se rendit compte qu’il y avait de l’alcool sous ce toit, il découvrirait rapidement les rouages à actionner pour profiter de ces réserves payées cette fois par le contribuable. La patience jouait maintenant avec lui car suite à sa désintoxication express, il n’était plus victime de tremblements et d’étourdissements.
Gertrud reprit avec le même ton autoritaire sa récitation ce qu eut pour effet de tirer violement Françouais de ses rêveries.
- Et enfin dernier point, vous devez obéir au règlement et exaucer l’intégralité de nos vœux, vous être ici notre esclave.
- Vous ne devez obéir ici qu’à une seule personne et cette personne c’est Gertrud dit Hilda en ramenant sa fraise par pur fayotage ce qui lui valu une caresse dans l’entrecuisse de la part de sa supérieurs.
A ces paroles Françouais baissa les yeux en feignant la timidité, il cherchait en fait à caler son chibre entre ses guiboles car il commençait à en avoir plein le cul de se faire vampiriser par la grosse alors qu’il ne cessait d’avoir la gaule.
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