|
B
elle maman ne rentra pas trop tard de son shopping. Elle avait acheté
du fil, des aiguilles pour repriser ses chaussettes car l’hiver
prochain serait rude, elle l’avait lu dans la revue des prédictions
du grand mage Saurien. Elle c’était bien gardé
d’en parler à son voisinage comme cela quand la bise
viendrait, elle serait la seule à avoir les petits petons
au chaud et pourrait contribuer bénévolement au réchauffement
des extrémités transies. Elle s’admira dans
la glace car elle seule au monde pouvait échafauder de tels
plans, elle coiffait Françouais au poteau sur ce coup. Elle
en profita pour se saisir d’une brosse à cheveux pour
se recoiffer. Elle ôta avec la délicatesse d’une
strip teaseuse ses pinces à cheveux. Les longs cheveux blancs
se déroulèrent en laissant voleter un joli nuage de
pellicules. Les pellicules se posaient les unes après les
autres sur les meubles environnant, façon flocon de neige.
Après la séance de coiffure, elle se saisit d’un
flacon de parfum qu’elle ouvrit pour parsemer quelques gouttes
sur son corsage. Puis elle se prit une sérieuse rasade de
ce parfum pour l’haleine.
Toujours devant
sa glace elle souleva sa jupette pour admirer son minou. Elle se
saisit d’une paire de ciseau non pas pour faire disparaître
les poils blancs mais égaliser sa toison blanchissante. Durant
de longues années elle n’ait cessé d’hésiter
entre le 'V' et le ticket de métro, mais aujourd’hui
elle laissait la nature s’exprimer, le modèle n’en
était que plus artistique. Des poils volèrent çà
et là sous le rythme des cliquetis de la paire de ciseaux.
Comme l’absorption de parfum avaient réveillée
le goût de ses papilles pour l’alcool, elle se descendit
une demie boutanche de bourbon. Elle se sentait maintenant terriblement
en forme, quelle excellente journée. Elle s’installa
dans son canapé pour dévorer son horoscope chinois,
elle se rendit immédiatement au signe de la vieille chouette.
“ Vieille chouette
Aujourd’hui est un grand jour pour vous, vos proches vont
le ressentir et vos rayons darderont. Vous allez rencontrer le grand
amour, dès maintenant laissez tomber les aventures sans lendemains
que vous vivez depuis des années, elle ne vous amèneront
a rien. Votre prince charmant arrive, tendez l’oreille et
écoutez le galop du cheval qui se rapproche. En ce moment
tout tend à s’améliorer, Uranus vous a certes
rendu la vie dure ces derniers temps mais grâce au rapprochement
de Mars et de Saturne tout va changer. Sachez donc vous lever et
tendre le poing pour affronter l’adversité. Si vous
êtes un homme, vous devenez un battant et si vous êtes
une femme, une battante.
Si vous êtes un homme, sachez que ce prince charmant ne fera
pas la femme rêvée mais il apprécie par dessus
tout les profils mal rasés.
Si vous êtes une femme, sachez que ce prince charmant aimera
la sodomie et apprécie les minous taillés en ticket
de métro.
Quoi qu’il en soit, ce prince charmant sera un grand poète.
Des heures durant il vous contera des poèmes en jouant d’un
instrument de musique. Si vous êtes du premier décan,
il jouera de la cornemuse sinon de l’accordéon.
N’hésitez donc pas une seule seconde à donner
un coup de pied magistral dans vos habitudes qui ne vous ont qu’encroûtés
durant ces longues années.
Si vous ne vous vous sentez pas assez confiant, allez au bois vous
faire exploser la charnière et pratiquez la branlette groupée.
Santé, allez vous faire inspecter par un toubib les astres
indiquent que vous pouvez potentiellement souffrir d’une chaude
pisse virulente et purulente. Reprenez votre régime car le
prince charmant n’aime pas les surpoids de plus de 45 pour
cent. Lavez-vous le derche à grande eau. Brossez-vous les
dents avec du savon de Marseille et surtout séparez vous
des poux et autres parasites qui abontent dans certaines parties
de votre corps.
Vous êtes assurément le signe du jour et de l'année,
sachez en profiter : saisissez cette chance unique qui ne se reproduira
pas avant trois cent ans”.
Belle
maman toute abasourdi se foutu trois doigts puis quatre histoire
de rêver encore plus fort. Le grand jour était venu
ou l’étalon de ses rêves viendrait lui compter
poèmes par dizaines saupoudrés de petites fleurettes,
il jouerait de l’accordéon et puis alors qu’elle
serait sous le charme, la sodomiserait à sec sans ménagements.
Sortie de sa tiédeur
par une pétarade d’un tracteur boosté à
l’alcool à 90, belle maman pensa à enlever ses
boules de santé car le bruit la gênait lorsqu’elle
faisait un petit sprint après un petit vieux récalcitrant
à la tripoter.
Un petit ménage
de printemps pour ne pas effrayer le prince charmant, s’imposait.
Elle vida dans une bassine de cuivre plusieurs litres d’alcool
de fruit. Elle fit réchauffer le tout, ajouta quelques herbes
de Provence et se trempa les pieds. Elle en profita pour humer cette
délicieuse odeur et de temps à autre se remplir un
godet du précieux liquide. Le bain de pied devait durer plusieurs
heures pour être efficace. Toutes ces peaux mortes seraient
dissoutes, sans compter le délicieux goût de ses orteils
qui ne manqueraient pas d’attirer le groin du prince charmant
qui s’empresserait de la lécher entre les arpions en
poussant des cris de jouissance. Belle maman ne cessait de penser
aux sévices que lui ferait son prince. Elle dut se retenir
à plusieurs fois de ne ma se tripoter ni s’introduire
d’objets car l’heure arrivait et elle devait avoir tous
ses sens de disponibles pour jouir de chaque seconde et de chaque
endroits de son corps comme jamais elle ne l’avait fait.
Lorsque les pieds
furent séchés et ridés comme ceux d’un
bébé, belle maman remplit une bouteille du produit
de la bassine. Elle s’introduisit le goulot de la boutanche
dans le fion et se contorsionna pour que le liquide pénètre
en elle afin de lui faire le meilleur des lavements qu’elle
n’eut jamais eut. En effet la bite princière apprécierait
ce fumet alcoolisé durant la sodomie. Une fois les lavements
terminés, elle récupéra le précieux
liquide qu’elle réserva dans un flacon pour les jours
ou sa voisine viendrait manger des petits gâteaux et s’en
jeter un p’tit coup dans le cornet à l’heure
du thé. Effectivement aucune goûte de ce précieux
liquide ne devait être perdue.
Belle maman se frictionna
la poitrine avec de l’alcool à 90 dans laquelle elle
avait fait mariner des années durant de la lavande. Elle
dut y mettre la dose car les rides assoiffées de sa poitrine
absorbaient le précieux liquide. Sa poitrine était
rouge sang mais avec le temps reprendrait une couleur décente
et surtout un fumet à scotcher n’importe quel prince
en manque de princesse.
Elle se rasa les
aisselles avec un coupe chou. Comme elle pissait le sang elle se
désinfecta avec de la gnole hors d’âge de prune.
Un truc que son arrière grand père faisait qui avait
donné en 1850 la chiasse à tout le village pendant
un mois. Déjà à l’époque il était
dangereux de vivre à Saint Saturnin les Bains. Elle hésita
longuement mais se rappela cette anecdote et elle savait que si
elle s’en enfilait un coup elle ne serait pas 100% disponible
pour l’homme de la providence.
Elle se fit les
ongles avec un fer à souder. Cela donnait une intense odeur
de corne cramée dans la chambre ainsi que de jolies sculptures
sur ses ongles. Heureuse car elle ne c’était que très
rarement autant occupée de son corps, elle poussa la chansonnette.
Les vitres tremblaient et les animaux s’éloignaient
mais cela ne l’empêchait pas de s’imaginer en
starlette crachant dans un micro et ceci à moitié
nue devant des milliards de téléspectateur la trique
à la main ou le doigt astiquant.
Belle maman devait
ensuite s’occuper du confort de la chambre. Elle nettoya en
premier lieu le pot de chambre qui contenait de la merde depuis
des années. Elle l’astiqua à un tel point que
l’on ne voyait que lui dans la chambre, puis elle le parfuma
avec une gnole exotique.
Elle jeta contre le mur quelques bassines de parfum maison issus
de vieux jerricanes qu’elle gardait pour faire de la contrebande
lors de la prochaine guerre. Jamais depuis qu’elle vivait
sous son toit avec l’autre personnage saugrenu, il n’y
avait eu tant d’attention à la décoration, de
propreté et de joie de vivre.
Ensuite elle descendit
à la cuisine pour préparer quelques assiettes de délices
en tout genres. Elle tomba sur quelques paquets de gâteaux
périmés depuis des décennies qui feraient tout
à fait l’affaire. Elle ôta soigneusement les
traces de moisissures ainsi que les déjections de cafards
et de souris puis garnit plusieurs assiettes. Pour ajouter de la
couleur elle ajouta quelques fleurs hallucinogènes et autres
graines provenant des quatre coins de la planète.
Comme le prince
charmant devait être performant, elle ne prépara pas
trop de cocktails car se pochetron en puissance la délaisserait
au profit des litrons. Il aurait droit à un bon vieux picrate
étoilé, le même qu’on picolait le dimanche
pour l’entretien de la cirrhose. Pis il aurait droit aussi
à une gnole au gingembre histoire de lui donner bonne haleine
et aussi du réconfort en cas de panne inopinée.
Belle maman était
enfin prête, tout était parfait, il n’y avait
aucune ombre au tableau, il serait comblé. Elle se cura les
oreilles avec un cutter pour finir et se coucha avec un grand nombre
de revues typiquement féminines.
Dans le sous-sol
de la maison, il y régnait une activité intense que
belle maman avec tous ces préparatifs avait ignoré.
Travaillant comme un forcené depuis plusieurs heures sur
le sujet, Françouais fut frappé par l’inspiration
divine.
Vers trois heures
du matin, Il hurla de bonheur, il avait enfin la gaule. Il se rua
dans les escaliers pour se diriger vers la chambre et secoua comme
un prunier belle maman qui dans les bras de Morphée rêvait
de partouze avec des animaux. La vieille eut le réflexe de
prendre son dentier mais ne le glissa pas dans sa bouche. Elle se
le plaça discrétos dans le vagin et contempla l’autre
abruti qui faisait son spectacle.
- Ca y est, j’ai retrouvé toute la vigueur de ma jeunesse,
tremble la mollassonne tu vas te faire ramoner comme jamais tu ne
l’a rêvé. Tu vas sentir mon pieu te déflorer
et tu vas hurler de bonheur.
– Viens mon gros chou dit belle maman en soulevant les draps
et écartant les guibolles.
L’autre affreux prit son élan du fond de la chambre
le bitonio à l’air.
Il fit un plongeon
digne de Tarzan, du même genre que lorsqu’il était
pressé de retourner dans la rivière pour se faire
sucer par les hippopotames. Françouais atterrit sur belle
maman qui par le surpoids lâcha une grosse caisse et s’introduisit
violemment. Quelle ne fut pas sa surprise en voyant belle maman
se marrer et une grosse douleur lui envahir son membre préféré.
En effet, avec la vitesse, le râtelier de la vieille c’était
refermé sur la bite de Françouais de manière
aussi violente que l’introduction. Françouais sentit
ses oreilles bourdonner, ses joues s’empourprer, ses yeux
pleurer et se cheveux se dresser. Une douleur à se tordre
dans tous les sens émanait de son sexe. Il se retira sauvagement
et se roula par terre de douleur. N’y tenant plus, il sauta
par la fenêtre pour en finir mais retomba sur ses jambes.
Il galopa à poil vers la rivière se tremper le chibre
plus du tout érectile dans la flotte gelée. Quelques
vieilles insomniaques le virent passer le sexe à la main
et s’introduirent leur canne pour mieux jouir de ce spectacle
nocturne rarissime dans les rues Saint Saturnoises.
Belle maman referma
la fenêtre, retira son râtelier et le remit dans la
bouche. Bien réveillée maintenant elle finirait sa
nuit à se tricoter des slips à deux trous pour l’hiver
prochain en tendant l’oreille pour être prête
au moindre bruit de galop.
Françouais
les petons dans l’eau glacée de la rivière trempait
son chibre racorni en levant la tête vers l’étoile
du berger et en hurlant comme un loup. Le temps pour lui , c’était
arrêté. Rien ne pouvait éloigner son esprit
de la douleur qui lui sciait le bas ventre. Au bout de quelques
longues minutes, il fut forcé de cesser de faire trempette
tant les grelottements secouaient son corps. Il se releva en évitant
de regarder son chibre qui avait fait sa fierté depuis des
années. Devrait-il faire comme Super Plombus qui c’était
fait greffer une prothèse ?
Il se rendit compte
qu’il était complètement à poil et qu’il
allait crever s’il restait dehors. Jamais il ne reviendrait
sous le même toit que belle maman. A petit pas de vieillard,
il se rapprocha vacillant de l’élevage de porc du maire.
A l’intérieur, il trouverait mauvaises odeurs mais
chaleur. Il se cassa le nez sur la porte ce qui le fit jurer en
patois comme lorsqu’il était vraiment énervé.
Finalement il trouva le pied de biche qu’Edmond utilisait
pour menacer les putes qui ne voulaient pas et ceci même avec
de l’argent combler ses fantasmes. La porte n’opposa
pas de résistance. Françouais se précipita
à l’intérieur et foutu les pieds dans une flaque
de lisier. Il se vianda lamentablement et hurla à la mort.
Les porcs endormis se réveillèrent en sursaut en hurlèrent
à leurs tous. Dans la panique ils galopaient n’importe
où. Françouais dans la bousculade fut piétiné
et oh comble du bonheur avala une tasse de lisier.
Quelques minutes après il titubait maculé de lisier
en pleurnichant. Les porcs commençaient à se calmer
et à chier. La puanteur était infernale mais acceptable
à cause de la chaleur qui régnait dans les lieux.
Françouais exténué par tant d’aventures
était recroquevillé au bord d’un tas de fumier.
Sa tête faisait des saccades à la manière de
quelqu’un qui s’endort et essaye de lutter pour rester
éveillé.
Françouais
maintenant niché dans du coton avait oublié la douleur,
il dormait et rien ne pourrait en cette nuit tragique le réveiller.
Personne ne viendrait le faire chier à une heure pareille,
par contre se poserait ensuite le problème du retour à
poil et maculé de merde.
Sur le visage de Françouais, se dessinait un sourire niais
qui laissait apparaître ses dents cariées. Comment
les vieilles du village de cons pouvaient-elles le trouver aussi
sexy ?
Tout doucement il
se réveilla, la douleur au niveau de son chibre avait disparue.
Au contraire il était maintenant entraîné par
une torpeur. Ce qui le fit sourciller furent les bruits de sussions.
En ouvrant les yeux il constata que ses guibolles étaient
écartées et qu’au beau milieu, une truie de
trois cent kilos s’affairait à lui faire une pipe du
feu de dieu. Il s’apprêta à la faire déguerpir
mais avant d’agir se dit que la pipe était gratos et
qu’il aurait bien tort de ne pas en profiter. Elle le suça
de longues minutes durant en poussant des grognements qui surexcitaient
Françouais. Lorsqu’il ouvrait les yeux, il contemplait
son faciès porcin et ses poils durs autour du groins, cette
salope bavait d’excitation. Françouais balança
la purée sans ménagement sur le groin porcin, la truie
parue quelque peu déçue. Elle siphonna le chibre jusqu’à
épuisement de la semence, quelle coquine pensa Françouais.
Elle se retourna avec grâce et légèreté
en larguant quelques pets et s’allongea sur le flanc. Elle
s’abandonnait à Françouais qui devant ce spectacle
eut une turgescence à faite pâlir un acteur de film
porno. Il se saisit de sa queue en tire bouchon et la ramona sauvagement
par devant puis par derrière. Le propriétaire de l’élevage
passa non loin de son hangar à vélo et tendit l’oreille
par rapport aux grognements inhabituels qui émanaient des
lieux. Comme c’était l’heure de son jaunâtre,
il n’eut pas le courage de poser le pied à terre pour
vérifier ce qui se passait à l’intérieur.
Il mit le comportement étrange de ses bêtes sur le
compte d’une nouvelle hormone grossissante qu’il leur
injectait.
Seulement plusieurs
heures après, Françouais sortit exténué
du hangar. Il avait réussit à trouver des vêtements
ainsi que des bottes pour regagner son domicile sans trop attirer
l’attention. Fagoté de la sorte il avait vraiment l’air
d’un local d’en bas.
Il se fit courser
quand même par un mega gros porc jaloux qui n’avait
absolument pas supporté qu’un inconnu touche à
son cheptel. Comme il était presque six heures du mat, il
était temps pour lui de rentrer malgré sa promesse
de ne pas revenir. Pour une fois il s’était résolu
à se laver car il chlinguait vraiment trop et risquait d’attirer
des animaux en rut. Essoufflé d’avoir tant couru, il
s’apprêta à ralentir le pas lorsqu’en se
retournant il vit ce putain de gros porc encore à ses talons.
Il passa à la vitesse supérieur car l’animal
aux bourrelets de graisse et au chibre perforateur n’avait
pas l’air de vouloir jouer.
La langue pendante,
il arriva devant sa casba et décida d’en faire le tour
histoire de donner le tournis au porc. En ce qui le concernait,
le tournis, ça le connaissait avec les doses d’alcool
qu’il s’enfilait.
Belle maman qui
avait toujours la fenêtre ouverte et qui avait réussit
à tricoter déjà trois slips à trous,
entendit le souffle de son gendre et puis surtout la galopade qui
s’en suivait. Elle balança ses ouvrages et se rua à
la fenêtre pour admirer son prince qui venait comme promis
dans l’horoscope, à sa rencontre.
- Mon prince, je suis là, c’est moi, là haut
…. Lève la tête abruti.
Le porc n’avait pas encore compris que la déesse s’adressait
à lui et poursuivait son objectif : anéantissement
total de Françouais.
– Ouh ouh, petit prince rose, je suis là haut renchérit
belle maman.
Elle décida de descendre pour voler à sa rencontre
avant qu’une autre mégère ne s’en empare.
Une occasion comme celle-ci et surtout dans ce bled de cons, ne
se présentait qu’au mieux tous les quarante mille ans.
Françouais,
la langue pendante avaient les fringues qui fumaient tant il transpirait.
Mais cette fatigue apparente ne l’empêcha pas de disparaître
au moment de l’apparition devant le groin de l’animal,
de belle maman.
L’animal resta cloué sur place lorsque belle maman
au bord de l’hystérie le chargea.
- Il est à moi, je l’ai vue la première, laissez
le moi et puis c’était écrit dans mon horoscope.
Elle passa tendrement ses bras autour de son garrot et l’embrassa
sur le groin. Le gros porc triqua illico à un tel point que
son chibre traînait sur le sol. Belle maman eut un mal de
chien à l’entraîner et surtout à lui faire
monter les quelques marches du perron.
Françouais
impuissant assista au spectacle derrière les carreaux. Belle
maman poussait hurlements sur le canapé alors qu’elle
se faisait faire du nose fucking par le gros porc.
Chapitre
suivant
|
 |