Belle maman largua un pet à bulles qui fit une forte impression à Françouais toujours emmitouflé dans son sac à patates. Il s’imaginait avec émerveillement la dentelle immaculée de son string se faire becqueter par le liquide saumâtre. Il eut de nouveau la gaule et rugit de douleur lorsqu’il se rappela qu’il ne pouvait pas se branler.
- Ta gueule le fauve, je ne te libèrerais qu’une fois arrivé, ne crois-tu pas que tu n’en as pas déjà assez fait comme cela.
Belle maman embraya, la boîte cracha tout son malheur d’être conduite par une non initiée et le tacot quitta ce décors de l’horreur alors qu’une fumée malsaine s’élevait maintenant de ce qui restait du moteur de la cathomobile. Pour tuer le temps et en attendant que l’autre grognasse ne la rappelle, elle alluma un air de radio. Après de nombreuses minutes de parasites liés à une recherche dénuée de toute sensibilité, elle tomba sur une radio locale qui semblait en être aux informations. Un énuque tiré à quatre épingles vociférait d’une voie pédante les news qui paraissaient plus inintéressantes les unes que les autres. Belle maman eut la flemme de zapper et se concentra sur la route tout en écoutant d’une oreille discrète. Après une pub miteuse sur des soutiens gorges biologiques grandes tailles reconnus d’utilité publique, l’énuque enchaîna sur une sombre affaire dans une prison sordide. Belle maman qui se savait concernée ralentie pour ne pas laisser échapper la moindre miette de cette information en or massif.
- Dans cette prison Parisienne réputée pour sa tranquillité, une soudaine agitation a fait plusieurs dizaines de victimes. Il semblerait que durant la nuit, une voiture bélier ait défoncée la porte d’entrée pour déclancher à l’intérieur de l’enceinte une véritable émeute. La police pense qu’il s’agit de terroristes soucieux de délivrer leurs camarades. En effet, au alentours de sept heures du matin, un camion supposé volé a fait irruption à l’entrée de la prison. Le conducteur et ses complices une fois à l’intérieur se seraient chargés après avoir drogué la surveillante en chef de l’établissement, de libérer la quasi totalité des prisonniers. La panique a gagné ces mêmes prisonniers lorsque des incendies d’origine criminelle ont été déclenchés il semblerait, par les détenus eux même. Il y aurait plusieurs dizaines de victimes, nous ne sommes pas encore sûr des chiffres exacts et attendons confirmation de la part du capitaine des pompiers. Selon certains prisonniers, des fous de dieu se seraient immolés en profitant du désordre général. Le véhicule serait ensuite repartit avec un ou plusieurs prisonniers très dangereux, la moitié de Paris étant quadrillée maintenant par les forces spéciales. Nous écoutons notre envoyé spécial.
L’énuque essaya en vain de se gratter le testicule gauche, une vieille habitude de supporter de football. Puis histoire d’éviter un silence mortel sur les ondes, meubla.
- Alphonse, vous entendez-nous ? Alphonse, nous sommes en direct et suspendus à vos lèvres pour en savoir plus sur cette affaire.
- Oui je vous entends et il règne effectivement ici un chaos indescriptible.
- Donnez-nous en pour notre argent Alphonse, comment la situation évolue t-elle ?
- La situation est extrêmement confuse, il y a des policiers et des pompiers partout et tous semblent courir dans toutes les directions, je vous avouerais en perdre mon latin. J’ai a mes côté le capitaine de gendarmerie qui va nous décrire un petit peu la situation.
- En effet, la situation est gravissime, plusieurs départs de foyer ont été observés et maintenant le feu semble circonscrit ou circoncit je ne sais plus comment l’on dit. Mes hommes oint déjà ramené vingt cinq cadavres atrocement brûlés et il y en a certainement des dizaines d’autre à découvrir.
- Merci, mon capitaine. J’ai à côté de moi un inspecteur en charge de l’interrogation de la gardienne en chef qui a été drogué et qui retrouve ses esprits.
- J’en profite pour passer le bonjour à mes enfants qui me regardent, papa vous embrasse. Oui effectivement la gardienne qui éprouve certaines difficultés pour s’exprimer a visiblement aussi été violée et porte des stigmates de ce qui a pu se passer. Elle nous a avoué adorer ses prisonniers et pleurer d’ores et déjà la disparition de certains. Elle nous a jurée que ces crimes ne resteraient pas impunis et que les pyromanes faisant partie de surcroît à l’effectif des prisonniers seront très durement sanctionnés. Pour le moment elle semble avoir perdu la raison car elle ne cesse de chanter une célèbre chanson d’Edith Piaf : mon légionnaire.
- Comme vous pouvez le constater, la situation est tendue et nous nous réservons la possibilité d’interrompre le cours de notre émission à tout moment. Place maintenant à la musique, une petite mélodie de Jacques Lantier va doucettement vous accompagner.
- Ta gueule espèce d’enculé gueula la vieille en donnant des coups de poings sur le poste qui momentanément s’arrêta.
Le bruit horripilant du camion reprit le dessus durant de trop longues minutes. Françouais n’avait pas la moindre idée d’où il pouvait se trouver et commençait à trouver le temps bien long dans son inconfortable position.
Le temps passait et chaque seconde paraissait durer une éternité. La petite aiguille indicatrice du niveau de carburant tanguait dangereusement vers le rouge. Belle maman fit un arrêt au frein à main devant la première station. Comme prévu cette station ne ressemblait à rien et tout ce qui la constituait était dans un état de pourriture avancée. Les routiers qui dans le coin n’avaient pas franchement l’air sympa mataient comme des malpropres la donzelle qui venait de débarquer.
Belle maman tortillait tellement du croupion qu’elle faillit se fouler une cheville. Elle fit un cinéma monstre pour ouvrir le bouchon du réservoir puis y introduire le robinet visqueux. Elle fit tomber à plusieurs reprises son trousseau de clés afin que les vicelards puissent avancer en degré d’érotisme dans leurs pensées. Enfin elle fit des mouvements de va et viens avec son bassin pour accompagner le flux de gasoil qui se déversait dans le réservoir. Lorsque le plein fut fait, elle lécha la dernière petite goutte qui perlait au pistolet. Certains rustauds bardés de tatouages obscènes partirent dans les fourrés en s’arrachant la braguette pour sortir en urgence leurs queues turgescentes prêtes à cracher leur venin. Belle maman se caressa ensuite l’entre jambe avec le pistolet en matant en tirant la langue aux routiers non précoces.
Elle remballa toujours de manière très érotique le pistolet dans son fourreau et se dirigea pour payer. A peine arrivée dans la cabine, que le gus au taquet sauta par-dessus sa caisse pour lui arracher les fringues et la ramoner sauvagement. Elle lui intima l’ordre de prendre patience et entama un long et langoureux strip tease. Le type s’effondra dans la pile de canettes de soda light complètement halluciné par ce qui ce passait devant lui. Au dehors les routiers se précipitèrent à la vitre pour ne pas louper une miette du spectacle. Ils se tenaient comme des cons devant la vitrine et leurs museaux à quelques centimètres du verre provoquaient une buée hautement chargée en testostérone.
En quatre vingt cinq minutes le strip tease fut bouclé, les routiers faisaient furieusement des allers retours dans les fourrés pour décharger leur semence. La vieille avait plié ses vêtements dans le frigidaire sur le jambon pour avoir une sensation de frais lorsqu’elle se rhabillerait. Complètement à poil, elle se dirigea vers le caissier toujours à moitié dans les vaps et lui fit sauter la boucle de sa ceinture. Le type n’en pouvait plus et son futal paraissait meurtri par une énorme trique qui suffoquait à cause de sa captivité. La vieille aux doigts agiles en poussant un rire sarcastique fit sauter les quelques boutons qui tentaient une résistance perdue d’avance. Le bougre n’en pouvait plus et lorsque son ben fut à ses chevilles, il laissa libre expression à son chibre d’une bonne trentaine de centimètres. Par la taille alléchée, belle maman se saisit d’un tube de mayonnaise qu’elle décapsula avec une dextérité déconcertante pour s’en tartiner le sexe. Elle s’assit sans aucun préliminaire sur le pieu ainsi offert et le gars n’eut le temps que d’avoir le réflexe de choper ses poignées d’amour pour éviter qu’elle ne se retire. Ils limèrent comme des braques en poussant des cris obscènes. Une petite vieille qui avait enfin finit de peiner pour ouvrir le verrou de sa cabine de chiottes, s’arrêta pile poil lorsqu’elle tomba sur ce spectacle. Elle fit un demi tour magistral dans les chiottes et ne trouva qu’un savon en forme de banane géante pour se l’introduire dans la chatte fraîchement aérée.
Le type envoya la purée et belle maman décolla de quelques centimètres en poussant des vagissements dignes de la plus belle Normande médaille d’or au salon de l’agriculture. La mayonnaise mélangée à du sperme s’écoula sur ses baboules qui semblait avoir perdu en taille tant l’effort avait été conséquent. Il tira la langue qui était devenue verte et laissa sa tête choir en arrière dans les canettes. Il était épuisé et mettrait un certain nombre de semaines avant d’éprouver un tel besoin de baise. Belle maman se releva toute guillerette et ouvrit un paquet de pain de mie pour se torcher la chatte. La sensation fut excellentissime et elle laissa les tranches usagées à portée de main de son amant pour qu’à son réveil il puisse se régaler d’un bon petit déjeuner fort en crème.
Deux routiers hystériques entrèrent dans la boutique et se saisirent de divers produits. Le ben aux chevilles, et le chibre érectile, il se firent chacun un sandwich pain de mie, feuille de salade, mayo, ketchup et bite. Ils se les mordaient mutuellement en poussant des hurlements de jouissance. Belle maman eut un sourire devant ce spectacle et vint à son tour goûter au sandwich des chefs. Les autres à cause de la buée qui leur masquait l’intérieur entrèrent en trombe et arrachèrent futals et calebuttes qui effrayèrent les mouches.
Certains se trempaient le sexe dans de la pâte aux noisettes et chocolat avant de se faire sucer, d’autres s’enduisaient le corps d’huile et de rillettes pour faire plus campagnards et d’autres encore s’aspergèrent avec de l’huile de vidange enrichie en graphite.
Le tout dégénéra très rapidement en grosse partouze à même le sol constellé de sciure pour absorber les tâches d’huile. Tout le monde y allait de son va et vient et belle maman faisait des triples looping inversés au beau milieu de cette mêlée.
La vieille qui avait finit de se ramoner avec le savon revint sur ces pas en larguant ça et là quelques bulles claires, stoppa net une deuxième fois pour faire un demi tour et s’enfiler l’intégralité des balais à chiottes ce coup-ci.
Les routiers qui avaient repéré l’autre vieille redoublèrent d’action à cause de l’excitation. Belle maman se retrouva avec plusieurs bites dans le cul, la bouche, les oreilles et les narines. Ils mirent un point d’honneur à tous décharger en même temps et pour elle ce ne fut qu’un plaisir suprême de se faire chatouiller de toutes parts. Puis vint le temps des chibres mous ou nos hardeurs privés de viagra devaient attendre quelques instants pour recharger les batteries.
Des filets de sperme coulaient sur le visage et le corps de belle maman qui reluisaient sous les néons blancs du magasin. Un gus dans un blaukauss situé à quelques kilomètres de là était chargé de surveiller par vidéo surveillance un certain nombre de stations services de la région. Sur l’ensemble de ses écrans figuraient des images émanant de la station ou belle maman mettait le feu, ainsi il pouvait suivre la partouze sous de multi angles avec des zooms différents. Sa main droite lui faisait maintenant atrocement mal et des giclures de sperme séchaient de manière ridicule dans différents endroits de son bureau. Il se remonta le froc et enfourcha son vieux clou tout rouillé pour rejoindre le groupe des joyeux drilles qui se déchaînaient en ce soir de pleine lune.
Belle maman ne sachant pas que de nouveaux fans arriveraient, chopa les clés de la cabine à douche et partit refaire son maquillage. Les routiers la suivirent et passèrent les uns après les autres sous la douche.
A plusieurs reprises belle maman se fit de nouveau choper sous les jets pour se prendre des jets à même température mais en interne.
Lorsque tout le monde fut satisfait, chacun se rhabilla. Alors que le gérant se réveillait sur sa pile de canette en constatant les dégâts, tout le monde sortit pour rejoindre son véhicule en vue de poursuivre sa route.
Le surveillant arriva trop tard et plutôt que de tirer un coup comme tout le monde, il fut gracieusement invité par le gérant pétoire à la main, à remettre un petit peu d’ordre dans tout ce bordel.
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