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Résumé des épisodes
précédents
Immense succès de la murge de la décade,
même Vérobite et Belpina risquent d'y débarquer pour y récupérer
leur auditoire. Françouais à retrouvé sa jeunesse et se défonce
sur sa gratte pour faire danser les foules et surtout pour charmer
belle maman. Fiston n'a plus de string de rechange.
Episode 30
Au loin les CRS s'organisaient
pour la charge, mais rien ne ferait peur aujourd'hui aux pécores.
La murge de la décade ne se terminerait qu'à l'aube et se n'est
pas quelques petits bulldozers de pacotille ou quelques flicards
qui empêcheraient cela.
Toutes les bonnes musiques dansantes y étaient passées : la partouze
des canards, vient d'faire enculer un p'tit coup à la maison, mon
amour est partit boucher l'trou du gros qui me bourre, et un et
deux et trois pinauds …
Les pifs violacés de la populace continuaient de bringuer sans aucune
faille.
- Coucou me voilu beuglait en courant le gros rustaud qui avait
réussit à déjouer la surveillance de Gertrude.
En effet, le connard qui ne supportait pas d'être loin de chez lui
avait patiemment attendu la sieste du premier jour de vacances pour
se tirer. Gertrude qui depuis 1954 se faisait ramoner tous les jours
des congés payées que Dieu lui avait offert, par son amant le fromager
de Goudriole les Fiotes. Ce gros naze ne dégorgeait le poireau qu'un
mois dans l'année : au moment ou Gertrude était en vacances. De
plus la mégère ne se faisait sauter que pendant la période de la
sieste, c'est à dire de 13 heures à 18 heures. Au delà, les médecins
trouvaient que le gros rustaud dormirait trop et serait en retard
pour l'apéro, ce qui l'énerverait et serait mauvais pour son coeur.
Le début de l'été était toujours très pénible pour le fromager qui
attendait comme un petit chien fidèle sa Gertrude. Ses couilles
arboraient la taille de deux pamplemousses roses. Une année, il
avait même éjaculé solide, ce qui avait fait sauter au plafond de
la caravane Gertrude. Maintenant le fromager était plus vieux et
la Gertrude se contentait le premier jour que de deux jus de pamplemousse.
Le gros rustaud avait sagement parcouru les huit cent kilomètres
qui séparait son lieu de villégiature de son domicile. Faisant du
stop, il ne c'était astreint qu'à s'arrêter à chaque troquet pour
se gargariser d'un petit jaunâtre. Il n'eut donc pas d'énormes effort
à fournir pour rattraper le niveau éthylique de ses confrères. Au
même moment, Gertrude avait déjà du alerter tous les commissariats
à 200 kilomètres à la ronde. Comme il n'y avait pas pour le moment
de résultat, elle devait se trouver en haut d'un petit monticule
de terre, face à la pleine lune sur ses pattes arrières en train
d'hurler à la mort. A cette idée, le gros rustaud avait eu dans
son slip kangourou maronnasse, un tout début d'érection d'un centimètre
et demi. Le p'tit saligaud en profitait pour se frotter le sexe
dans la mêlée, mais pour l'heure ne parvenait pas à charmer quiconque.
Il se vengea donc et comme tous les pécores, sur la vinasse et se
déchaîna sur les loches de Finaude. Il les pétrissait, les jetait
en l'air et elles faisaient en retombant sur le sol un bruit spongieux.
De plus les vibrations au moment de l'écrasement mamellaire, remontaient
des tétons aux oreilles. Le gros rustaud était super joasse, pour
une fois qu'il s'amusait sans Gertrude derrière son cul et Finaude
était super joasse, pour une fois que quelqu'un d'autre que Fiston
lui tritouillait les miches.
Françouais qui avait toujours le ben aux chevilles, se baladait
tel un culbuto dans la foule en lâchant de grosses caisses résonnantes.
Il s'agissait, lorsqu'il était bourré à ce point, de son plaisir
favoris. Fiston avait repéré le manège et c'était emparé des allumettes.
Il se mit au niveau des sabots, des ongles incarnés et des corps
aux pieds, pour en rampant, incognito approcher Françouais. Arrivé
au niveau du ben de Françouais, il attendit que l'alcoolique arrête
de picoler et de fumer. Une fois les deux activités terminées, Françouais
se positionna façon poule pondant un œuf, gonfla les joues, rougit
et largua une méga caisse avec fumée bleue. Fiston au même moment
craqua l'allumette, il y eut une grosse lueur, un grand cris et
un gros bruit de fusée. Françouais décolla d'une trentaine de mètres
en gueulant comme un veau. Les CRS qui s'apprêtaient à charger,
reculèrent en mode panique de plusieurs centaines de mètres. Les
villageois ne se rendraient pas de sitôt, ils utilisaient même des
armes inconnues, il fallait faire intervenir l'armée.
- Oh la belle jaune gueulèrent les pécores en applaudissant car
ils croyaient à un feu d'artifice.
- Enfoiré d'PD du cul de p'tit enculé d'fils à la noix de coco beuglait
Françouais retombé comme un chat sur ses pattes, se trempant le
cul encore fumant dans l'abreuvoir.
- Ah vingt dioux d'bi di dioux, ça c'est une idée dit le père Bazzzin
ce vieillard acariâtre qui voulait inonder l'abreuvoir de pastaga
pour que tout le monde puisse se désaltérer à sa soif.
La foule se précipita le godet à la main, se fut la grosse panique.
Au bout de quelques minutes les soiffards du premier rang, la gueule
dans l'abreuvoir léchaient les dernières goûtes du liquide jaunâtre.
Avant l'émeute, le père Bazzzin équipé d'un tuyau d'arrosage remit
plusieurs tournées.
Igor le pécore eut un flash en voyant passer une vache. Il jeta
ses fringues, poursuivit et rattrapa la laitière. Il se mit de la
fleur de sel sur la bite pour que la bête à corne moustachue lui
taille une pipe du feu de Dieu. Un quart d'heure plus tard, il passa
sous les pattes arrières de la bovine. Il s'accrocha de sorte à
pouvoir pénétrer avec son sexe vermoulu l'animal et en même temps
lui sucer les pis. Les connards qui jamais n'auraient pu imaginer
une telle chose pour se défouler quand leurs bobonnes invoquaient
la sainte Migraine, applaudirent à tout rompre, ils en avaient pour
leur argent. Quand Igor largua la purée, certaines furent déçus
car ils n'avaient pas eu le temps de tout comprendre. Quoiqu'il
en était, il y avait un nombre phénoménal de couvées potentielles
de cornus pour ses prochains mois.
La vache repartit titubant sous une nuée d'applaudissements, certains
abrutis le froc aux chevilles essayaient en vain de choper l'animal
pour se vider les couilles. Finaude qui comprenait certaines choses
très vite, se mit à quatre pattes et poussa des meuglements pour
attirer quelques clients. Mais le spectacle était tellement apocalyptique
que personne n'eut le courage d'enfourcher la bête.
Le responsable de l'alcolotron, annonça la température à l'auditoire
: 3,5°. L'alcolotron, était un appareil mis au point pour mesurer
le grammage moyen d'alcool dans le sang d'une populace. Le grammage
moyen devrait monter au plus fort de la murge de la décade à 4°,
le nirvana était donc fort proche.
Bien évidemment, pour fêter l'événement, une nouvelle tournée générale
fut servit. Yvette pas trop habitué à l'alcool titubait pour rejoindre
son ami accordéon. Elle se fit un noeud dans les pattes et se ramassa
la gueule très près du but. Sa tronche rebondit sur l'instrument
qui avec la pression cracha quelques jets de sperme. Yvette balança
sa perruque dans la foule et improvisa un rap accordéonistique qui
en fit gerber plus d'un.
Le service d'ordre bourré ne contiendrait plus longtemps la foule
bourrée qui souhaitait ardemment bourrer la gueule et le cul d'Yvette.
Cette dernière le sentit et eut le réflexe de soulever sa jupette
pour exciter les saligauds aux glands violacés. Des jets de sperme
s'envolèrent ça et là. Françouais s'en prit dans l'œil gauche et
pire, dans le verre.
- 'Tain d'enculés d'éjaculateurs précoces de cloportes syphilitiques
gueula Françouais en balançant quelques coups de pompe dans la gueule
de sa belle maman préférée.
- Oh, arrêtez de faire le jaloux mon p'tit Françouais, c'est pas
parce que je fais des pipes aux autres pécores que je ne vous en
ferais plus répondit belle maman en crachant un morceau de gland
sectionné.
- Uuuuuuuuuuuulà ouailllllllllllllllllllllle brailla le cloporte
gland en moins, qui se faisait sucer par la vieille et qui maintenant
cherchait une partenaire aux tendances vampiristiques.
- 'Tain quel est l'enfoiré qu'a balancé la purée dans mon pastaga
? allez avoue si t'es un homme gueula Françouais qui avait sortit
sa lame et attendait le coupable pour l'étriper, ce qui ne manquerait
pas de mettre du piquant dans la murge de la décade.
Ce qui devait arriver arriva, Françouais se prit une grosse patate
dans sa sale gueule d'abruti professionnel et gicla à quelques coudées.
Il mordit la poussière puis cracha les unes après les autres ses
dents cariées dans une culotte en dentelle abandonnée. Il plia la
culotte qui rangea soigneusement dans sa poche, car le soir la petite
souris lui passerait certainement un joli cadeau : quelques boutanches
de gnac.
- Plus vite, dépêches-toi, on va arriver en retard disait Vérobite
en malaxant un manche de rateau qu'elle c'était introduit.
- J'ai le clitoris au plancher et si je continue ma voiture va rendre
l'âme répondit Belpina en essayant de se saisir de la canne anti-vol
pour se ramoner.
La voiture fit une embardée sur un crapaud qui partait paisiblement
prendre l'apéro au troquet. Après trois tonneaux, Belpina avec Finaude
faisait à présent partie de l'archétype de la pire salope. En effet,
elle faisait un mètre vingt et avait la tête carrée. Vérobite fut
terriblement jalouse et fit la gueule mais Belpina la consola en
lui faisant un double fist fucking puis un head fucking dans les
fourrés. Elles seraient effectivement en retard pour la murge de
la décade.
Fiston qui en avait marre de se faire tripoter par des vieilles
tantouses mal rasées qui puaient la vinasse, se barra avec le caméscope
de grand papa, celui qui c'était fait buter par des rhinocéros en
rut en Afrique. Il avait prit soin d'enfiler un vieux string en
peau de caméléon, ce qui lui permettait un mimétisme absolu avec
le milieu dans lequel il se trouverait. Ainsi dans la foule, son
string avait viré au rose dégueuli de clochard pour passer à la
sortie de la ferme au maronnasse à cause des bouses.
Cette fois, c'était sûr, il se ferait un max d'argent avec la superproduction
qu'il projetait de faire. Les magasins ne pourraient pas suivre
la demande et jusqu'à la ménagère poilue, tout le monde s'arracherait
ce succès. De plus avec tout le pognon amassé, Fiston s'achèterait
une poupée gonflable et un bulldozer rose. Fiston gagna un champ
fleurit, ou le taureau du père Bazzzin ce vieillard acariâtre, ne
venait jamais faire ces bouses sculptées tiédasses. Il installa
le trépied et activa la caméra en mode macroscopique devant quelques
fleurs.
- Vos gueule les piafs, on tourne annonça t-il en remontant son
string, ce qui laissa sa couille gauche dépasser.
Fiston était trop préoccupé de chez préoccupé pour s'occuper de
sa couille, il se concentra sur la scène. Comme il ne voulait pas
s'embêter ensuite à faire des montages, il fit le fond sonore en
même temps. Cela consistait en une chansonnette à la con rythmée
par des vieux pets bien vaseux. Il zoomait à fond les ballons sur
de la luzerne en fleur et chopa un bourdon qui cherchait une fleur
pour y essuyer son pieu. La bestiole se posa et immanquablement
essuya avec volupté son pieu en fermant les yeux. Fiston n'y croyait
pas, il tenait là l'introduction de son fabuleux film nouveau genre.
Quand le bombardier décolla pour se torcher ailleurs, Fiston zooma
et rezooma sur les pistiles et étamines pas fraîches.
Ca y est, il le tenait son film pornographique végétal. Il filmait
des fleurs se faisant féconder et cela le faisait triquer à mort,
au point de niquer son string. Une fois qu'il aurait terminé cette
première scène, il se dirigerait vers les chardons pour y étudier
la fornication.
Quelle ne fut pas sa surprise en arrivant devant les chardons et
tombant sur deux militaires maquillés avec des perruques rousses
qui s'enculaient sans ménagement.
- Oscour minmin, oscour, y sont en train de se défoncer la boite
à caca gueula Fiston en abandonnant sur place son matériel de cinéastre.
Les bidasses qui se disputaient pour faire la femme n'y firent même
pas attention et continuèrent leur manège.
A la lisière de la ferme, des hélicoptères militaires larguaient
à gogo des bidasses, mais personne ne s'en souciait.
La grosse pute chère à fiston débarqua dans la cour de la ferme
avec un marmot fraîchement vêlé dans les bras et un placenta autour
du cou en guise d'écharpe. Elle coucha le mioche dans paille entre
un taureau et un porc. Le porc chia sur le môme dénudé, ce qui rassura
la grosse pute qui savait son fils au chaud maintenant.
Fiston qui rappliquait ventre à terre, vit la grosse et changea
de registre :
- Oscour minmin… Oscour minmin…. La grosse, elle n'arrête pas de
me dire que je l'ai engrossée, et en plus je ne sais même pas ce
que cela veut dire dit Fiston en pétant et versant une grosse larme
de groscodile.
- Ah non mon petit mignon, tu me lâche les nibards, tu vois bien
que je suis occupée lui cracha minmin qui se vida direct trois verres
cul sec. La grosse pute se dirigea vers fiston et lui décrocha une
grosse mandale. Comme elle avait du sperme plein les mains, la joue
de Fiston resta collée.
- Minmin oscour …. Minmin oscour ….
- Ah non mon petit mignon, tu me lâche la chatte, aujourd'hui je
partouze et me saoule la gueule répondit la minmin, une main branlant
et l'autre se branlant.
- Tiens prend ça dans ta sale gueule, dit la grosse pute à sale
gueule en lui balançant un placenta à travers sa sale gueule.
- Minmin oscour …. Minmin oscour…. La dame, elle me balance des
trucs verts à la gueule et en plus elle vient de me niquer la lanière
de mon string en peau d'excrément d'éléphant séché et tissé main
brailla fiston.
- Ah non mon petit mignon, tu me lâche les aisselles poilues, aujourd'hui
comme je suis grand-mère, je ne m'occupe plus de toi, tu es majeur,
débile et non vacciné dit la minmin en se précipitant ensuite pour
se ressaisir de trois bites et se remplir la bouche.
- A quel fils de con, c'est ben mon fiston conclut Françouais avant
de s'écrouler terrassé pour les cinq minutes qui venaient par l'alcool,
les femmes, les chiens et le tabac.
Les bidasses débarquèrent comme des nazes, restèrent interdits devant
la scène de partouze et de picole généralisée. Ils se tournèrent
vers le juteux, qui en tant qu'alcoolique non anonyme se léchait
les babines. Le juteux ne put y résister longtemps, il balança son
casque et son flingue lance patate dans la fosse à purin, gueula
" à boire ou j'tue le chien ", se précipita vers les barriques et
s'en jeta quelques litrons. Il répondrait ensuite à l'appel de la
quéquette en se jetant à corps perdu dans la mêlée partousante.
Ses hommes heureux de la tournure de l'histoire, appelèrent les
deux bidasses à perruque rouquine et le suivirent. 'tain y'avait
d'la péquenaude qui voulait se faire monter par du bidasse mais
ce qu'elles ne savaient pas c'est que le commando était composé
exclusivement de gais équipés de porte jarretelle vert kaki sous
le treillis. Le gros rustaud, bien que bourré, avait repéré le manège,
il en profita pour gratter les plaques de merde séchées qu'il avait
sous son kangourou et se montra sous son meilleur profil…
Fin de la
première saison
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