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Sonné, Françouais fut
ramené dans sa chambre et déjà à peine
trente seconde après s’énervait déjà
. Effectivement il avait repéré la grosse larve qui
roupillait en boule par terre et qui ronflait comme un sonneur de
cloches. Jamais il ne pourrait être tranquille avec la vieille
alors qu’elle était visiblement très chaude.
– Alors mon petit loup, cela t’amuse de faire peur à
ta vieille préférée ? demanda t-elle à
mi voix à Françouais pour ne pas réveiller
son fiston adoré.
- Tu vois que j’ai encore de beaux restes et je ne suis pas
le vieil enfoiré que tu aimerais que je sois.
- Mais oui, mais oui, ne t’énerves pas ce n’est
bon pour ton cœur.
- Alors comment m’as tu trouvé sur ce coup là
? demanda Françouais qui était le premier surpris
devant la tournure des choses.
– Oh mon héros, tu étais grandiose, mais qui
était cette demoiselle le cul à l’air qui te
courrait après en hurlant qu’elle mettait des serviettes
?
– C’est une hystérique, je ne la connais pas
et lorsqu’elle m’a repéré sur ma luge
avec mon style si grandiose, elle c’est déchirée
la combinaison devant moi et à voulu faire croire à
qui voulait bien l’entendre que j’étais coupable.
– Oh mon pauvre chou dit belle maman en caressant le crâne
encore transpirant de Françouais.
– Mais la pire dans tout cela, c’était sa copine,
jalouse que l’autre ait en premier l’idée de
se déchirer les vêtements.
– Ni pense plus, cela va te contrarier et ensuite tu auras
peur de retourner faire de la luge.
– Terminé la luge pour moi aujourd’hui, j’ai
fait du sport pour vingt ans.
- Nan nan nan, tu étais tellement impressionnant que j’exige
que tu en fasses tous les jours, se serait du gaspillage que de
passer à côté d’une telle occasion d’exercer
tes talents.
- Rien à faire, il faudra me monter à la cime de force
et me balancer. Je refuse de risquer une deuxième fois ma
vie dans ce putain de bled ou l’on ne sert de l’alcool
qu’à partir de midi. C’est un scandale, je vais
leur faire une de ces pub moi à ses enfoirés qu’ils
ne seront pas prêt de voir pendant longtemps un seul touriste.
– Calme-toi, tu sais ce qui ne va pas chez toi ?
- Non et je m’en fous.
– Et bien je te répondrais quand même : tu es
trop nerveux, tu feras un très mauvais vieillard.
– Je ferais un vieillard alcoolique et c’est déjà
pas mal du tout, moi j’en connais pleins de femmes à
Saint Saturnin qui souhaiteraient partager leur toit et leurs fantasmes
avec un vieux taré.
Belle maman se dirigea
vers la salle de bain et fit couler l’eau chaude dans la baignoire.
- Mais pourquoi tu gaspilles l’eau, tu t’es déjà
lavée l’année dernière. Vous les femmes
vous êtes des créatures du diable, vous ne pouvez pas
vous empêcher de gaspiller, c’est plus fort que vous.
– Viens donc, je vais te faire un petit massage pour te détendre.
Françouais
n’attenda pas la deuxième proposition pour rappliquer,
il enleva ses fringues sauf ses chaussettes trouées et son
calebutte bizarroide. Surexcité il sentait son chibre se
durcir et se laissa faire. Belle maman le fit mettre à genou
devant la cuvette des chiotards et le fit se pencher en avant. Elle
se saisit du balais en plastique pour pratiquer un massage intensif
dans le dos de Françouais. L’œil torve, il se
laissait faire en fixant le fond de la cuvette, une gaule effroyable
lui faisait rentrer dans sa raie son calebutte. Belle maman avait
fait couler de l’eau pour favoriser l’apparition de
vapeur et faire un effet hammam. Elle se colla au derrière
de Françouais et d’une main continua son massage pour
de l’autre se saisir du chibre et le branler sans ménagement.
Il poussait de temps à autre des petits cris en serrant entre
les dents la lunette pour éviter de se laisser aller si tôt.
Belle maman en avait des douleurs dans les doigts tant elle l’astiquait
brutalement. Françouais commença à onduler
son corps, elle savait qu’il allait s’oublier. Elle
cessa le massage pour lui introduire le manche à balais dans
le cul pour le faire tenir plus longtemps. Françouais beugla
car il était peu habitué à se faire ramoner
par un manche en plastique protégé par du coton. Elle
le branla de plus belle avec les deux mains et il s’oublia
en poussant des bramements de vieux male solitaire.
Lorsqu’elle
en eut finit, il dormait comme un nouveau né sur sa cuvette.
Elle aurait quelques heures de tranquillité et pourrait fainéanter
devant les tonnes de feuilletons stupides proposés à
la TV. Elle s’installa, passa un coup de téléphone
et fixa l’écran pendant que fiston dormait lui aussi
à poings fermés.
La nuit n’était
pas encore tombé qu’une armoire à glace cogna
à la porte en faisant vibrer les murs. Belle maman toute
guète, s’habilla et se vida trois litres de parfum
entre les nibards. Son homme à tout faire commandé
le matin même était ravissant, un authentique montagnard
qui puait de la bite car c’est ce qu’elle avait demandé
et qui riait bêtement dès qu’il apercevait un
seul centimètre quarré de peau féminine. Ils
quittèrent discrètement la chambre pour laisser roupiller
les deux autres abrutis. Ils allèrent dans une bergerie,
celle du père du montagnard et belle maman pratiqua avec
délice sa plus inoubliable fellation. Ensuite elle fut subjuguée
de se retrouver avec un certain nombre de centilitres de sperme
dans la bouche et sur le visage. Elle inventa des trésors
de gouzis gouzis pour rapidement faire retrouver au membre du montagnard
sa dureté puis se fit mettre dans tous les orifices. Elle
braillait tellement que les ovins prirent peur et décampèrent
par la porte mal fermée.
- Laisse Simone, je m’en occupe cela doit encore être
les légionnaires du camp militaire d’à côté
qui font une descente dit le vieux qui entendit ses bêtes
à l’extérieur.
Il remit son futal
à bretelles intégrées et descendit le bide
en avant et la pétoire à la main voir d’ou venait
tout ce bordel. Lorsqu’il entra dans la bergerie, il poussa
une telle gueulante que son fils prit peur et débanda illico.
Il le prit par l’oreille et le ramena à la niche du
chien en lui foutant des coups de pompes dans le derche. Il l’attacha
à la chaîne libre depuis que le chien avait fait les
frais d’une dispute conjugale ou il avait plombé l’animal
alors qu’il visait la fermière. Il laissa sont fils
qui se résignait à passer la nuit à la niche
et retourna à l’intérieur de la bergerie. Là
belle maman l’attendait les poils pubiens décoiffés
mais les jambes écartées. Elle lui fit sauter ses
bretelles et le vieux la fourra en larguant quelques pets. Le chibre
du vieux contrairement à celui du jeune était plus
violasson et mollasson mais avec l’expérience restait
performant. Lorsqu’il envoya la purée, il poussait
des cris comme si il avait vu un loup s’attaquer à
ses moutons. Il se retira en grommelant, se coucha sur le côté
dans la paille et commença à ronfler.
Belle maman ne fut
pas satisfaite de ce type de comportement et alla à la niche
pour retrouver l’autre qui commençait à se les
peler sévère. La niche était trop petite pour
deux et le jeune visiblement très troublé par la correction
du paternel ne put satisfaire la vieille qui changea de crémerie.
Elle revint jusqu’à
la station ou la présence de lumières clignotantes
indiquait une discothèque. Elle se fendit d’une turlutte
au videur qui selon le règlement ne pouvait laisser rentrer
belle maman du fait qu’elle portait des sabots. Quelques instants
après elle était à l’intérieur
à chercher le plus bel étalon de la région.
Elle élimina tout de suite les touristes car d’après
ses palpations leur chibre étaient au niveau taille dans
la moyenne. Son regard s’attarda longuement sur un groupe
de péquenauds locaux qui sirotaient chacun sa bouteille de
whisky en parlant de choses visiblement très sales. En tendant
l’oreille elle entendit le plus petit de la bande se vanter
d’avoir niqué en une soirée plus d’une
vingtaine de truies ayant été élevées
sous la mère. A ces mots elle dégrafa au maximum son
corsage pour attirer le regard d’au moins l’un d’entre
eux.
- Excusez moi jeunes, gens je me sens seule et sans protection,
puis-je me joindre à vous car je me suis déjà
faite violer à plusieurs reprises.
– Ben bien sûr que la petite dame elle peut venir avec
nous, mas faut aller voir les flics pour vos emmerdes.
– Oh ! non, vous savez je ne suis que de passage ici, je ne
voudrais pas faire d’histoires et surtout pas donner d’ennuis
à certaines personnes alors que j’étais consentante.
- Ah la petite dame elle aime bien se faire violer.
– Oh ce n’est pas que j’adore mais un viol, voire
une tournante cela ne m’a jamais fait peur.
– Et si nous on faisait pareil ? demanda le petit d’un
air vicelard car il était visiblement le seul du groupe à
avoir pigé que la vieille serait consentante.
– Oh ! mais se serait avec grand plaisir.
– C’est quoi vos tarifs ?
– Ecoutez je n’ai pas beaucoup d’argent alors
si vous me faisiez un prix de groupe, j’accepterais volontiers,
dites moi combien je dois vous donner.
Il y eut une très
longue hésitation car les abrutis ne comprenaient plus grand
chose à la situation. Il décidèrent d’aller
aux chiotes pour réfléchir.
– Attendez-nous ici, on va dégorger le poireau dit
le petit avec toujours le même air vicelard.
– Ben qu’est-ce qu’elle nous veux cette mégère
?
– ‘Tain t’as rien compris tête d’ampoule,
elle veut se faire sauter et elle ne demande que cela.
– Ouaip mais elle est quand même bien amochée,
vous ne trouvez pas ?
Les rustauds ne
pigeaient rien à ce qu’il leur arrivait. Il se regardaient
d’un air abruti. L’un d’entre eux s’absenta
pour aller gerber à côté de la cuvette. Lorsqu’il
revint la puanteur les chassa tous. Ils réapparurent devant
belle maman et commandèrent une nouvelle tournée.
Ils s’assirent à une table et quelques minutes après
belle maman se retrouva sous la table à genou à faire
des pipes à la chaîne.
Le disc jockey surexcité
par la scène balança les pires mixes existant, des
trucs du type la danse des canards qui foutent une ambiance d’enfer
même dans la plus morne des soirées.
Lorsque le plus
gros des gars du groupe balança la purée, il gesticula
en même temps et cassa la table. Une fois la stupeur passée,
il voulurent tous sauter sur belle maman qui s’était
retrouvée pattes en l’air. Se fut la grosse baston,
car tous le chibre à l’air en voulaient pour leur argent.
Belle maman après avoir sermonné tout se petit monde,
se fit mettre de toutes les façons et par tous les orifices.
Certains touristes eurent aussi le droit de passer sur elle à
partir du moment ou ils le demandaient poliment.
Les danseuses de
strip tease voyant que la fin de leur carrière serait vite
proche avec une telle concurrence rappliquèrent sur la piste
pour aussi se faire ramoner. Le tout dégénéra
dans une grosse partouze ou l’on picolait et ramonait à
souhait.
Vers quatre heure
du mat, tout le monde commençait à avoir sévère
mal au bas du ventre, de plus le barman n’avait plus de capotes
donc l’ambiance tomba rapidement. Les gens se ressapèrent
et reprirent une dernière consommation pour la route. Belle
maman fit connaissance avec les gars du pays qui étaient
pour la plupart profs de ski ou perchistes. Ils en virent à
parler de l’exploit formidable du lugeur fou qui ferait pâlir
de rage n’importe quel sportif.
- Alors, vous savez que je suis maquée avec cet athlète.
– Non ce n’est pas vrai répondirent-ils tous
en chœur.
– Si je vous assure, il s’appelle même Françouais
et vient de Saint Saturnin les bains. D’ordinaire il s’entraîne
au bistrot mais il était trop fatigué ce soir et n’a
pas pu venir faire la nouba avec moi.
Belle maman vanta
les exploits de Françouais des minutes durant, les connards
la regardaient bouche bée. Elle se répéta beaucoup
mais cela était fort utile car elle était mal comprise
mais elle allait là ou elle avait bien décidé
d’aller.
- Je vous le dit, Françouais est un grand timide, il a fallu
que je le supplie pour qu’il fasse une petite démonstration
de luge aujourd’hui car il ne voulait pas le faire.
– Oh ! non ce n’est pas juste, il voulait nous priver
de ce spectacle.
– Effectivement, vous avez faillit être privé
de ce fabuleux spectacle et voulez-vous qu’il remette cela
?
Personne ne répondit
à la question de belle maman, elle sentit la nécessité
de reformuler pour ces coincés de la comprenette.
- Voulez-vous qu’il remette cela demain oui ou non ?
– Oui répondirent en chœur les cloportes.
– Et bien c’est fort simple, savez-vous ce que vous
allez faire ?
Les connards se
rapprochèrent de belle maman qui parla à haute et
intelligible voix pour expliquer ce qu’elle mijotait. Après
quelques minutes d’un discours acharné, tout le monde
semblait d’accord sur le principe d’aller réveiller
Françouais au petit matin histoire de lui redonner l’envie
de faire un petit peu de luge.
Les rustauds partirent
bras dessus bras dessous en piaulant des chansons paillardes dont
l’air était complètement saboté. Quelques
uns se ramassèrent la gueule car ils avaient oublié
la problématique des plaques de verglas sur les routes en
pleine montagne. Tout ce petit monde alla donc fièrement
se coucher.
Personne n’avait
raccompagné belle maman, d’ailleurs peux de gens se
souviendraient le lendemain d’elle à la vue du grammage
moyen en alcool dans le sang de la populace. Elle rentrait tranquillement
fière du nouveau coup qu’elle portait à Françouais.
Elle manqua à plusieurs reprises de se flanquer par terre
mais le sabot crotté avait relativement bonne adhérence
au bitume verglacé.
En marchant elle
put constater dans le calme des environs que son sexe faisait un
bruit bizarre. Un petit peu comme lorsque l’on marche en bottes
avec un litre d’eau dans chacune d’elles. elle ne comprenait
pas du tout pourquoi elle faisait un tel bruit.
Elle tressaillit à l’idée que Françouais
pourrait être réveillé et l’attendre avec
une planche à clous ou un truc du genre derrière la
porte, histoire de bien lui communiquer ses sentiments du moment.
Elle pressa le pas car il y avait Fiston que Françouais pourrait
aussi abîmer pour un prétexte fallacieux.
Elle ne put forcer
trop longtemps le pas car elle avait vraiment trop mal au fion,
avec l’âge elle avait perdu en élasticité.
Elle irait voir le premier paysan venu le lendemain pour se mettre
dans la culotte un peu de graisse à traire.
Mais malgré
ce petit tracas, la journée avait été excellente
pour elle et elle se découvrit un amour incommensurable pour
la montagne.
A l’accueil
de l’hôtel elle appela le gardien de nuit histoire de
se faire sauter une dernière fois derrière le comptoir
mais cet enfoiré avait du s’endormir. Elle rentra à
pas feutrés dans la chambre. Son fiston pionssait toujours
et Françouais faisaient toujours la loque humaine sur la
cuvette. De peur de le réveiller belle maman alla pisser
sur le balcon et une fois la tâche accomplie eut la sensation
d’avoir la peau du cul moins tendue.
Elle se déssapa
et se jeta à poil dans son pucier, peut-être avec un
peu de chance le lendemain lorsque les bûcherons viendraient
chercher Françouais, il y en aurait un qui s’en rendrait
compte et se proposerait de rester pour la réchauffer.
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