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La lumière revint non pas par
enchantement mais par un heureux coup de bol qui plaça le
doigt de Françouais sur l’interrupteur. Heureusement
qu’il n’avait pas utilisé son index ensanglanté
car il eut été bon pour une bonne châtaigne
du fait de l’état lamentable de l’électricité.
Cette ‘tain de bestiole ne l’avait pas loupé,
plus jamais il ne branlerait de rat et ceci même dans le noir.
Il continua donc sa descente avant de se faire piéger une
nouvelle fois et ne souhaitait qu’une chose : tremper son
doigt dans une bonne gnole bien désinfectante.
A l’étage
au dessous il se prit les pattes comme dans une espèce de
tapis qui traînait et fit un vol plané. Il retomba
sur quelque chose de dur puis plus rien. La chose sur laquelle il
c’était emmêlé les pinceaux bougea, tout
doucement puis se releva encore hésitante. Belle maman qui
courrait rejoindre son héros du jour hurla. Non pas un petit
cris de souris strident mais un gros cris bien gras porté
par le désespoir. Elle se précipita vers Françouais
qu’elle retourna comme une crêpe. Elle constata qu’il
respirait difficilement mais encore, ces choses là étaient
solides. Elle le secoua mais cela ne lui fit absolument rien. Elle
lui fit des petites papouilles sur le visage et dans le cou mais
comme toujours rien ne se passait, lui foutu quatre baffes après
tout il s’agissait du meilleur remède connu.
Ne voyant rien venir,
elle se résolu à aller aux toilettes pour humidifier
une serviette et lui passer sur le visage. Une fois sur place elle
constata qu’il n’y avait pas de quoi éponger
de l’eau. Avec les moyens du bord elle ôta son soutien
gorge qui était jaune par endroits et gris dans d’autres.
Elle le passa sous l’eau et constata immédiatement
que l’eau qui en découlait était d’une
couleur catastrophique qui aurait fait rougir n’importe quelle
fille décente. Elle entreprit donc de le laver, mais dès
qu’elle l’essorait la même eau de couleur grisâtre
réapparaissait. Ultime étape, elle utilisa le savon,
l’effet fut concluent au huitième lavage.
Elle tapota le front
puis les joues de Françouais qui semblèrent s’empourprer,
il était revenu à lui. Comme elle avait toujours une
fiasque d’alcool dans sa culotte et lui refila un petit coup
d’alcool de betterave qui le remit illico sur pied. Mais il
ne pu se relever car belle maman faisait barrage et se trémoussait
sur lui. Il se demanda un premier temps ce qui lui arrivait puis
reconnu la chevelure sauvage de celle qui l’avait tant rejeté
ces derniers temps.
Belle maman se rendit
compte en voulant lui sucer les doigts qu’il saignait, elle
repoussa un autre cri gras et lui vida le restant de sa fiasque
pour désinfecter. Françouais poussa une gueulante
non pas par douleur mais à cause de cet intolérable
gaspillage.
- ‘Tain penses
un peu à tous ces gens qui ont soif dans le monde et dieu
sait si il y en a, ne va pas gâcher la gnole, maintenant qu’il
ne reste plus guère de bouilleurs de crus, ce précieux
liquide vaudra bientôt de l’or.
- Ah comme je te
retrouve là, tu m’as tellement manqué répondit-elle
en lui léchant le doigt désinfecté.
- J’ai une
trop forte envie de te tirer, j’ai peur de ne pas être
à la hauteur.
- Oh ben voilà
t’y pas que le petit mignon joue aux délicats maintenant,
cette cure d’abstinence t’aura fait le plus grand bien,
cela fait tellement longtemps que je n’ai pas eu l’occasion
de me faire désirer.
- Bien c’est
parce que je ne suis plus le même homme qu’auparavant,
ce n’est pas parce que j’ai mûri, mais surtout
parce que j’ai beaucoup réfléchi répondit
Françouais en étouffant des rires qui remontait du
plus profond de lui en racontant ce type de sornettes.
- Oh comme tu parles
bien, cela me rappelle lorsque nous venions à peine de nous
rencontrer et qu’après m’avoir pénétré
sans ménagement dans la décharge municipale, nous
étions allongés sur un vieux matelas couvert d’immondices
à regarder les chauves souris voler sous la lueur de la pleine
lune et larguer des petites crottes fluorescentes.
- Ah ouaip, c’était
juste après la catastrophe de Chernobyll, j’avais laissé
une bouteille de picrate passer la nuit dehors et le lendemain le
picrate était devenu fluo, jamais d’ailleurs goûté
un aussi délicieux nectar. Par contre j’ai eu mal aux
couilles pendant une bonne quinzaine de jours par la suite, je m’en
souviens comme si c’était hier.
- Oh c’était
mes petites tenues qui séchaient sur le câble électrique
qui étaient dans un drôle d’état, suite
à cette nuit magique, j’ai toujours gardé les
tétons raides comme la justice et les poils de foufoune avec
la raire au milieu. Rien à faire, j’ai beau y mettre
de la laque, de la gomina ou d’autre produits cette fichue
raie revient toujours.
- Dans le fond,
on n’a pas trop trinqué parce que les ondes de la décharge
étaient plus fortes que la radioactivité qui nous
tombait sur la gueule. Regardes le Fiston qui dormait dans son tonneau,
c’est depuis cette époque qu’il n’a plus
toutes ses facultés. Auparavant il savait compter, réciter
son alphabet, jouer à la marelle sans tripoter les filles
et depuis il a tout oublié et est incapable de quoi que ce
soit sauf de jouer à des trucs débiles et dégueulasses.
- Ne soit pas méchant
avec ce petit mignon, bien qu’il soit si sot, il est encore
si jeune et si fragile.
- Je n’en
suis pas si sûr, l’autre jour quand on a amené
les vaches au taureau du père Bazzzin ce vieillard acariâtre,
il était caché derrière un arbre et n’a
pas arrêté de se pignoler en rigolant bêtement
de tout l’après midi.
- Oh quel petit
amphitryon, je vais lui donner une fessée et le punir lourdement.
- Tu parles, tes
punitions lui font tellement plaisir, la dernière fois tu
l’avais condamné à dormir avec les porcs pendant
une semaine. Je m’en souviens comme si c’était
hier, les gorets avaient un air coquin quand on leur donnait leur
pitance.
- Nous n’allons
pas réveillonner sur ce sujet mais tu vois le mal partout,
ce coup-ci je l’attacherais à la niche du chien une
nuit ou deux histoire de lui faire comprendre et je ne le nourrirais
même pas.
- Ah je préfère
ce type de discours, tu vois que quand tu le veux, tu peux correctement
t’occuper de cette espèce d’avorton, il n’y
a que comme cela que tu arriveras à le dresser. Les jeunes
d’aujourd’hui sont si insouciants et le monde est si
cruel qu’il faut les élever avec une poigne de fer.
- Bah, de notre
temps aussi le monde était très cruel et regarde comme
notre génération s’en ai bien sortie, vois un
peu tout ce qui a pu être accompli durant toutes ces années.
- Ouaip quand j’observe
la cloche de pollution que nous avons sur la tête, même
complètement pété j’arrive à la
distinguer, quand je vois les saloperies qu’il y a le long
des routes, quand je vois tous ces accidents sur l’autoroute,
quand je vois tout ce gaspillage, quand je vois cette culture ou
tout est basé sur l’image et quand j’entend tous
ces paquets de connerie racontés à longueur de journée,
c’est sûr je me dis qu’il y a un sacré
nombre de belles choses qui ont été accomplies ces
dernières années.
- Ah tu cherches
à tout noircir aujourd’hui, cesses de négativer
tu finiras avec un ulcère à l’estomac. Vois
donc les choses de manière positive comme tu l’as fait
ce jour en sauvant la population de tous ces cauchemars qui menaçaient.
Pour faire taire
Françouais, belle maman positionna son bassin sur son sexe
et se contorsionna tout doucement. Les sensations qu’il éprouvait
commencèrent à lui clouer le bec, du fait qu’il
angoissait de balancer la purée, il devait mobiliser son
esprit sur le sujet. Elle ondulait de plus en plus fort la coquine
et dû ralentir le mouvement lorsque son bassin se mit à
craquer. Françouais souriait d’un air vicelard et triquait
comme un malade, il regretta de ne pas s’être pignolé
durant toute la journée de la veille pour être à
l’abri de tout accident qui déclencherait les railleries
de la vieille salope. Comme il serrait dans ses mains les fesses
de belle maman, il concentra son esprit sur les vergetures et essaya
de les compter. Le résultat se fit sans attendre, il frôlait
la panne et donc dû mobiliser son esprit sur autre chose.
Elle le regarda
d’un air coquin car elle savait que dans ces conditions il
était mal à l’aise et qu’elle aurait ensuite
complètement le dessus. Une envie de péter la tenaillait
depuis de longues minutes mais pour une refusait d’expulser
les gaz par peur de briser le charme. Elle sentait sa culotte se
mouiller et devait faire attention de ne pas abuser de ce petit
manège car elle attraperait des gerçures qui mettraient
plusieurs jours à cicatriser.
Françouais en était à penser au football, son
équipe favorite après celle de son bled : le PSG.
C’était la seule chose qui lui préserverait
la gaule mais qui l’empêcherait d’en finir trop
vite, la vieille hurlerait bientôt de plaisir et serait sous
tout contrôle pour un sacré bout de temps. Cette gaule
équivalait à tous les plus puissants GHB du monde
elle tomberait sous l’emprise de son charme et redeviendrait
son esclave sexuel.
Belle maman craignant
maintenant plus que tout, les gerçures, modifia son mouvement
de bassin et Françouais qui ne s’attendait pas à
une telle tactique fut pris au dépourvu. Même les cinquante
dernières défaites de son deuxième club de
foot favori ne purent y faire quelque chose, il balança lamentablement
la purée. Il lâcha le fessier de la vieille pour serrer
ses petits poings de rage, la vieille avait eu ce qu’elle
voulait et maintenant le tenait à sa merci. Le moment dura
une éternité, il sentait que son gicleur allait lui
inonder le calebute et le ben intégralement.
Elle hurla de rire
en se redressant raide sur le corps de Françouais qui sentait
dans sa zone sinistrée les ravages que les vibrations faisaient
sur la propagation de la tiède purée. Le ravage était
proportionnel à son outrage mais dans sa solitude il restait
le phénix de cet escalier. Puis elle se calma et se coucha
très lentement sur son corps, elle en profita pour évacuer
discrètement la gène qui terrassait son derche depuis
un trop long moment mais la puanteur ne troublerait pas Françouais
dont l’odorat était éteint depuis bien longtemps
déjà.
Ils se reposèrent
ainsi quelques minutes, Françouais sentait la purée
refroidir et dans certains endroits stratégiques lui tirer
sur les poils. De ce fait il n’osait pas broncher, cette diablesse
avaient une nouvelle fois obtenu se qu’elle voulait.
- Tu te sens soulagé
? lui demanda t-elle en crachant son chewing gum à la chloro.
- Je me sens bien
avec toi sur moi répondit-il en espérant jusqu’au
bout qu’elle ne c’était pas rendue compte de
l’accident.
- Il va falloir
faire quelque chose avant qu’il ne soit trop tard.
- Oui bien sûr
répondit Françouais qui n’entravait que dalle
à ce qu’elle pouvait bien lui raconter.
Le silence reprit
sa place et elle recommença ses mouvements de bassin. Françouais
presque au bord de la panique eut à un moment l’idée
qu’elle voulait le vider de l’intégralité
de sa semence. Puis quelque chose l’apaisa, peut-être
le silence ou alors les poils qui collaient ? Maintenant plus détendu
que quelques instants auparavant il se laissa conduire et ferma
les yeux. Peu après Belle maman sentit qu’ils étaient
prêts pour un bon tour de manège. Elle se dégagea,
se releva et aida son compagnon à en faire de même.
Françouais avait l’air con avec son auréole
monstrueuse sur le falzar, délicatement avec ses doigts il
en pinçait la toile pour faire des appels d’air qui
activeraient le séchage.
- Soit donc romantique
pour une fois mon amour, allons donc tirer un coup dans les chiottes
dit-elle en le regardant amoureusement et lui prenant la main.
- Bon ben c’est
d’accord pour cette fois mais à l’avenir tu n’en
abuseras pas répondit Françouais en triquant de nouveau
comme un malpropre et en priant le bon dieu pour qu’il n’envoie
pas la purée une nouvelle fois sur le chemin des chiottes.
Belle maman avec
sa main libre en profita pour décoller sa culotte puis après
un bruit de velcro que l’on sépare, l’entraîna
direction les cagoinces en passant sa main maintenant libérée
dans sa chevelure grasse. Françouais aux anges, se contenta
de larguer une caisse histoire d’augmenter sa motivation pour
supporter de la visionner dans son plus simple appareil.
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