|
Françouais
ultra méga bourré avait sifflé l’équivalent
d’un mois de sa pension. Il ne tenait plus droit et était
infoutu de prononcer trois mots sans s'écrouler par terre
fier de son humour et de son aura. Tout le monde se trouvait bien
content de cet état car il avait tellement remporté
de concours de picole que le champion était aujourd’hui
tombé. Le patron du troquet l’avait fait gerber une
bonne dizaine de fois à grand renfort de café salé
mais son état semblait à chaque fois empirer. Il s’était
ressaisit un moment mais il puait tellement du goulot, qu’il
se retrouva bâillonné dans le caniveau. Il y avait
bien mieux à faire que de s’occuper de lui et tout
le monde attendait le début du combat.
Fiston avec ses
peintures de guerre, campait devant le micro à la radio.
Il c’était brossé les dents et avait enfilé
pour l’occasion un string en peau d’emballage de sciure.
Dans tout le bled il fleurait une bonne odeur de spaghettis bolognaise
car chaque mégère avait sortit sa plus grosse marmite
pour y faire mitonner de quoi remplir un ring transformé
en piscine. Les deux combattantes Gertrouduc et Emilie qui s’étaient
affronté sur les ondes quelques mois auparavant en venaient
aujourd’hui aux mains.
Des connards à
moitié bourrés fignolaient les derniers détails
sur la place de l’église : vérification de l’étanchéité
de la piscine en pissant dedans. De temps en temps on en voyait
un se précipiter pour arroser les bacs à fleur à
coup de grandes gerbe de ricard….
Pour
rendre les candidates encore plus agressives, l’organisateur
avait exigé qu ‘elle fut privées de relations
sexuelles ces derniers mois. De plus pour pimenter le tout, on leur
glisserait dans la culotte du poil à gratter juste avant
le combat.
Le maire souriait
toutes dents dehors car la presse reconnaîtrait enfin et ceci
de manière unanime que Saint Saturnin Les Bains n’était
pas le village si craignos que l’on pouvait dépeindre
dans les faits divers. Les touristes viendraient, le commerce prospèrerait
et de nouvelles putes arriveraient, bref cela relancerait la publicité
pour la route du chibre et bien d’autres spécialités
locales.
Le cuistot du troquet
s’occupait de verser le contenu des marmites dans la piscine
et goûtait le contenu de chacune d’elles. De temps à
autre il rajoutait du sel, du poivre ou des épices. Les premiers
spectateurs arrivaient, litrons dans les poches et à la main.
Pendant ce temps fiston s’essayait à son nouveau métier,
il avait fait caca trois fois sur lui d’émotion mais
il se jura que cette émission serait la meilleure du millénaire.
Des âmes charitables portèrent Françouais en
mode coma éthylique jusqu’à la radio ou il verrait
son Fiston à l’œuvre en se réveillant,
s’il se réveillait un jour.
Bien entendu, Fiston
en profitait lâchement pour imposer son style sur les ondes.
Voilà deux heures qu’il gueulait comme un putois des
chansons enfantines avec les paroles qu’il avait trafiqué
durant les cours de catéchisme. Le style était brut,
cela changeait de l’accordéon et semblait plaire aux
vieux qui reconnaissaient la voix d’un enfant de putain du
pays.
Les deux maris des combattantes qui ne supportaient plus l’abstinence
étaient devenus homo au fil du temps et ne cessaient s’enfiler.
De la fenêtre de l’hôtel qu’il s’étaient
gracieusement payés juste en face du ring, queue à
l’air ils se branlaient mutuellement langoureusement. Heureusement
pour éviter la surchauffe, ils ramassaient pour s’enduire
la queue, les glaviots que le vieil Emile de l’étage
au dessus balançait toutes les trente secondes. Ils en profitaient
car ils savaient qu’ils devraient repasser à la femelle
d’ici à quelques heures. Surtout que les gourdasses
auraient suite à leur entraînement intensif besoin
d’un max de gourdin.
La piscine fut remplie et la mère Demi se désigna
volontaire pour le nettoyage. Elle ne souhaitait pas assister à
ce spectacle décadent selon ses propres dires, mais plutôt
aller avec les marmites chargées dans sa carriole nettoyer
tout ce bric à brac à la rivière. Elle souhaitait
surtout aussi se faire mettre à répétition
par ânes qui triqueraient comme des malades car la coquine
c’était enduit les dessous avec des sécrétions
d’ânesse en rut.
Le cuistot expliqua
à la foule et à Fiston qui était en direct
par satellite que les spaghettis étaient trop chaudes pour
que le combat commence de suite.
Autour du ring,
une tournée générale de pastaga fut servie
pour faire patienter la foule.
Fiston gueulait tellement dans le microphone que les techniciens
du studio c’étaient cassés, les auditeurs ne
savaient plus si c’était le dernier avion supersonique
qui faisait trembler leurs vitres et les spectateurs se vengeaient
sur le pastaga pour rendre le supplice supportable. Il imitait des
cris d’animaux puis des bruits de moteurs deux temps et enfin
des moteurs quatre temps.
Belle maman aux
anges d’entendre sa petite créature chérie beugler
dans les rues de Saint Saturnin avait enfin réussit à
faire main basse sur la prothèse de Super Plombus. Elle se
souvint de façon très émue de la soirée
ou Super Cochon et Super Goret l’avaient défoncé
à la dynamite et cela l’a mit en appétit. Elle
s’allongea derrière le troquet dans un tas de purin,
ôta ses frusques, écarta les pattes et à deux
mains s’introduit violemment la prothèse. Elle ne put
se retenir de pousser un cri bestial mais qui fut largement couvert
par ceux de son fiston. Elle passa en mode va et vient en hurlant,
Françouais n’avait qu’à pas picoler.
Pendant ce temps
les combattantes continuaient à s’échauffer
à un tel point qu’une odeur de poulet grillé
flottait parmi l’odeur de Bolognaise.
Le cuistot trempa
sa queue dans la mixture et brailla :
- Le ring est prêt.
Le silence se fit
hormis l’autre abruti qui continuait de chanter ses chansons
débiles sous un petit air de clarinette ainsi que belle maman
qui hurlait de plaisir. Le jury s’installa solennellement
et l’arbitre en maillot de bain sauta dans les spaghettis.
Les deux combattantes se tenaient fièrement prêtes
en arborant des tenues fluorescentes. On leur glissa quelques poignées
de poil à gratter dans leurs strings respectifs, puis elles
sautèrent dans la mixture.
Le maire se dressa pour prononcer un joli discours histoire d’immortaliser
le combat mais se prit illico des casseroles sur la gueule et se
barra en piaulant.
- Gagueu combat va commencer gueula Fiston du haut de sa fenêtre
avec le fil du micro emmêlé dans sa ficelle de string.
Le bruit du gong
déchira les tympans de tout le monde car un sumo de service
qui c’était fait priver de dessins animés par
sa maman depuis six mois, était spécialement sortit
de sa chambre pour se défouler sur le bordel en ferraille.
Il avait tapé tellement fort que les lorgnons des six premiers
rangs furent explosés. Le sumo de service fut ramené
manu militari dans sa chambre par sa maman qui le tenait par l’oreille
et lui bottait le cul.
- Gagueu Lucien alias Canardon est sortit du coma et à juré
que lorsque tous ses organes seront remis en place, il viendrait
se venger. Le petit Saturnin attend ses parents derrière
la cabane à chiote du père Bazzzin ce vieillard acariâtre.
Les paris vont bientôt être clos, dépêchez-vous.
Après ces
brillantes annonces, le combat commença. Les deux gourdasses
s’insultaient histoire de faire monter l’ambiance et
d’intimider l’adversaire.
- Alors la vieille grosse pute pustuleuse, elle sera dans un tel
état qu’elle fera le tapin devant la maison de retraite
après le combat ? demanda Emilie en se saisissant d’une
poignée de pâtes pour la balancer en direction de son
adversaire.
- Vieille radasse, tu ne fait triquer que du cinquième âge
quand tu te coupes les ongles des pieds répliqua Gertrouduc.
- Va te raser la chatte vieille conne tes poils descendent jusqu’aux
genoux.
L’ambiance montait sévère et quelques bagarres
éclataient déjà dans les premiers rangs. Un
cinquantenaire à tendence extême droite qui se grattait
tranquillement les couilles se fit choper par deux jeunes et passa
un sale moment. Les gamins le rossèrent à coup de
pompe à clou à un tel point qu’il en cracha
son ratelier puis lui caguèrent dans la bouche et partirent
rejoindre les putes.
- Vieille chipie décatie lança Emilie.
- Vieille chouette abrutie répliqua Gertrouduc.
Les deux maris depuis
leur chambre d’hôtel balancèrent la purée
et s’évanouirent d’émotion. à l’étage
au dessus, le vieil Emile se prit la jute dans la tronche et gueula
après les pigeons qui dégueulassaient tout. Il s’essuya
avec son tire jus et continua sa partie de glaviotage.
Gertrouduc comme
Emilie commençait à avoir la chatte qui la grattait
furieusement et ce fut cet élément qui déclencha
véritablement les hostilités. A la manière
d’un célèbre taureau du père machin,
elle grattèrent de leur pied droit le sol. Gertrouduc releva
son string qui l’a gênait ce qui laissa apparaître
des pans de graisse monstrueusement plantés de poils noirs
et raides. Emilie en fit autant mais elle était moins poilue
et se fit siffler. Elles prirent leur élan et s’entrechoquèrent
au beau milieu du ring. Le choc fut si violent qu’elles tombèrent
toutes deux à la renverse dans les spaghettis. Le combat
fut interrompu car les deux vedettes avaient disparu dans la mélasse.
Lorsque le service d’ordre les repêcha, il fallut leur
faire du bouche à bouche pour les ranimer. Les pompiers volontaires
d’office pour cet exercice après chaque expiration
mâchaient les pâtes qui étaient rejetées.
Les deux gourdasses eurent droit à un petit coup de porto
et rouvrirent les yeux. Couvertes de sauce tomate, elles continuaient
à s’insulter. Elles se saisirent par les cheveux et
se fouturent une peignée sans aucune pitié. Des gerbe
de sauce passaient par dessus le ring pour exploser sur les spectateurs.
Même les membres du jury ne savaient plus trop ou ils en étaient.
Finalement on arrêta le premier round non pas parce que le
temps était écoulé mais parce que tout le monde
avait soif, le cuistot avait dû trop saler la mixture. Les
deux combattantes en profitèrent pour se faire verser du
pastaga pur dans le calebutte histoire de tenter d’atténuer
les démangeaisons. Elle continuaient les insultes même
durant les pauses et une baston éclata dans la tribune présidentielle.
En effet le préfet cassa la gueule aux journalistes qui critiquaient
l’arbitrage de ce combat. Le service d’ordre intervint
très rapidement en passant systématiquement à
tabac tout ce qui portait un appareil photo.
Des petits futés à l’aide de louche piquaient
dans le ring des spaghettis pour les revendre à la portion.
- Gagueu les saloppes sont couverte de tomate, je trique comme un
jeune voyou et mon père dirait : si une grosse saloppe se
balade dans les parages qu’elle vienne illico me sucer gagueu
gagueugueu. Gertrouduc et Emilie sont toujours à égalité,
on peut voir que les deux gourdasses s’observent du même
œil et que lorsqu’elles seront bien chaudes ce sera le
combat du siècle. Déjà de tout part, mesdames
et messieurs ça bastonne sévère, que va donc
donner la fin de match dit un type qui discrètement avait
débranché le micro de Fiston et qui en l’imitant
essayait de relever le niveau.
Fiston se rendit
compte du subterfuge et retourna la poubelle de Françouais
pleine de détritus mal odorants sur la tronche de l’usurpateur.
Puis à coups de pompe il le fit valdinguer dans les escaliers
et retourna à son chef d’œuvre sonore en larguant
des pets sifflant.
Le bus qui faisait
la route du sexe pila car le chauffeur venait de s’écrouler
victime d’un coma éthylique. Toujours les mêmes
Japonais débarquèrent. Comme d’hab ils firent
moultes séances de photos devant la scène puis goûtèrent
les spaghets qui traînaient ça et là. Pour une
fois ils n’avaient pas de retard sur la populace car ayant
été visiter Goudriole Les Fiotes ils étaient
gavé de gnole spéciale touristes. L’effet de
la gnole était fort visible car ils ne faisaient que des
conneries qui ne faisdaient rire qu’eux. Comme ensuite ils
voulurent monter sur le ring pour exhiber leurs sexes, ils se firent
choper par le service d’ordre aidé du public et le
tout dégénéra en une gigantesque baston.
Lorsque le calme
fut revenu, les deux combattantes se trouvaient en état de
reprendre les hostilités. Leurs regards lançaient
toujours des éclairs et elles avaient ôté une
partie de leur tenue ce qui laissait apparaître de jolies
marques de sauce tomates dans le dos et sur le ventre. Elles s’attrapèrent
en hurlant et tentèrent de s’étriper. La foule
en délire hurlait de bonheur et les paris tombaient. Le type
qui vendait des boissons non alcoolisées abandonna son stand
et alla se pendre au premier arbre venu.
A la fenêtre
du studio d’enregistrement, fiston passa le micro à
un hirsute.
- Le soleil source de vie, source de chaleur tu m’empêches
d’aller me chercher dans la ruche des abeilles d’or
ce précieux nectar qu’est le miel. Même pas grave
car j’ai la ressource de me servir dans ma réserve
collectée de nuit lorsque le soleil dort à rayon fermé.
Je me gave du matin au soir et du soir au matin de ce précieux
produit confectionné par des fées. Je m’en passe
aussi sur la peau car lorsque je rentre chez moi en passant par
la réserve naturelle, je peux alors me faire lécher
par des ours. Alors et seulement alors je volette de fleur en fleur
en caguant et crachant sur dame nature. Puis vient le moment de
la pause et je m’en roule un petit nouveau que je coupe avec
du trèfle à quatre feuilles, c’est si bon pour
le moral. A la fin de ma pause, je laisse passer le troupeau de
vache et d’éléphants volant et pour ne pas me
stresser, je machouille des petites herbes euphorisantes. Après
ma petite sieste spécialement étudiée pour
laisser prendre au troupeau de l’avance, je me relève
et titubant faisant je retrouve mon chemin parmi les fourmilières
et taupinières que j’arrose volontiers avec mon chibre
de bab. Mais pourquoi est-il désespérément
petit depuis certaines expériences hors du commun ? La larme
à l’œil je lève le regard et observe de
magnifiques oiseaux poilus qui volent et en profite pour copuler.
Je me prend une fiente de volatile dans la tronche mais ne me lave
en aucun cas car il s’agit là d’un don de dame
nature. Au contraire je l’étale sur mon visage et espère
ardemment un autre don. Il me semblait flotter dans l’air
mais je viens de me rendre compte que mon pied est noyé dans
une bouse. Les mouches dans leur œuvre sculpturale sont dérangées
et me le font aimablement remarquer en bourdonnant autour de ma
bouche et divers orifices à l’air. Dieu m’expliquera
t-il un jour leur amour pour les sphincters ? Par la force des chose
la réalité à ressurgit et je continue sans
me soucier de mon soulier perdu à traverser la décharge
municipale. Je passe devant la partie organique et me fais applaudir
par des myriades de parasites et plus spécialement des vers.
J’aperçois au loin des tas de marguerites violettes,
des clématites bleues et des cheminées qui crachent
de la barbe à papa. Je jette en l’air mes vêtements
qui ne retombent pas et nu je cours sur la grève arc en ciel.
Mon esprit est tellement absorbé par l’essence de ces
lieux que je ne distingue même plus les trésors de
la nature chahutés par le flux des vagues. D’un coup
je sens qu’une rondelle explose, comme si de force l’on
me retenait et l’essence environnante me pénétrait
et puis cela passe. Ces lieux si envoûtant cherchent à
élargir le cercle de leurs influence. Mille souffles de rosée
puis d’alizé me tannent mon cuir endurcit par les épreuves.
Mais que ce passe t-il donc ? Ca y est je vole de nouveau. Le dépôt
d’ordure me paraît si petit, qu’en vrille stratosphérique
je suis partit. D’un coup d’un seul quelque chose me
meurtri le pied, je dégringole en torche et m ‘écrase
sur le sol boueux et puant de ces lieux. Quelques petits rats apeurés
retournent se cacher derrière leur maman, cela tombe bien
car c’était l’heure du goûter. Je relève
la tête et me rend compte avec horreur que mon pied est coincé
dans un piège à loup. Au loin je vois en rampant s’approcher
une bande de chelou. Je m’en allume une autre et ça
repart, je me retrouve avec des bouffées de chaleur dans
le blizzard. Les types louche ont dû me libérer et
je me retrouve sur un chemin à boiter. Malgré ce sentiment
d’intense paix, je balance une grosse série de pets
et sans me gêner je choque une brochette de Bretonnes qui
s’en allaient au village le coiffe sur la tête. Pour
achever de me distinguer je leur montre mon chibre déglingué.
Effrayées elles se précipitent pour ranimer la bête.
Tout elles essayeront de faire à l’ami Popol l’ex
roi de la goudriole, des caresses des heures durant puis se feront
choper par les ours. Oh j’aperçois la maison et maman
m’attend avec un bâton, c’est l’heure de
la baston.
Joachim, tout vert
reprit sa respiration, il venait de crever le fantasme de sa vie
qui était de s’exprimer à la radio sans se prendre
des coups de bâton dans la tronche.
- Gagueu, c’était mon copain Joachim le baba qui voulait
jacter en direct et qui vient de repartir s’en rouler une
dit fièrement Fiston.
Joachim en profita
pour avec son cutter, prendre quelques réserves de moquette
pour la route et prit la poudre d’escampette.
Malgré ce
discours radiophonique sans queue ni tête qui durait depuis
de trop longues minutes, le combat continuait plus violent que jamais.
Emilie griffait le poitrail de Gertrouduc qui hurlait comme une
truie.
Le public qui en
demandait toujours plus tapait des pieds d’extase.
Il
n’y avait quasiment plus de spaghettis ni de tomate dans le
ring spécialement aménagé pour l’occasion
mais tout le monde en était couvert des pieds à la
tête. Gertrouduc qui n’en pouvait plus lâcha les
cheveux d’Emilie qui gisait dans le même état.
Gertrouduc glissa sur un vers de terre qui depuis trois heures c’était
escrimé à monter sur le ring pensant qu’il s’agissait
d’une méga partouze dans du coulis de tomate. Elle
tomba sur le ventre d’Emilie et sa tronche s’écrasa
sur son bas ventre. Elles eurent le même réflexe de
se déchirer avec les dents leurs strings respectifs et de
se brouter mutuellement un mélange de poils, spaghettis,
tomate et poil à gratter en poussant des râles. Les
maris du haut de leur balcon qui venaient de retrouver leurs esprits
se branlèrent mutuellement en hurlant de bonheur, ils pourraient
maintenant faire des échanges et aussi des partouzes. Le
père Emile en avala son glaviot et passa l’arme à
gauche en triquant mou mais en triquant un maximum pour lui quand
même
Puis comme tout
le monde commençait à se faire chier littéralement,
l’arbitre siffla la fin de la rencontre et prononça
la fin du combat mais de toute façon les deux combattantes
n’en avaient plus rien à foutre.
Chapitre
suivant
|
 |