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Quelques jours plus tard, le gros
porc considérablement amaigri quitta belle maman. Il avait
en tête de retrouver son cheptel dans son cher hangar puant.
Belle maman le traita de salaud et de gros porc, en se retournant
il l’à regarda d’un air dédaigneux, rosit
et largua une giclée d’une centaine de litres de lisier
au beau milieu du salon. Il était fermement décidé
à retrouver ses cochonnes qui ne le pompaient pas à
longueur de journée même si leurs exigences en la matière
de relations sexuelles étaient fort pressantes.
- Et le bébé, tu y as pensé au bébé
espèce de salopard hurla belle maman à la fenêtre.
Le porc largua une autre salve de lisier et continua son chemin
l’air las. Son chibre était rougit par la somme des
efforts de ces derniers jours.
- Enfoiré, retourne chez tes putes gueula la vieille en claquant
la fenêtre.
En se retournant, elle se trasha dans la flaque de lisier, cela
commençait à devenir habituel dans le bled.
Françouais
qui n’avait pas loupé une miette de la scène
eut le gourdin et se pignola de bonheur. De plus le porc se fit
trucider par une bande de chasseurs bourrés qui l’avaient
confondu avec un sanglier albinos. Françouais triqua de nouveau
car il pourrait maintenant aller quand bon lui semblerait se faire
des truies à la porcherie.
Belle maman qui
avait assistée à la fusillade hurla comme une possédée
et galopa pour cracher à la gueule de deux connards qui essayant
de viser la bête c’étaient flingués entre
eux. Leurs potes loin déjà avaient prit la direction
du troquet histoire d’arroser cette prise inattendue.
Françouais
en profita pour pénétrer dans la maison, fermement
décider à laisser dans un maximum d’endroits
sa marque de fabrique. Il alla en premier lieu caguer dans le frigidaire
et en profita pour s’enfiler la boutanche de vodka qui traînait.
Il fichu un barouffe pas possible dans toute la casba, renversant
la pendule, éventrant les coussins, vidant les placards.
A l’étage il se contenta de gerber dans le tiroir à
petites culottes devant lequel il c’était si souvent
branlé à pleine paluche.
Belle maman avait
déssapé les deux cadavres encore chaud et faisait
son maximum pour faire grossir leurs sexes. Une fois un résultat
presque probant obtenu, elle se saisit de son opinel pour les émasculer.
Elle revient d’un pas décidé avec les deux objets
de convoitise à la main. De retour dans sa maison, elle poussa
un ouf de soulagement car elle retrouvait le bazar habituel. Finalement
ce connard de prince charmant lui avait fait perdre des heures inutilement
à faire du ménage.
Affairée
dans sa cuisine, elle vida les deux pines, piqua avec des clous
de girofle les deux paires de baboules. Ensuite elle se saisit du
rouleau à pâtisserie pour y enfiler aux deux extrémités
les deux peaux de bite. Avec un bon fil de cuisine et une bonne
aiguille elle cousu les bites qui paraissaient maintenant monstrueuses,
puis les baboules. Elle possèderait d’ici à
quelques jours le meilleur godemichet du monde à double sens.
Comme il devait auparavant sécher, elle le plaça donc
au dessus de sa cheminée ainsi il prendrait un léger
goût de fumé.
Françouais derrière la fenêtre fulminait de
rage, ‘tain de saloperie de bonne femme qui ne gueulait même
pas que quelqu’un ait violé son intimité pour
y foutre le bordel durant son absence. Inimaginable, absolument
inimaginable jamais il n’avait vu une telle souillon. Il repensa
aux sentiments qu’il éprouvait pour elle : rien que
de la haine. Mais en fait il en était éperdument amoureux
car les aventures de ces derniers jours lui avaient retourné
les tripes et la bite aussi. Il s’achèverait au troquet
pour se remettre de ses émotions.
Il arriva sur la
place du village et il y avait un monde fou. Des tonnes de journalistes
se tenaient en rang d’oignon devant le troquet. Une banderole
contenait le message : ‘Honneur au milliardième visiteur’,
un autre : ‘Le troquet le plus rentable de France’ et
enfin un dernier : ‘Ici pour un verre commandé une
discussion vous est offerte’. Françouais grommelait,
il ne supportait pas la foule surtout quand elle n’était
pas Saint Saturnoise. Il donna quelques coups d’épaules
dans les spectateurs qui regardaient comme des cons les journalistes
qui les regardaient aussi comme des cons.
- ‘Tain on est même plus chez nous grogna Françouais
en levant la patte pour grimper la première marche qui menait
au troquet.
Les majorettes menées
d’une main de fer par Finaude entamèrent un lancer
de bâton groupé. La fanfare cracha quelques notes et
un vieux s’écroula car il c’était pris
l’intégralité des bâtons dans la tronche.
Les petits jeunes de la croix se précipitèrent pour
lui faire du bouche et des attouchements pour pondre un premier
diagnostic. Cet incident n’entama pas la bonne humeur générale,
tout le monde applaudissait en souriant niaisement. Fiston balança
du haut d’un toit quelques kilos de poil à gratter
qui voletèrent vers la populace joasse de l’événement
qui se préparait. Un bon tiers des gus se barra en se gratouillant
frénétiquement et certains se jetèrent dans
la fontaine. L’eau calma les démangeaisons mais pas
la fureur des bobonnes associées qui attendaient que leurs
maris sortent pour leur asséner des coups de cabas sur la
tronche car leurs costards datant en moyenne de la grande guerre
mettraient plusieurs jours à sécher.
- Ben comme cela bobonne tu seras joasse car restant à moitié
à poil dans la casba tu pourras pas dire que je ne m’occupe
plus de toi.
– Sors de cette fontaine espèce de pervers, tu vas
encore vouloir m’introduire des choses malsaines dans les
endroits malsains, et regarde moi ton costard presque neuf, il est
complètement salopé.
- Ah dire que je me disais vivement la retraite lorsque je travaillais
et que maintenant j’en viens à regretter le temps ou
je travaillais disait le bougre en essayant de lever la jambe sans
se vautrer et en se prenant des coups de cabas dans le dos.
Les rougeauds sifflaient
comme des malades dans leurs cuivres et même les oiseaux préféraient
voleter ailleurs que de supporter un tel tintamarre. Le sol de la
place vibrait sous le marquage du pas semi cadencé des majorettes.
La toiture de la cabane à chiottes du père Bazzzin
ce vieillard acariâtre menaça de s’effondrer
mais Finaude la sauva en soufflant sauvagement dans un sifflet pour
que les gaillardes s’arrêtent de piétiner le
sol. Un ensemble de petits sifflements se firent entendre, il s’agissait
des sonotones de membres de la foules qui n’avaient pas supporté
la stridence du sifflet et qui rendaient l’âme à
petit feu.
Françouais qui s’était arrêté avant
la première marche pour admirer ce magnifique spectacle balança
quelques glaviots que certains photographes immortalisèrent.
Une espèce
d’abruti avec un micro qui larsenait un max, prononça
des paroles complètement inaudibles. Il serra la pince à
Françouais, lui attrapa le bras et le força à
se retourner pour saluer la foule en levant le bras en guise de
contentement. Françouais qui n’appréciait pas
trop ce genre de familiarités lui balança un coup
de pompe dans les couilles et l’autre se roula par terre de
douleur. Les proche entourage qui se tenait le sexe en signe de
solidarité observa le pauvre hère. Un gamin lui foutu
un autre coup de pompe exactement au même endroit que le premier
fit que le gus se recroquevilla. Puis chaque spectateur y alla de
son petit coup de pied. Quelqu’un en profita pour choper le
micro et commencer à prononcer un discours politique mais
personne ne l’écoutait, tout le monde voulait taper
sur le pauvre diable. Dégoûté, le type passa
le micro à quelqu’un d’autre qui entonna une
ch’tite chanson du terroir. Les gens amassés dans le
troquet exigèrent une nouvelle tournée pour accompagner
cette chanson à boire en consommant avec modération.
Françouais
franchit le pallier du troquet et fut accueillit par le maire qui
lui fit la bise. Françouais hésita un instant mais
se dit que s’il foutait un coup de satons dans les roupignoles
du maire, les ennuis recommenceraient. Il lui fit donc la bise et
tenta même de l’embrasser sur la bouche en sortant une
langue d’une bonne quinzaine de centimètres. Quelques
membres de l’association des introductrices de bâton
de verger s’évanouirent car il est vrai à leur
décharge qu’elles sortaient d’une conférence
sur les bienfaits du cunnilingus en zone rurale.
Le maire souriant façon vendeur de dentifrice posa devant
les photographes à côté de Françouais.
Les flashs crépitèrent et il y eut même quelques
courts jus. Il ne comprenait pas du tout ce qui lui arrivait, lui
qui n’avait qu’envie de boire tranquillou une bonne
trentaine de chopines.
Les mecs lui posaient
pleins de questions et il ne comprenait que la moitié des
mots, en plus les mecs n’écoutaient même pas
la réponse de l’intéressé :
- Qu’est-ce que cela vous fait d’être le milliardième
consommateur de ce troquet ?
– Saviez-vous que ce troquet était le premier en France
en terme de débit ?
– Invitez-vous souvent votre femme dans ce troquet ?
– Quelle est votre consommation non alcoolisée préférée
?
– Etes-vous pour les mariages homos entre présidents
de la république ?
– Portez-vous des strings léopard ?
– Quelle est votre marque de bière préférée
?
– Votre femme est-elle clitoridienne ou vaginale ?
– Que pensez-vous des bienfaits de la décentralisation
sur une commune comme Saint Saturnin Les Bains ?
- Est-ce que vous aidez votre femme dans les tâches ménagères
?
– Que pensez-vous de la zoophilie dans les élevages
en batterie ?
– Que pensez-vous de cette expérience de greffe de
cerveau de babouin sur un humain ?
– Est-ce que le beaujolais nouveau que vous consommez bien
évidemment avec modération, vous fait-il fort mal
au cul ?
– Avez-vous peur du méchant loup ?
– Que pensez-vous de la dératisation des voies sur
berge à Paris ?
– Etes-vous pour ou contre le foot fucking ?
– Si votre grand-mère en avait deux, comment l’appelleriez-vous
?
– Combien de fois par semaine vous cuitez-vous la gueule ?
– Vous arrive t-il de temps à autre d’avoir un
taux d’alcoolémie tendant vers le zéro ?
– Combien d’heures par jours passez-vous dans ce trou
à rat ?
Finaude et ses laiderons
recommencèrent leur marche sur place forcée. Le sol
trembla de nouveau mais comme elles n’étaient pas en
phase les bâtiments ne risquaient rien. La fanfare changea
de rythme et ce fut pire qu’auparavant, jamais elle n’avait
aussi mal joué, même Françouais pourtant complètement
imperméable à la musique classique trouvait que la
mélodie n’était pas gégène. Mais
qu’importe Finaude et ses laiderons foulaient héroïquement
le sol en larguant de temps à autre quelques caisses qui
passaient complètement inaperçues dans le brouhaha.
Le commentateur
malheureux de la première heure fut remplacé par un
éminent commentateur Parisien d’une émission
prime time. Il était en effet de passage dans les environs
pour acheter une porcherie afin de pouvoir entre chaque émission
inviter tout le gratin du show biz à venir partouser avec
ces si gentils animaux.
– Et bien bonsoir Saint Saturnin, bonsoir à tous qui
vous êtes donné la peine de vous déplacer pour
ce grandiose événement. Vous n’êtes pas
sans savoir qu’il se passe des choses à la campagne
maintenant, profitons-en pour remercier la décentralisation.
Bonsoir Monsieur, comment vous appelez-vous ?
– M’appelle Françouais M’sieur.
– Françouais comment mon jeune ami, allez ne faites
pas le timide, je vous ai vu fort à l’aise tout à
l’heure alors que vous glaviotiez , allez relevez la tête
que nos télé spectateurs puissent vous voir à
la lumière des projecteurs.
Françouais
trépignait puis fit bonne figure, mais il ne pigeait toujours
pas ce qui lui arrivait. Lui qui avait toujours rêvé
qu’on le reconnaisse à sa juste valeur, c’est
à dire au centre du monde, le voilà comme par hasard
au centre des projecteurs.
– Oui bonsoir à tous je m’appelle Françouais
et je suis de Saint Saturnin.
Belle maman qui
suivait en direct l’émission chercha son nouvel objet
pour savourer avec plus de plaisir la vue de son gendre à
la télé. Malheureusement l’objet n’était
pas encore sec et elle risquait donc de l’abîmer. Elle
farfouilla à droite et à gauche furtivement pour ne
pas perdre une seconde de cette émission du tonnerre puis
tomba sur un manche de pioche qui ferait tout à fait l’affaire.
Elle s’installa dans son canapé complètement
défoncé par son ex prince charmant avec une boîte
de pop corn que les Américains lui avaient laissé
pour la remercier des fellations pratiquées à toute
heure du jour et de la nuit. Elle foutu le son à fond, le
minuscule haut parleur crachait un son de l’horreur mais ainsi
la scène qui se déroulait dans le petit écran
paraissaient encore plus réaliste. Elle s’introduisit
le manche et la bouche béate ne loupa pas une miette du spectacle.
– C’est bien mieux ainsi, je suis persuadé que
nos téléspectateurs apprécieront.
Le bellâtre
Parisoi n’eut pas le temps de finir sa phrase qu’un
pochetron sortit sa tronche qui se terminait par une fraise violacée
de la porte du troquet pour balancer une gerbe admirable variant
du rose au violet. Le bellâtre fut fort vexé que la
foule s’éclate de rire devant ce spectacle improvisé,
il ferait passer le nettoyage de son futal que son producteur lui
avait offert dans les frais généraux. Le pochetron
une fois soulagé fit un coucou à la télé
puis retourna pénard s’accouder au comptoir.
- Bon ça y est, c’est terminé, je peux enfin
présenter ce reportage de manière professionnelle.
Je vous rappelle vous les alcoolos du fond du troquet qu’il
y a une porte qui donne sur les urinoirs au fond de cette maison
de débauche, c’est là bas qu’il faut aller
lorsque l’on ne se sent pas bien.
– Ouarf ouarf ouarf s’esclaffèrent les pochetrons.
– Salut les gars, j’arrive dès que l’autre
limace en a finit avec moi, Rufus tu me sert un triple de ce que
tu veux gueula Françouais.
– Allons, allons c’est presque finit Monsieur Françouais,
merci de votre attention. S’il vous plaît un petit peu
de silence sur la place, nos téléspectateurs ne vont
pas comprendre pourquoi Monsieur Françouais est à
la une aujourd’hui.
- Ben ouaip, qu’est-ce que vous me voulez au juste ?
– Mon cher ami sachez que vous êtes le milliardième
client de ce café.
– De ce quoi ? demanda Françouais en se grattant le
menton l’air plus abruti que d’ordinaire.
– Oui de ce café, de ce débit de boisson, de
ce bar, de ce ….
– Ah ouaip ? Rufus tu vas pouvoir me payer une chopine alors.
– Attendez mon ami, ce n’est pas finit, comme vous êtes
le milliardième consommateur et qu’en plus vous êtes
un habitué puisque tout le monde dans les environs vous connaît,
vous êtes notre heureux gagnant.
– Arg aie bredouillait en se tordant de douleur le speaker
de la première heure dont personne ne faisait plus attention.
– Qu’est-ce que j’ai gagné, c’est
gratuit, c’est sûr çà ?
– Mais bien sûr Monsieur Françouais, tout est
gratuit pour vous aujourd’hui.
Le bellâtre
fut de nouveau interrompu dans son discours car Françouais
à la réception du ‘tout est gratuit aujourd’hui’
avait tenté de se précipiter à l’intérieur
du troquet pour ne pas perdre une seconde car le chrono tournait
jusqu’à minuit.
– Attendez Monsieur, je ne vous ai pas annoncé votre
lot.
– Si c’est une belle mère, j’en veut pas
j’en ai déjà une à la maison qui me fait
suffisamment suer.
Belle maman à
l’écoute fut fort émue de s’entendre ainsi
citée en prime time, elle enfonça le manche de pioche
d’une vingtaine de centimètres.
- Rassurez-vous Monsieur Françouais, c’est un cadeau
qui va vous ravir. J’ai l’honneur de vous annoncer que
vous avez gagné un séjour au grand air.
La foule applaudissait
à tout rompre, c’était un Saint Saturnois qui
pour une fois gagnait quelque chose, c’était quand
même justice avec tous les impôts qu’ils payaient.
– C’est vrai j’ai gagné un séjour
au bistrot ? demanda Françouais en se grattant les couilles.
– Non Monsieur Françouais, vous avez gagné avec
la personne de votre choix un séjour à la montagne,
à vous les cimes, à vous les neiges éternelles,
à vous les gamelles à ski, à vous les descentes
en traîneau du SAMU.
– Euh, il y a des troquets là bas ?
- Ne vous inquiétez pas, vous partez tout frais payé
avec une personne de votre choix pour une durée d’une
semaine. J’ai même la joie de vous annoncer que les
établissements Legroin salaison, les seuls à savoir
saler correctement le cochon vous offrent trente kilos de tickets
de bar.
– Hourra gueula Françouais en sautant en l’air,
sa s’arrose comme dirait mon pote : nom d’une bite.
Pour une fois que j’ai une chance aux jeux.
– D’ailleurs si ce n’est pas indiscret Monsieur
Françouais, avec qui décidez-vous de partir ?
– Oh ben cela donne à réflexion, une semaine
c’est bien trop long. Je pense qu’un week end suffira
amplement, juste le temps de siroter pour trente kilos de ticsons
et pis d’aller aux putes.
– Ah par contre désolé Monsieur Françouais
cette dernière prestation n’est pas prise en charge.
Partez donc avec une personne avec qui vous avez envie de conclure,
cela aidera certainement.
– Bah, dans un premier temps je dirais que je pars avec ma
belle maman, notre relation est platonique pour l’heure mais
effectivement avec l’effet de surprise cela devrait changer.
Mais je me réserve le droit de changer d’avis.
La belle deuche
toujours avec son manche de pioche en remit illico pour vingt centimètres
supplémentaires, elle grimaça car c’était
quand même duraille mais sa joie était si intense qu’il
fallait le fêter dignement.
Le bellâtre
voulut continuer son discours mais il y avait maintenant trop de
boucan entre les chants et la fanfare, plus moyen d’en placer
une. Il fut quand même content de sa prestation et fier d’avoir
payé un gamin trois euros six sous pour qu’il mette
l’autre pécore hors service en début d’émission.
- Mes chers amis télé spectateurs, je vous rend l’antenne
et vous salue bien bas en attendant de vous retrouver tous fidèles
à mon émission habituelle. Bonsoir.
Le bellâtre
balança son micro dans la foule qui se précipita pour
le choper, chacun avait en tête de chanter la chanson la plus
crade de son répertoire. Il regagna sa limousine ou quelques
esclaves enchaînés l’attendaient nus.
- Alors mes amours ai-je été bonne ?
– Oh oui maîtresse répondirent-ils tous en chœur.
La limousine démarra
en trombe, le temps de trouver une porcherie pour la partouze était
venu.
Belle maman qui
avait retiré son manche de pioche avait du mal à se
déplacer mais était fermement résolue à
faire ses bagages pour ne pas passer à côté
d’une telle occasion. Quand à Françouais il
c’était dès que possible précipité
dans le troquet pour se prendre une tera murge.
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