Les aventures de Françouais



Chapitre 14 - La troisième mi temps


 
 

Sonné, Françouais fut ramené dans sa chambre et déjà à peine trente seconde après s’énervait déjà . Effectivement il avait repéré la grosse larve qui roupillait en boule par terre et qui ronflait comme un sonneur de cloches. Jamais il ne pourrait être tranquille avec la vieille alors qu’elle était visiblement très chaude.
– Alors mon petit loup, cela t’amuse de faire peur à ta vieille préférée ? demanda t-elle à mi voix à Françouais pour ne pas réveiller son fiston adoré.
- Tu vois que j’ai encore de beaux restes et je ne suis pas le vieil enfoiré que tu aimerais que je sois.
- Mais oui, mais oui, ne t’énerves pas ce n’est bon pour ton cœur.
- Alors comment m’as tu trouvé sur ce coup là ? demanda Françouais qui était le premier surpris devant la tournure des choses.
– Oh mon héros, tu étais grandiose, mais qui était cette demoiselle le cul à l’air qui te courrait après en hurlant qu’elle mettait des serviettes ?
– C’est une hystérique, je ne la connais pas et lorsqu’elle m’a repéré sur ma luge avec mon style si grandiose, elle c’est déchirée la combinaison devant moi et à voulu faire croire à qui voulait bien l’entendre que j’étais coupable.
– Oh mon pauvre chou dit belle maman en caressant le crâne encore transpirant de Françouais.
– Mais la pire dans tout cela, c’était sa copine, jalouse que l’autre ait en premier l’idée de se déchirer les vêtements.
– Ni pense plus, cela va te contrarier et ensuite tu auras peur de retourner faire de la luge.
– Terminé la luge pour moi aujourd’hui, j’ai fait du sport pour vingt ans.
- Nan nan nan, tu étais tellement impressionnant que j’exige que tu en fasses tous les jours, se serait du gaspillage que de passer à côté d’une telle occasion d’exercer tes talents.
- Rien à faire, il faudra me monter à la cime de force et me balancer. Je refuse de risquer une deuxième fois ma vie dans ce putain de bled ou l’on ne sert de l’alcool qu’à partir de midi. C’est un scandale, je vais leur faire une de ces pub moi à ses enfoirés qu’ils ne seront pas prêt de voir pendant longtemps un seul touriste.
– Calme-toi, tu sais ce qui ne va pas chez toi ?
- Non et je m’en fous.
– Et bien je te répondrais quand même : tu es trop nerveux, tu feras un très mauvais vieillard.
– Je ferais un vieillard alcoolique et c’est déjà pas mal du tout, moi j’en connais pleins de femmes à Saint Saturnin qui souhaiteraient partager leur toit et leurs fantasmes avec un vieux taré.
Belle maman se dirigea vers la salle de bain et fit couler l’eau chaude dans la baignoire.
- Mais pourquoi tu gaspilles l’eau, tu t’es déjà lavée l’année dernière. Vous les femmes vous êtes des créatures du diable, vous ne pouvez pas vous empêcher de gaspiller, c’est plus fort que vous.
– Viens donc, je vais te faire un petit massage pour te détendre.
Françouais n’attenda pas la deuxième proposition pour rappliquer, il enleva ses fringues sauf ses chaussettes trouées et son calebutte bizarroide. Surexcité il sentait son chibre se durcir et se laissa faire. Belle maman le fit mettre à genou devant la cuvette des chiotards et le fit se pencher en avant. Elle se saisit du balais en plastique pour pratiquer un massage intensif dans le dos de Françouais. L’œil torve, il se laissait faire en fixant le fond de la cuvette, une gaule effroyable lui faisait rentrer dans sa raie son calebutte. Belle maman avait fait couler de l’eau pour favoriser l’apparition de vapeur et faire un effet hammam. Elle se colla au derrière de Françouais et d’une main continua son massage pour de l’autre se saisir du chibre et le branler sans ménagement. Il poussait de temps à autre des petits cris en serrant entre les dents la lunette pour éviter de se laisser aller si tôt. Belle maman en avait des douleurs dans les doigts tant elle l’astiquait brutalement. Françouais commença à onduler son corps, elle savait qu’il allait s’oublier. Elle cessa le massage pour lui introduire le manche à balais dans le cul pour le faire tenir plus longtemps. Françouais beugla car il était peu habitué à se faire ramoner par un manche en plastique protégé par du coton. Elle le branla de plus belle avec les deux mains et il s’oublia en poussant des bramements de vieux male solitaire.
Lorsqu’elle en eut finit, il dormait comme un nouveau né sur sa cuvette. Elle aurait quelques heures de tranquillité et pourrait fainéanter devant les tonnes de feuilletons stupides proposés à la TV. Elle s’installa, passa un coup de téléphone et fixa l’écran pendant que fiston dormait lui aussi à poings fermés.
La nuit n’était pas encore tombé qu’une armoire à glace cogna à la porte en faisant vibrer les murs. Belle maman toute guète, s’habilla et se vida trois litres de parfum entre les nibards. Son homme à tout faire commandé le matin même était ravissant, un authentique montagnard qui puait de la bite car c’est ce qu’elle avait demandé et qui riait bêtement dès qu’il apercevait un seul centimètre quarré de peau féminine. Ils quittèrent discrètement la chambre pour laisser roupiller les deux autres abrutis. Ils allèrent dans une bergerie, celle du père du montagnard et belle maman pratiqua avec délice sa plus inoubliable fellation. Ensuite elle fut subjuguée de se retrouver avec un certain nombre de centilitres de sperme dans la bouche et sur le visage. Elle inventa des trésors de gouzis gouzis pour rapidement faire retrouver au membre du montagnard sa dureté puis se fit mettre dans tous les orifices. Elle braillait tellement que les ovins prirent peur et décampèrent par la porte mal fermée.
- Laisse Simone, je m’en occupe cela doit encore être les légionnaires du camp militaire d’à côté qui font une descente dit le vieux qui entendit ses bêtes à l’extérieur.
Il remit son futal à bretelles intégrées et descendit le bide en avant et la pétoire à la main voir d’ou venait tout ce bordel. Lorsqu’il entra dans la bergerie, il poussa une telle gueulante que son fils prit peur et débanda illico. Il le prit par l’oreille et le ramena à la niche du chien en lui foutant des coups de pompes dans le derche. Il l’attacha à la chaîne libre depuis que le chien avait fait les frais d’une dispute conjugale ou il avait plombé l’animal alors qu’il visait la fermière. Il laissa sont fils qui se résignait à passer la nuit à la niche et retourna à l’intérieur de la bergerie. Là belle maman l’attendait les poils pubiens décoiffés mais les jambes écartées. Elle lui fit sauter ses bretelles et le vieux la fourra en larguant quelques pets. Le chibre du vieux contrairement à celui du jeune était plus violasson et mollasson mais avec l’expérience restait performant. Lorsqu’il envoya la purée, il poussait des cris comme si il avait vu un loup s’attaquer à ses moutons. Il se retira en grommelant, se coucha sur le côté dans la paille et commença à ronfler.
Belle maman ne fut pas satisfaite de ce type de comportement et alla à la niche pour retrouver l’autre qui commençait à se les peler sévère. La niche était trop petite pour deux et le jeune visiblement très troublé par la correction du paternel ne put satisfaire la vieille qui changea de crémerie.
Elle revint jusqu’à la station ou la présence de lumières clignotantes indiquait une discothèque. Elle se fendit d’une turlutte au videur qui selon le règlement ne pouvait laisser rentrer belle maman du fait qu’elle portait des sabots. Quelques instants après elle était à l’intérieur à chercher le plus bel étalon de la région. Elle élimina tout de suite les touristes car d’après ses palpations leur chibre étaient au niveau taille dans la moyenne. Son regard s’attarda longuement sur un groupe de péquenauds locaux qui sirotaient chacun sa bouteille de whisky en parlant de choses visiblement très sales. En tendant l’oreille elle entendit le plus petit de la bande se vanter d’avoir niqué en une soirée plus d’une vingtaine de truies ayant été élevées sous la mère. A ces mots elle dégrafa au maximum son corsage pour attirer le regard d’au moins l’un d’entre eux.
- Excusez moi jeunes, gens je me sens seule et sans protection, puis-je me joindre à vous car je me suis déjà faite violer à plusieurs reprises.
– Ben bien sûr que la petite dame elle peut venir avec nous, mas faut aller voir les flics pour vos emmerdes.
– Oh ! non, vous savez je ne suis que de passage ici, je ne voudrais pas faire d’histoires et surtout pas donner d’ennuis à certaines personnes alors que j’étais consentante.
- Ah la petite dame elle aime bien se faire violer.
– Oh ce n’est pas que j’adore mais un viol, voire une tournante cela ne m’a jamais fait peur.
– Et si nous on faisait pareil ? demanda le petit d’un air vicelard car il était visiblement le seul du groupe à avoir pigé que la vieille serait consentante.
– Oh ! mais se serait avec grand plaisir.
– C’est quoi vos tarifs ?
– Ecoutez je n’ai pas beaucoup d’argent alors si vous me faisiez un prix de groupe, j’accepterais volontiers, dites moi combien je dois vous donner.
Il y eut une très longue hésitation car les abrutis ne comprenaient plus grand chose à la situation. Il décidèrent d’aller aux chiotes pour réfléchir.
– Attendez-nous ici, on va dégorger le poireau dit le petit avec toujours le même air vicelard.
– Ben qu’est-ce qu’elle nous veux cette mégère ?
– ‘Tain t’as rien compris tête d’ampoule, elle veut se faire sauter et elle ne demande que cela.
– Ouaip mais elle est quand même bien amochée, vous ne trouvez pas ?
Les rustauds ne pigeaient rien à ce qu’il leur arrivait. Il se regardaient d’un air abruti. L’un d’entre eux s’absenta pour aller gerber à côté de la cuvette. Lorsqu’il revint la puanteur les chassa tous. Ils réapparurent devant belle maman et commandèrent une nouvelle tournée. Ils s’assirent à une table et quelques minutes après belle maman se retrouva sous la table à genou à faire des pipes à la chaîne.
Le disc jockey surexcité par la scène balança les pires mixes existant, des trucs du type la danse des canards qui foutent une ambiance d’enfer même dans la plus morne des soirées.
Lorsque le plus gros des gars du groupe balança la purée, il gesticula en même temps et cassa la table. Une fois la stupeur passée, il voulurent tous sauter sur belle maman qui s’était retrouvée pattes en l’air. Se fut la grosse baston, car tous le chibre à l’air en voulaient pour leur argent. Belle maman après avoir sermonné tout se petit monde, se fit mettre de toutes les façons et par tous les orifices. Certains touristes eurent aussi le droit de passer sur elle à partir du moment ou ils le demandaient poliment.
Les danseuses de strip tease voyant que la fin de leur carrière serait vite proche avec une telle concurrence rappliquèrent sur la piste pour aussi se faire ramoner. Le tout dégénéra dans une grosse partouze ou l’on picolait et ramonait à souhait.
Vers quatre heure du mat, tout le monde commençait à avoir sévère mal au bas du ventre, de plus le barman n’avait plus de capotes donc l’ambiance tomba rapidement. Les gens se ressapèrent et reprirent une dernière consommation pour la route. Belle maman fit connaissance avec les gars du pays qui étaient pour la plupart profs de ski ou perchistes. Ils en virent à parler de l’exploit formidable du lugeur fou qui ferait pâlir de rage n’importe quel sportif.
- Alors, vous savez que je suis maquée avec cet athlète.
– Non ce n’est pas vrai répondirent-ils tous en chœur.
– Si je vous assure, il s’appelle même Françouais et vient de Saint Saturnin les bains. D’ordinaire il s’entraîne au bistrot mais il était trop fatigué ce soir et n’a pas pu venir faire la nouba avec moi.
Belle maman vanta les exploits de Françouais des minutes durant, les connards la regardaient bouche bée. Elle se répéta beaucoup mais cela était fort utile car elle était mal comprise mais elle allait là ou elle avait bien décidé d’aller.
- Je vous le dit, Françouais est un grand timide, il a fallu que je le supplie pour qu’il fasse une petite démonstration de luge aujourd’hui car il ne voulait pas le faire.
– Oh ! non ce n’est pas juste, il voulait nous priver de ce spectacle.
– Effectivement, vous avez faillit être privé de ce fabuleux spectacle et voulez-vous qu’il remette cela ?
Personne ne répondit à la question de belle maman, elle sentit la nécessité de reformuler pour ces coincés de la comprenette.
- Voulez-vous qu’il remette cela demain oui ou non ?
– Oui répondirent en chœur les cloportes.
– Et bien c’est fort simple, savez-vous ce que vous allez faire ?
Les connards se rapprochèrent de belle maman qui parla à haute et intelligible voix pour expliquer ce qu’elle mijotait. Après quelques minutes d’un discours acharné, tout le monde semblait d’accord sur le principe d’aller réveiller Françouais au petit matin histoire de lui redonner l’envie de faire un petit peu de luge.
Les rustauds partirent bras dessus bras dessous en piaulant des chansons paillardes dont l’air était complètement saboté. Quelques uns se ramassèrent la gueule car ils avaient oublié la problématique des plaques de verglas sur les routes en pleine montagne. Tout ce petit monde alla donc fièrement se coucher.
Personne n’avait raccompagné belle maman, d’ailleurs peux de gens se souviendraient le lendemain d’elle à la vue du grammage moyen en alcool dans le sang de la populace. Elle rentrait tranquillement fière du nouveau coup qu’elle portait à Françouais. Elle manqua à plusieurs reprises de se flanquer par terre mais le sabot crotté avait relativement bonne adhérence au bitume verglacé.
En marchant elle put constater dans le calme des environs que son sexe faisait un bruit bizarre. Un petit peu comme lorsque l’on marche en bottes avec un litre d’eau dans chacune d’elles. elle ne comprenait pas du tout pourquoi elle faisait un tel bruit.
Elle tressaillit à l’idée que Françouais pourrait être réveillé et l’attendre avec une planche à clous ou un truc du genre derrière la porte, histoire de bien lui communiquer ses sentiments du moment. Elle pressa le pas car il y avait Fiston que Françouais pourrait aussi abîmer pour un prétexte fallacieux.
Elle ne put forcer trop longtemps le pas car elle avait vraiment trop mal au fion, avec l’âge elle avait perdu en élasticité. Elle irait voir le premier paysan venu le lendemain pour se mettre dans la culotte un peu de graisse à traire.
Mais malgré ce petit tracas, la journée avait été excellente pour elle et elle se découvrit un amour incommensurable pour la montagne.
A l’accueil de l’hôtel elle appela le gardien de nuit histoire de se faire sauter une dernière fois derrière le comptoir mais cet enfoiré avait du s’endormir. Elle rentra à pas feutrés dans la chambre. Son fiston pionssait toujours et Françouais faisaient toujours la loque humaine sur la cuvette. De peur de le réveiller belle maman alla pisser sur le balcon et une fois la tâche accomplie eut la sensation d’avoir la peau du cul moins tendue.
Elle se déssapa et se jeta à poil dans son pucier, peut-être avec un peu de chance le lendemain lorsque les bûcherons viendraient chercher Françouais, il y en aurait un qui s’en rendrait compte et se proposerait de rester pour la réchauffer.

Chapitre suivant

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Attention ce site est naze et son contenu peut heurter votre sensibilité, c'est pour cela que vous avez certainement mieux à faire que de rester ici, passez votre chemin et oubliez ce site