Les sbires n’eurent pas trop le temps de passer en mode panique car les verrous de la porte claquèrent. A l’ouverture, un mini tsunami d’une dizaine de centimètres fit un flop dans la cellule. La seule victime à déplorer fut le gros cafard que Françouais ne réussit pas à sauver. La bestiole tenta de lutter contre les flots quelques instants en crawlant façon cafard pro de la natation, puis façon tête immergée et enfin façon apnée. Françouais organiserait des funérailles dignes de ce nom à l’occasion.
La lumière violente de l’extérieur fit cligner les yeux à tout le monde et personne ne su qui correspondait cette silhouette si imposante en train de pauser. A ce moment là, les secondes s’égrenaient encore plus longuement que d’ordinaire. Visiblement la fuite avait cessée et le niveau de l’eau n’augmenterait plus et il ni avait plus ce bruit si caractristique.
- Alors les cloportes, on se masturbe dans la rizière ? demanda la silhouette imposante. Le ton de sa voix trahit illico son propriétaire, il s’agissait de Gertrud visiblement en grande tenue de soirée.
Personne n’osa la ramener et Edmond se camoufla pour continuer à faire crisser sa plume de plus belle. Il speedait tellement qu’à la fin d’une page son stylo dérapa et il continua à griffonner sur le mur. Edmond serait bon pour le mitard car les graffitis n’étaient pas autorisés et sévèrement réprimés.
- Ne me frappez pas, je n’en peux plus, par pitié épargnez moi gueula Jean-François en se protégeant la face de son bras gauche alors qu’avec sa main droite il se protégeait les roustons.
- Ne t’inquiète pas Ducon, je ne te toucherais pas ce soir. Mais je m’inquiète pour ta santé, d’ordinaire tu saoules tout le monde avec tes conneries et depuis quelques jours, hormis faire ta lessive à longueur de journée tu parais dépérir.
- Oui madame, je vais faire des efforts, mais j’ai tellement peur de notre nouveau compagnon que je préfère me taire quitte à sombrer dans la déprime, que de me faire harceler moralement et physiquement répondit d’un trait Jean-François heureux de pouvoir s’exprimer.
- Tu es obéissant et c’est très bien, je saurais m’en souvenir.
- Merci madame, vous êtes un phénix. Je suis heureux d’être enfermé dans la prison que vous dirigez. Je constate jour après jour à côté de quoi je serais passé si je ne vous avais pas eu comme matonne en chef. J’aurais vieillit puis serait mort con.
- Rassures-toi cela ne risque pas de changer grand-chose. La connerie est un don de dieu et tu peux donc être fier d’en être un digne représentant.
- Oh merci de ce compliment répondit Jean-François en faisant des petites courbettes nerveuses synonyme de respect.
- OK ta gueule maintenant, tu commences à nous fatiguer avec tes stupidités inutiles. Tu la boucles et tu continues ta lessive sinon tu vas goûter quelques petits coups bien appliqués.
- Oh non, je vous en prie, ne me maltraitez pas, je ferais ce que vous demandez.
- Ferme-là.
Gertrud était perché sur des talons aiguille d’une quinzaine de centimètres ce qui lui évitait de ce mouiller et tenait un pan de sa robe longue en tulle dans sa main. Avec sa main disponible, elle pointait son index en direction de Françouais. Le siamois devant la beauté de sa robe eut une érection et se fit son frangin qui achevait à peine de se rincer le cul. Françouais comprit qu’il était demandé au parloir et qu’il ne devait surtout as se défiler. Un silence de mort régnait dans la cellule, tout le monde regarda Françouais s’extraire de son pucier avec une bosse sur son falzar qui trahissait une érection en court d’extinction. Il chercha du bout du pied ses charentaises immergées, les enfila, écrasa le gros cafard qui avait quitté ce monde et se trouvait en pleine réincarnation en politicien. Il avança doucement en direction de la porte et disparut dans la lumière juste avant que la porte ne se referme dans un fracas épouvantable accompagné de bruits de verrous se refermant. Les olibrius soufflèrent et vaquèrent à leurs occupations favorites.
Françouais marchait doucement dans l’océan de lumière. Sa cellule se trouvait en dessous du niveau général et était probablement la seule avec autant de flotte. Lorsqu’il se trouva au sec, il remua les orteils dans ses charentaises pour y extraire un maximum de flotte. En marchant il faisait des grincements ridicules qui ne correspondaient absolument pas à la tenue cérémoniale de Gertrud. Alors que le jour tombait et que la plupart des matonnes étaient rentrées à leur domicile pour après cinq apéros frapper leurs conjoints, Gertrud amena Françouais dans son bureau. Elle admira sa robe de mariée longuement dans la glace en faisant des petites mimiques. Françouais toujours aussi pitoyable attendait la sentence la tête basse.
- Tiens, prend cela dit-elle en lui tendant six clopes. Même si c’est interdit ici, prend ceci comme une faveur.
- Sympa, merci madame répondit comme un gamin Françouais dont l‘oeil c’était ranimé. En tremblotant il s’alluma ses six clopes et aspira comme un gros naze une méga bouffée. Ses yeux s’injectèrent de sang illico et une envie de dégueuler lui noua les tripes. Il toussa et cracha comme un vieux tubard qui dégueule au petit matin un grand bol de glaviots vert pour tartiner sur son pain.
- Petit impatient dit Gertrud en observant d’un œil amusé Françouais qui se tordait. Prend le temps d’apprécier les choses.
Une grosse envie de caguer prit Françouais qui se précipita sur la première cuvette venue pour y balancer le bronze qui lui tenaillait les boyaux. Gertrud se caressa doucement en entendant les bruits occasionnés par la précipitation. Françouais rouge comme un homard sortant de l’étuve forçait à en faire exploser la cuvette façon Canardon.
Gertrud se força à ôter sa main de son sexe histoire d’éviter de prendre trop de plaisir le tout de suite.
- Pardon madame, il n’y a plus de papier annonça honteusement Françouais.
- Torches-toi dans les rideaux mon amour et reviens vite me faire bouillir de plaisir.
Pendant que Françouais s’affairait à éclaircir son derche, Gertrud se coucha sur une banquette improvisée. Elle vérifiait le rendu de chaque plis de sa majestueuse robe et d’un doigt agile rentra sous son double menton, son triple menton pour paraître plus désirable. Françouais en revenant tout joasse faillit gerber d’horreur devant ce spectacle. Il s’accrocha à la rampe et tient le choc en se remémorant certaines partouzes à Saint Saturnin les Bains avec des monstres forts proches du règne animal, les divers souvenirs de ce qu’il avait pu faire dans les différentes étables l’aidèrent considérablement. Elle gisait devant lui comme un gros loukoum en souriant toutes dents dehors, elle fit volontairement glisser au sol sa chaussure droite pour laisser apparaître un peton bouffit.
- lèche-moi les orteils et vite.
Françouais s’approcha, s’agenouilla et comprit rapidement l’ampleur de la tâche qui lui était réservée. S’il refusait il se retrouverait à nouveau enfermé avec une probabilité quasi nulle de rédemption, alors que s’il s’attelait à la tâche, de timides ouvertures s’offriraient progressivement à lui. De plus il avait des tonnes de souvenirs à se remémorer pour effacer la scène atroce qu’il allait vivre. Il s’exécuta et mordit en premier le petit orteil déformé par un cor qui n’avait pu arriver dans cet état qu’après des années de macération dans des groles trop petites et non conforme aux normes de salubrité Européenne. Puis il s’attarda entre les orteils ou il eut le loisir de découvrir une flore et une faune inconnue de la science et comprit enfin pourquoi le fromage résidant entre les orteils contrairement au vrai fromage, ne contenait pas de calcium. Après une heure de traficotage métacarpien, la grosse avait le faciès en arrière et son triple menton avait reprit ses droits d’auteur. Elle soufflait comme une locomotive ce qui déformait à outrance sa grosse poitrine qui malmenait le tissus fragile de la robe. Françouais qui manquait d’air, passa à l’autre pied après avoir extrait non sans peine la pompe aiguille qui s’accrochait désespérément à sa propriétaire. Il s’attaqua au deuxième panard qui était encore pire que le premier, Françouais pour se donner du courage songea aux pieds panés de cochon dont il était fort friand. Gertrud roucoulait de plaisir et les plis de sa robe aux alentours de son bas ventre s’imbibaient de sécrétions. Après deux heures d’intense labeur Françouais en était aux genoux, il éprouvait un désir impérieux de faire une pause. Gertrud le regardait amoureusement et Françouais eut l’idée d’essayer de lui faire comprendre de se retourner. Il lui fallut plusieurs minutes de tractation puis des gestes pour qu’elle comprenne et qu’elle entreprenne sur son corps monstrueux la manœuvre. Il lui fallut un temps certain pour se retourner. Elle força tant que la robe se déchira et avant qu’elle ne monte dans une de ses colères noires, Françouais lui pétrit la cellulite. Il le fit de manière virile car il était persuadé que c’était le genre de méthode dont elle raffolait. Comme la grosse était sur le ventre et ne regardait plus ce qu’il faisait, françouais en profita pour se saisir d’une pompe qui ferait office de langue artificielle. Il lui grimpa sur les fesses pour achever de déchirer la robe. Gertrud eut une furieuse envie de se faire sauter ou de s’introduire un poing tant le plaisir était monté à son paroxysme mais elle n’en fit rien car son esclave devait se charger de cette tâche.
De trop longues heures durant Françouais à califourchon sur la baleine simula avec la pompe une langue râpeuse avide de découverte d’espaces jusqu’à présent inexplorés. Pas un cratère de cellulite n’y échappa. Françouais ne pu ensuite lui ôter la culotte du fait du poids de la bête et surtout de sa taille, comme pour la robe, il déchira le tout avec plus de difficulté car les tissus de ce type de culotte étaient spécialement renforcés. Avec les sécrétions, cette maudite culotte pesait plusieurs kilos. En tombant sur le sol elle avait l’allure d’un poulpe visqueux fraîchement pêché.
Françouais qui avait repéré une batte se base ball, s’en saisit et se la coinça entre les jambes. Il pénétra Gertrud qui eut un soubresaut façon animal sauvage poussant son dernier souffle de vie. Il la ramona sauvagement jusqu’à ce qu’elle se taise puis il introduit sa batte dans son anus pour lui réserver le même sort. Lorsqu’elle eut jouit bruyamment une deuxième fois, Françouais replaça la batte maculée de merde à son endroit initial. Gertrud mit plusieurs minutes pour sortir de sa léthargie et s’agiter pour se retourner. Françouais observa avec amusement cette grosse tortue qui essayait de se retourner. Lorsqu’elle réussit à s’asseoir, elle n’était vêtue que de son soutien gorge qui paraissait mal en point face à la situation qui lui était imposée.
- Mon héros, jamais on m’a défoncé comme cela dit-elle en s’agrippant les deux mains aux deux oreilles de Françouais et en lui secouant la tête.
La rustaude était résolument follement amoureuse et passa délicatement sa langue sur ses lèvres histoire d’exciter Françouais qui au même moment se disait qu’il se ferait bien une bonne boutanche de ‘gnac histoire de faire passer le goût du thon.
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