Les aventures de Françouais


Chapitre 10 - La grande lessive


 
 


Comme tout le monde paradait un godet à la main de pricrate et en zoli pantis rose, des tonnes de slips kangourous traînaient çà et là. Heureusement qu’à Saint Saturnin les bains vivaient la célébrissime mère Demi. Une grosse matrone hors d’âge qui avait enterré une dizaine de maris et qui avait étouffé entre ces grosses loches une bonne cinquantaine d’amants. Devant son grand âge, elle c’était arrêtée de faire le tapin et se faisait de l’argent de poche en faisant des lessives. En effet, la vieille devenait de plus en plus belliqueuse et à la manière de l’araignée femelle qui becte l’araignée mâle après l’accouplement, elle laissait ses clients dans un état lamentable. La police Saint Saturnoise avait ramassé déjà plusieurs corps méconnaissables de pervers, car il faut bien avouer que la mère Demi ne se ferait même pas regarder par un bataillon de Sénégalais en retour de campagne. La mère machin qui gardait malgré le poids des années avait bien sentie qu’elle finirait par se faire gauler si elle continuait à jouer ce petit jeux qui malgré tout lui permettait d’assouvir tous ses fantasmes.
Une fois on retrouva le grand père Latric, à poil sur son fauteuil roulant avec des bigoudis dans la barbe et une carotte dans le cul. Le père Latric contrairement à son habitude ne souriait pas niaisement car il se trouvait perché en haut d’un pylône et ne pouvait trembler du moindre orteil sous peine de se retrouver à griller sur du trois cent mille volt en furie.
Lorsqu’il se fut choper par un treuil et redescendre au ras des pâquerettes, il jura sur tous les dieux qu’il ne se ferait plus au grand jamais de putes. Malgré la description fidèle qu’il put faire aux membres de la police, il fut impossible d’identifier la coupable tant pullulait ce genre de spécimen dans la région.
On retrouva le flicaillon chargé de l’enquête, desséché quelques semaines plus tard dans un hangar à maïs. Il avait été visiblement victime de sévices sexuels car un rictus sur son visage le faisait sourire niaisement. Comme l’on ne retrouva pas de trace de pénétration animale ou humaine, on en conclut qu’il y avait une violeuse en série qui traînait dans la région.
Saint-Saturnin les Bains vécut cette année là, la meilleure saison touristique de l’existence du bled. Tous les baroudeurs, les gros obsédés et les curieux des régions avoisinantes débarquèrent pleins d’espoir. Les petits commerces connurent leur apogée, le patron du troquet roulait en Mercedes d’occasion avec des chromes achetés à la casse, Louisette Satremble s’était offerte un bâton de verger en laiton massif et finaude un soutient gorge en fonte.
Comme le temps passa, la police piétina lamentablement du matin au soir au troquet, la mère Demi s’acheta un godmichet grand modèle à percussion et oublia ses clients. Les curieux repartirent dans d’autres bleds à sensation, les flics en cure de désintoxication et se fut le retour de la routine.
La mère Demi qui avait constaté que les calebutes pas frais s’entassaient dans les rues, elle se sentit investie d’une mission mystique : nettoyer ces putains de traces jaunâtres et de pneus tous modèles confondus.
Pour se donner trois tonnes de courage, elle alla dans son atelier de bricole et mit son terrible appareil masturbatoire en route. Elle s’allongea sur le ventre dans un premier temps sur sa table de travail et l’appareil se rapprochait tranquillement mais sûrement. Au moment ou l’embout la pénétra par derrière, on entendit un bruit de chairs malaxées assez particulier. Au bout de quelques instants la vioque fut plein sourire, c’était la fin du premier acte. L’appareil s’éloigna et elle en profita pour se retourner. Les pattes écartées, elle attendait patiemment que l’outil se rapproche jusqu’à son corps. Cette attente pour elle si interminable fut récompensée par une pénétration à plus de cinq mille tours minutes. Les grévistes de la porcherie reprirent le chemin du travail pensant que la trêve était signée et que les machines à vider les porcs étaient redémarrées. Ils se cassèrent le nez contre la porte close et allèrent directement fêter la poursuite de la grève au troquet à grand renfort de jaunâtre.
Une fois le deuxième acte terminé, la mère Demi semblait considérablement remontée et toute joasse. Après quelques bières elle serait en pleine forme pour attaquer son nouveau chalenge. De plus elle serait sexuellement satisfaite durant une semaine, son traitement mécaniques certes, était nettement moins coûteux que l’invitation de quelconques gigolos bourrés à ras la gueule de pilules bleues.
Elle alla enfiler son bleu de travail, sortit du garage la brouette et commença le chargement. Le plein fut fait après seulement quelques instants, elle avait signé pour une tâche qui lui prendrait la nuit. Après plusieurs allers-retours un tas impressionnant de calebutes usagés se dressait devant sa maison. Ce tas risquait avec les émanations, à tout moment d’exploser mais la soirée était à la murge dans le centre du bled.
La vieille rusée et spécialiste de la lessive avait placé un butagaz sous sa baignoire, ce qui permettait d’y faire bouillir l’eau qui auparavant y croupissait. Comme elle y avait versé des kilos de poudre, une étrange odeur de propre se fit sentir dans les environs. Certains animaux effarouchés par le séisme qui se préparait prirent la poudre d’escampette et même les sangliers qui ne rataient jamais une manifestation, brillaient par leur absence. La vieille s’agitait avec une pagaie pour mélanger correctement la mixture.
Tous les calebutes y passèrent. La mère Demi frottait énergiquement et enlevait systématiquement toutes les tâches. Certains calebutes ne formaient qu’une seule et unique tâche d’une couleur indescriptible mais uniforme mais ne résistaient pas aux assauts de la nettoyeuse. Tous les dix calebutes, elle se vidait une canette histoire d’entretenir le moral. Tous les cent calebutes, elle s’enfonçait un petit peu plus le manche de la pagaie qui était malheureusement pour lui tombé dans un endroit bien spécifique.
Une fois la pile épuisée, la mère Demi à la manière de la petite araignée du matin, se saisit d’une pelote de fil qu’elle détendit au long des rues de sorte à étendre les calebutes propres.
En chantonnant une chansonnette de l’entre deux guerres, elle s’affaira avec ces pinces à linge et son petit panier à étendre les calebutes tous blancs et proprets.
Et hop elle changea l’eau de la baignoire, siffla une ch’tite kro et repartit à la cueillette calbutistique.
Edgard le vicelard surveillait ce manège. Il fit un mouvement théâtral du bras gauche pour faire claquer sa cape et se précipita derrière une autre poubelle. Il tourna la tête à gauche puis lentement vers la droite, personne ne le troublerait. Il entrouvrit sa braguette fort content de lui. Il se déplaçait au gré des calebutes usagés qui attendaient leur propriétaire. A chaque calebute, il s’arrêtait, lui tournait autour et le flairait. Il stoppa devant un modèle masculin taille soixante quatre qui avait du être fabriqué au siècle dernier dans une manufacture quelconque. Le tas marronnasse représentait ce qu’il se faisait de plus beau à Saint-Saturnin. Edgard fut prit de frissons et sautilla d’excitation sur place. D’un coup d’un seul une gaule subtile envahit son sexe, il s’empressa de sortir une verge verte de sa poche pour se le fouetter jusqu’à ce qu’il dégonfle. Le même manège se reproduisit durant de longues minutes.
Edgard fut interrompu par l’arrivée intempestive de la mère Demi, il se réfugia dans une autre rue ou il se prit la tronche dans des calebutes propres et flottant au vent. De mémoire d’alcoolique Saint Saturnois, jamais il n’y avait eu ce genre de chose propre ici. De rage il referma sa braguette en ce coinçant le membre. Il poussa un petit cris de souris et se flagella de nouveau avant de s’enfuir dans la cambrousse.
Au bout de quelques heures plus un seul calebute crado ne traînait dans les rues et la mère Demi se frottait les mains de joie. En s’enfilant un nouveau petit bierron, elle contemplait les petites choses innocentes qui séchaient. Exceptionnellement elle reprit le chemin de son atelier pour se remettre un petit coup de godmichet à percussion.
Pour se changer les idées, elle prit avec son paquet de lessive sous un bras et son pack de canettes sous l’autre, le chemin de l’ère de repos de routiers naturistes. Elle s’imagina en chemin les piles de calebutes de routiers qui l’attendaient. Victime de son redoutable passé, elle ne put résister à l’attirance pour le fabuleux taureau du père Bazzzin ce vieillard acariâtre. D’un coup d’œil circulaire elle vérifia que personne ne se trouva dans les parages puis se déshabilla. Elle étendit ses vêtements précautionneusement le long des fils barbelés, garda ses chaussettes et sandalettes pour éviter de se mettre une quelconque épine dans le pied. Elle sauta comme une jeunette par dessus les fils de fer et s’approcha de la bête en tortillant du croupion. Le mastodonte qui s’était fait déjà dans la même journée, le facteur, le plombier, Louisette Satremble et un psychotique anonyme, continuait imperturbablement à brouter les petites marguerites constellées de gouttes de rosée.
Une demie heure après, la mère Demi était accoudée à un poteau délimitant le champ, le minou grisonnant à l’air et la canette de bière à la main. Rien n’y faisait, le brutos écorné faisait la sourde oreille et refusait obstinément de prêter l’attention à sa nouvelle fan. Elle balança sa canette et rota de dépit en fixant l’horizon. Le taureau remua les oreilles, leva la tête puis se dirigea vers elle. Contrairement à ses habitudes, il n’enfourcha pas la p’tite dame mais se contenta de lui brouter le minou. Elle poussa quelques cris pour attiser le plaisir de la bête mais une fois imberbe, le taureau tourna la tête et s’occupa de nouveau de ses marguerites. Non elle ne se ferait pas mettre par cet animal aujourd’hui.
Lasse de ne pas avoir subit de trucs dégueulasse, elle ramassa ses frusques, s’habilla et oublia les slips des routiers. Tous les mêmes, même le taureau du père Bazzzin ce vieillard acariâtre, dès qu’ils ont ce qu’ils veulent, ils n’en font qu’à leur tête. Elle rentra chez elle la tête basse car elle avait descendu toutes les canettes.
Malgré la lassitude qui l’avait envahit, la mère Demi sourit à moitié lorsque sur le pas de la porte, elle souleva sa culotte pour observer son minou pleins de bulles de savon. Elle avait en effet vidé son baril de lessive dans sa culotte quelques instants auparavant et devant la finesse de la mousse, se trouvait en mode premier lavage. Elle se dirigea vers son godmichet, pour le contempler et laisser agir son cerveau pour passer en mode rinçage. Pour le mode essorage, elle disposait d’une très fine tactique. A califourchon sur son balais, elle courait de plus en plus rapidement autour de la table et lorsque qu’à cause des centrifugeries ou centripèteries elle quitterait la route pour se tracher la gueule sur le mur ou dans un meuble. Une fois ce but atteint, le programme était alors terminé et elle s’écroulait sur le sol puis giserait la bouche ouverte.
Après cette épreuve et une fois remise de ses émotions, comme le concours de picole la laissait indifférente, elle décida pour occuper sa soirée, d’appeler Allo homme chaud.
Allo homme chaud était un organisme qui de la même manière qu’un établissement de livraison de nourriture, proposait plusieurs programmes avec un ensemble d’options. La mère Demi choisit un homme musclé, noir du côté gauche et blanc du côté droit. Pour l’accoutrement elle choisit policier des champs avec méga taille pour quatre à cinq personnes.
Elle cocha les cases suivantes : streap tease, insultes, massage tonique, massage sexuel, broute aisselles, broute minou, bouffe chaussette et petit tour vert.
La commande fut rapidement passée, la livraison se ferait dans quarante cinq minutes au lieu de la demie heure habituelle. Ce retard était certainement imputé au concours de picole et à la méga commande des amies de Louisette Satremble.
En attendant qu’Allo homme chaud ne livre son androgyne, elle décida de faire un petit peu de ménage car ils pourraient se blesser. Elle n’avait pas pratiqué cette activité depuis au moins cinq années, elle avait en effet tout sacrifié pour la lessive. Comme un tel bordel jonchait le sol, elle ouvrit une fenêtre ce qui permit de changer l’air putride de la pièce, pour tout balancer. Elle jeta plusieurs rats et chats crevés, des boites de conserves ouvertes et à moitié vides suivirent, puis y passa sa collection de godmichet rouillés. Un gros tas d’ordures se forma devant sa maison, maintenant était venu le temps de passer un coup de balais. Elle s’activa car il ne lui restait que quelques minutes avant l’arrivée de l’étalon. Une épaisse fumée envahit sa pièce et aux commandes du manche elle continuait à se déchaîner pour faire une nouvelle place à un semblant de propreté.
- Madame Demi, je suis le produit commandé chez Allo homme chaud, cria une voix de l’extérieur.
Ah le con, il était en avance, la mère Demi balança son balais par la fenêtre et se vida deux ou trois canettes entre les seins pour se donner une agréable odeur.
- Ouiiiii, j’arrive mon bon monsieur.
- Bonsoir madame dit l’homme qui avait amené sur sa mobylette l’étalon, veuillez signer ici s’il vous plaît.
- Mais bien sûr mon jeune ami.
Elle se saisit du stylo plume que le brave livreur lui tendait pour la signature et l’explosa en traçant une croix. Elle en avait pour cinq cent euro et donna un pourboire d’un euro pour le naze de mobylette.
Elle ôta délicatement mais en tremblant tout de même d’impatience l’emballage de l’étalon, elle frissonnait d’envie.
- Bonsoir ma duuulcinée, dit l’étalon en pénétrant dans la maison.
Elle se précipita derrière lui en claquant la porte et en fermant les dix huit serrures à quadruple tour.
- Entrez Monsieur, faites comme chez vous.
L’homme se précipita pour gerber par la fenêtre, sans doute un poil de chatte de la dernière cliente qui ne passait pas ou alors l’odeur pestilentielle qui régnait dans cet antre sordide.
- Oui vous avez raison, je vais aussi fermer les fenêtres s’excusa la mère Demi.
- Ce n’est pas la peine madame, c’est le tanchopoulpe de ce midi qui ne passe pas, veuillez m’excuser.
- Oh vous savez tant que vous ne me faites pas payer cette option inédite, je vous laisse faire.
- Ou puis-je déposer mes vêtements ?
- Ne soyez pas si pressé mon jeune ami, prenez tout votre temps.
L’étalon, comprit qu’il ne fallait pas trop parler avec cette grande malade sous peine de gros ennuis. Il prit au même instant le parti de dérouler au plus vite son programme puis de prendre la poudre d’ escampette.
Il plaça un disque à moitié rayé de la vieille sur un pick up poussiéreux. A sa grande surprise il s’agissait d’un tub des années soixante dix complètement dépassé mais qu’il entendait souvent dans la boîte de gays avant-gardiste qu’il fréquentait assidûment. Il jeta un œil sur le programme qui avait été commandé et commença à se déhancher. L’air de plus en plus absent il balançait au fur et à mesure ses fringues dans tous les sens. Il se pencha trop un moment au dessus des seins de la mère Demi et ne put retenir la deuxième salve de gerbe qui gicla sur la tronche de la vieille pleine de joie et de bonne humeur. Comme l’autre naze se trouvait en string, il en profita pour couper son spectacle et enchaîner directement au point suivant, les insultes. Il fixa la mère Demi, lui plaça son chibre à vingt centimètres de la bouche et attaqua :
- vieille salope complètement débridée, vieille frigide, grosse poufiasse.
Il se retira rapidou car la vieille montrait les crocs et menaçait de lui mordre le chibre.
- Encore mon bel étalon.
- Tanche pustulleuse.
- Oh oui !
- Pétasse monstruseuse.
- Oh oui !
- Immondice pleine de vice.
- encore hurla t-elle en s’introduisant le rouleau à pâtisserie.
- Laideron.
- Ohhhhh !
- Faignasse dégueulasse.
- oh oui, continuait la mère Demi en cabrant son corps tel un taureau sauvage que l’on essaierait de monter.
- Retraitée faisandée.
- Oh oui, continue.
- Paysanne dégénérée qui trempe son cul dans la purée.
L’étalon ondula son corps devant la vieille qui maintenant essayait de l’attraper pour qu’il la mette comme dans son jeune temps ou l’on baisait sans capote et mettait du saindoux pour la sodomie.
- Va te faire labourer par le taureau du père Bazzzin ce vieillard acariâtre.
- Ah non, tout ce que tu veux mon bellâtre mais pas cela, moi je ne refuse pas, c’est le taureau qui se refuse quand je m’offre à lui.
- Ah désolé Madame Demi, vieille pute qui attend qu’une seule chose, qu’on la culbutte.
- Ah oui, c’est mieux.
- Affreuse sorcière qui se torche à la bière.
- Oh oui !
Elle recommençait à se cabrer, le bellâtre faisait attention de ne pas se prendre un coup de pompe dans gueule ou dans les couilles car se ne serait que perte sèche dans son travail.
- Toupie aigrie.
- Ouiiiiiii !
- Vieille garce décatie.
- Ahhhhh !
- Vieux tas, à poil montre moi tes rides.
- Oh non pas tout de suite implora t-elle alors qu’elle avait à peine commencé à se toucher avec le rouleau à pâtisserie.
- A poil la vieille, sinon je me casse, c’est la fin de la deuxième partie, soit tu continues à raquer triple tarif, soit tu ferme ta gueule et tu me laisse m’occuper de toi comme commendé chez Allo homme chaud.
Sans répondre la vieille s’inclina, enleva ses fringues défraîchit et ne garda, de la même façon que quelques temps auparavant, ses chaussettes et ses sandalettes. Le bellâtre essayait d’aspirer de grande bouffées d’air pour éviter que la tête ne lui tourne de trop. Après avoir fait sa prière il jura qu’il arrêterait dès que possible se stupide métier. Il l’a massa sans aucun ménagement, mais elle aimait cela cette bougresse et elle poussait des petits cris de jouissance. Ne pouvant plus supporter ces cris, il redoubla de violence dans ses massages mais cela ne l’excitait que d’avantage. Devant la cadence du massage les os de la mère Demi craquèrent et le bellâtre s’arrêta essoufflé.
- Retourne toi, c’est maintenant le programme du massage sexuel dit-il en soupirant.
La vieille s’exécuta sans broncher, écarta les jambes et attendit la suite. Dans un premier temps, le bellâtre fut surpris par le paquet de bulles qui continuait à se dégager et ensuite repéra que la vieille était imberbe.
- Ouah ma salope, tu t’épile intégrale ? demanda t-il extrêmement excité.
- Oh oui mon chou, je me suis fait ceci rien que pour toi.
- Putain, j’adooore, je te propose de te baiser comme une grosse pute que tu es plutôt que passer au programme massage sexuel.
- Oh oui, fait moi mal.
Le bellâtre n’eut pas le temps d’enlever son string car ce dernier venait d’exploser sous la pression de son sexe. Il se jeta sur la mère demi, l’enfourcha sauvagement et mit toutes ses tripes à l’ouvrage. Le bellâtre n’était en fait qu’un immonde pervers.
La vieille ne prit pas complètement son pied mais elle préféra se taire plutôt que de contrarier une aussi bonne volonté. Après trois coups, il s’arrêtèrent, lui pour fumer une clope et elle pour se descendre une bière. Et soudainement, elle balança sa canette et se mit les bras en arrière car elle savait que le programme suivant était le broute aisselle.
Le jeune homme essaya tant bien que mal de la brouter mais les odeurs étaient vraiment trop insuportables. Les hauts de cœur lui empêchaient toute prise, ainsi il lui proposa de la mettre trois nouvelles fois.
- Oh j’adore cette enseigne dit-elle en jetant sa tête en arrière.
- Qu’est-ce que tu racontes ?
- Oh je devrais vous solliciter beaucoup plus souvent, n’est-ce pas esclave ?
- Non surtout pas, tu te lasserais, ne nous rappelles pas avant dix bonnes années ma grosse tarte pas fraîche.
- Oh arrêtes de m’insulter gratuitement, tu vas encore me faire jouir.
- Mais non ma cellulite ambulante.
- Oh !
- Vas-y remets cela ma dinde pas vidée.
- Oh oui !
- T’aime cela espèce d’hideuse furonculeuse.
- Encore !
Le jeune homme se tut et commença à rassembler ses affaires.
- Non non, tu ne partiras pas maintenant.
- Si... Désolé, c’est finit pour toi, on se revoie dans dix ans.
- Je te rappelle que j’ai payé très cher ta prestation et que celle-ci n’est pas terminée.
- Finito, terminado, désolado créature de l’enfer.
La vieille se releva et se saisit de son billet de commande.
- Regarde petit con, tu m’a baisé gratos certes, mais tu me dois encore le bouffe chausette et le petit tour vert.
Le jeune blêmit, le pire du pire l’attendait. Déjà il mettrait plusieurs semaines avant de reprendre goût aux femmes, mais là il risquait le dégoût à vie. Dans sa tête, il revit sa vie repasser, des étourdissements lui engourdissaient le cerveau. Au bord de la panique, il se souvient qu’il avait besoin encore d’argent pour monter ce fameux bordel pour mecs. Tous ces rêves pour l’Enculodrôme allaient-ils s’envoler à cause d’un simple caprice de sa part ?
Il serait fort, très fort. Quitte à être malade pendant plusieurs semaines, il irait jusqu’au bout de sa mission. Très digne il se leva la tête haute et déclara :
- Vas-y sorcière fais-moi mourir, je suis prêt à affronter l’avant dernière mission avec panache.
- A la bonne heure répondit la vieille qui farfouillait dans un placard.
La mère Demi cherchait sa paire de plus immondes chaussettes qu’elles n’eut jamais portée. Elle se souvenait d’une paire jaune au début de la dernière guerre qui avaient finit noir à la fin. A l’époque, elle n’était pas un foudre du nettoyage comme aujourd’hui, elle ne se lavait que le sexe, le cul et les dents, le reste n’avait aucune espèce d’importance à ses yeux.
Elle poussa un cri de soulagement, elle touchait au but. Sa voix tremblait d’excitation et ses mains touchèrent un sac en plastique.
- Et bien voici, il suffisait de chercher un petit peu.
Elle sortit le sac plastique et religieusement attrapa la pince à cornichons pour en extraire son contenu. Devant les yeux hagards du bellâtre, elle sortit deux immondes morceaux de tissus constellés de tâches et de champignons inconnus. Son sourire angélique faisait apparaître ses dents jaunes et cariées.
- Voici mon beau, la paire de chaussette étalon.
- C’est des chaussettes ça ?
- Oui mon gars des chaussettes un petit peu trouées certes mais je les ai porté durant des années sans jamais les laver.
- Et tu veux que je bouffe ceci ?
- J’ai payé pour mon grand, et tu va attendre que m’introduise mon rouleau à pâtisserie pour commencer.
- Mais … Mais tu veux me faire mourir ?
- Mais non, l’odeur est juste un peu forte, tu sais c’est comme pour les vieilles chattes.
Le jeune homme ne parut pas très rassuré malgré les propos de la mère Demi. Elle lui déposa les chaussettes dans une assiette plus que douteuse.
- Bouffe petit con et ferme là.
Elle s’installa dans son canapé, s’introduisit le rouleau à pâtisserie et se délecta de voir le bellâtre tout tremblotant. Il était pourtant plein de bonnes volonté, elle aurait pu l’entretenir de la sorte durant des années mais sans le savoir elle gâchait tout, jamais il ne remettrait les pieds chez elle après ces sévices.
Timidement il attrapa l’extrémité d’une des chaussettes et la regarda longuement. La mère machin faisait aller et venir son rouleau en ne loupant aucune miette de ce ravissant spectacle. Il prit sa respiration et réussit à en engloutir une. Son teint soudainement blafard passa au verdâtre. D’un air pitoyable il regarda l’autre chaussette, il se devait de remettre cela. Il attrapa la deuxième chaussette, jamais il avait été aussi mal. Ses jambes semblaient se dérober sous lui, comment ferait-il pour mener à bien sa mission ?
La vieille poussa de nouveau des petits cris, elle était vraiment insatiable. Le jeune tenta d’ouvrir la bouche pour ingurgiter l’autre champignonnière mais là s’en fut trop. Des tremblements nerveux parcoururent son corps en pleine dégénérescence, ses muscles se bandèrent comme s’ils allaient exploser et il hurla. Il recracha la première chaussette entre les deux seins de la mère Demi. Des champignons lui poussèrent sur la peau et il commença à rétrécir. Au fur et à mesure qu’il rétrécissait, il devenait de plus en plus laid et son odeur insupportait même la vieille. Il y eut dans la barraque un grand éclair et beaucoup de fumée, le bellâtre c’était transformé en gnome joufflu qui avait les couilles qui pendaient jusqu’aux genoux. De la bave sortait de ses naseaux, il écumait de rage. Il se saisit du rouleau à pâtisserie qu’il balança sur la fenêtre pour casser un carreau. Il sauta sur le bord de la fenêtre, se coupa une couille avec un morceau de verre cassé, sa peau verte foncé luisait à la lueur de la lune. Personne ne croirait ka mère Demi, de la fumée lui sortait des oreilles et ses dents étaient devenues toutes pourries.
- Va te faire enculer vieille conne, garde ton fric pourrit, je me casse hurla t-il en passant au travers de la fenêtre et en détalant comme un lapin de garenne.
- Et mon petit tour vert ? demanda la mère Demi.
- Vas te faire foutre avec ton petit tour vert espèce de vieille perverse répondit-il avant de disparaître dans la nature.
La mère Demi était toute retournée par ces événements si imprévisibles. Elle regarda sa pièce sans dessus dessous et repéra le string déchiré du bellâtre. Elle s’en saisit, le renifla et très énamourée se félicita du bonheur dont elle jouissait, il avait même laissé une tâche de sperme dans son string.

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