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Des
tonnes de zolies histoires |
A la recherche
de la créature perdue |
Un jour de la fin avril sous influence d'aspirine et de soda light éventé, je passais de merveilleux moments avec une créature de rêve. Chaque seconde qui s'égrenait sur le radio réveil à manivelle voyait une nouvelle portion de nos corps respectifs, en état de transe. Toutes les positions kamasoutriques y passèrent. Les keufs virent à plusieurs reprises tambouriner à la porte tellement nous passions de moments intenses. |
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Le matin du premier mai, alors que les keufs les poings en sang avaient renoncé au tambourin pour faire une perquisition chez les voisins sensibles de l'ouie, je sortis du lit avec la douceur d'un typhon affamé se dirigeant sur le Japon. Pour raffermir mes tissus fatigués je pris une douche avec un savon à base de gingembre, viagra et viandox. Il ne me restait plus qu'à enfiler ma tenue de solexman et enfourcher mon monstre gonflé à la nitro et au pastaga pour partir à la recherche d'une boulangerie ouverte. | ![]() |
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Mais en ce jour du premier mai, tout était fermé, je fis trois fois le tour de Paname à une moyenne de 2,40. Le savon faisant effet, je sentis une turgescence puis me fit ovationner dans un quartier à putes. Quelque peu prétentieux je tentais quelques figures acrobatiques et pan , cela ne fit ni une ni deux et le moteur s'éteint. Heureusement que deux charmantes demoiselles eurent la gentillesse de me pousser jusqu'à la prochaîne pompe. | ![]() |
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Au bout de quelques kilomètres, nous décidâmes de faire une petite halte au premier hôtel venu. Les pompistes fêtaient eux aussi le 1 er mai. Nous prîmes l'hôtel le plus sordide et la chambre la moins chère pour éviter les frais inutiles. Elles eurent beau me faire le grand jeu avec en final un strip tease à décoler la rétine d'un non voyant, rien n'y fit je restais de marbre. elles me virèrent à grand coup de pompes dans le train et je me retrouvais seul dans la rue sans boulangerie ouverte pour acheter quelconque douceur pour ma dulcinée. | ![]() |
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'Tain mais ce n'était pas sans compter sur ma persévérence. Au hasard d'un boulevard haussemanien, je tombais sur un gus qui préparait son stand de sandwichs en prévision de la déferlante d'affamés des défilés du matin. Un type au look bizarre mais qui préparait des trucs qui fleuraient bon à 6 heures du mat. | ![]() |
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Au début je fus rachtement embarrassé car j'aurais souhaité des vienoiseries mais suite à une longue discussion avec le type louche, ce dernier réussit à me convaicre du bien fondé des petits déjs à l'anglaise. Et puis avec la nuit que nous avions passé, il nous fallait un carburant digne de ce nom. Il me refila tout d'abord un sandwich au cataral, une recette typiquement de chez lui. | ![]() |
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Mais moi je préfère le poisson alors une fois mon problème explicité. Il réfléchit durant de longues minutes durant puis se précipita vers la première bouche d'égout venue en y plongeant le bras. C'est là ou je me dis que ce type avait un talent fou, il chopa un poulpe qu'il me prépara dans un petit sandwich maison. | ![]() |
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J'en profitais pour acheter quelques autres mets délicieux de ce super cuisto qui méritait d'être connu, puis extrèmement content de moi je rentrais au nid chaud et douillet à pince. Au loin quelques manifestants matinaux s'entraînaient avec zèle pour choper des CRS. | ![]() |
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Tout doucettement je rentrais dans mon appart. J'irais chercher lundi ma meule pis j'irais revoir à l'hôtel avec du viagra si les deux souris m'attenderaient toujours. Je posais délicatement mes victuailles sur la table en disant qu'il serait de bon ton d'aérer. En effet il flottait dans l'appart une odeur de suin mélangée à celle d'un pachiderme en rut. Me déssapant, je me dirigeais à pas de velour vers le lit nuptial et vis une créature toute désséchée qui me regardait en souriant. | ![]() |
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J'hurlais de douleur devant ce terrible carnage. des pans de peau ridée pendaient ça et là à la place des formidables bourrelets qui sévissaient quelques heures auparavant. Qu'avait donc fait ma grosse caille durant mon absence, comment donc se finirait cette folle journée ? Je me précipitais fou de rage vers les toilettes pour m'y enfermer. | ![]() |
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La tête entre les mains je refusais de croire à ce que je venais de voir. Je me souvins des formidables monent ou ma dulcinée paradait sur les plages de Floride avec sa petite bouée rouge pour faire comme les sauveteurs. Nous avions fait gaffe à ne pas trop nous baigner car les requins l'avaient repérés. | ![]() |
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Même en couleur et sans sa paire de lunettes de star elle était si jolie ma dulcinée lorsqu'elle prenait des poses de starlette sur le sable. | ![]() |
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Et puis je me souvins aussi de ces copine gym si gracieuses et si douces. J'aurais rêver de faire une méga partouze avec ces créatures de rêve mais le directeur de l'hôtel nous l'avait interdit sous peine de nous facturer au prix fort les dégâts mobiliers, si c'est pas du gâchis ça... | ![]() |
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Je me souvins aussi des séances de bronzette après le petit encas de 15 heures et juste avant le petit encas de 16 heures. J'avais cet immense privilège de pouvoir leur étaler de l'écran total. J'en avais des ampoules plein la main droite à force de me précipiter aux toilettes à la moindre érection. | ![]() |
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Quel délice que de me remémorer tous ses anniversaire passés à souffler les bougies du gateau en chantant puis se délecter de crème. Le seul ennui c'est que je n'ai jamais été assez rapide pour pouvoir en goûter une seule miette. Partager la bouffe est la seule chose qui pouvait la rendre méchante et pour m'y être risqué une fois, j'ai encore des traces d'une clé au bras. | ![]() |
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La seule ombre au tableau est cet espèce d'énergumène de facteur. Cet espèce de saloupiaud qui n'attendait qu'une seule chose : que je tourne le dos pour aller lui compter fleurette. Il passait la pluparst de son temps à la faire rire et lui apportais en douce de la charcuterie. Mais comble de malheur un jour le charcutier humoriste glissa dans l'escalier sur une peau de banane qu'un innocent avait laissé traîner. Il se fracassa le crâne puis au sortir de l'hôpital il ne fut plus tout à fait le même. | ![]() |
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Et donc je me retrouvais avec ma dulcinée à passer des soirées et des week end entiers à faire et subir des sévices veloutés. Pour la saint Valentin je lui avais même acheté une layette taillée dans de la bâche de protection d'immeuble en ravalement. | ![]() |
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A un seul moment cela à claché entre nous, j'étais au troquet pour acheter de l'herbe pour mes clopes et cette grognasse n'eut pas une meilleure idée que de s'asseoir sur le capot d'une voiture en m'attendant les pupilles illuminées. La pauvre voiture fut immédiatement compressée contre un arbre. | ![]() |
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Nous rentrâmes si rapidement que lorsque que nous fûmes arrivé, en se déshabillant nous nous rendîmes compte que quelques kilos avaient fondus comme neige au soleil. Ce soir là je fus victime d'une atroce migraine. | ![]() |
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Mais cette terrible et gourmande coquine n'alla pas se coucher. Elle se servit dans le frigidaire de son légume préféré, la courgette. Des heures durant je ne pus dormir car des vibrations émanaient du canapé ou avachie elle jouait au pêcheur avec cette courgette en forme d'hameçon. | ![]() |
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Terriblement chagrinée au sujet de ma panne de la veille, dès le lendemain matin elle jeta la courgette hors d'usage et s'habilla en scout pour venir s'asseoir au bord du lit et me raconter de très belles histoires. L'amour fut plus fort que tout, nous décidâmes de partir au bord de la mer. | ![]() |
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Aussi je me souvins de toutes ces longues promenades en amoureux le long de la grêve. Il était juste difficile de se tenir main dans la main car souvent le terrain était assez meuble. | ![]() |
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Je n'avais jamais vu une femme si pudique, toujours à poil pour ne pas salir ses vêtements et pouvoir passer à travers les portes mais elle avait toujours la délicatesse de ne pas laisser paraître sa nudité par de très fins bourrelets. | ![]() |
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J'ai bien cru au hasard d'un week end à la campagne que je serais cocu, en effet elle s'amouracha d'une vache qui l'avait charmé avec sa langue rappeuse. Visiblement en manque de sel, la vache passait ses journées à la lécher, il est vrai que je ne pouvais rivaliser mais il n'y a pas eu de pénétration, je m'en suis assuré | ![]() |
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Ne voulant faire de scène stupide, je me tournais immédiatement vers le sado masochisme. Je lui rapportai une superbe petite tenue en cuir, du cuir de la vache qui justement avait tenté de briser notre union. | ![]() |
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Une seule fois j'eu très peur. En effet en visite dans un zoo, absolument tous les animaux c'étaient marrés en l'apercevant. Ni l'éléphant, ni l'hippopotame n'aient présenté d'érections significatives, elle était outrée. Nous quittâmes illico ce lieu ou les animaux ne savaient même pas apprécier la nature. | ![]() |
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Et que d'autres souvenirs encore traversèrent mon esprit. Puis je revins tout doucement sur terre et j'endendis ces doux murmures au travers de la porte. | ![]() |
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Finalement elle réussit à me rendre la raison en m'expliquant derrière la porte qu'elle avait profité de mon absence pour avaler un sac de 5 kilos de dessiquant un produit hautement déshydratant. Devant ma réaction épidermique elle me promit de ne plus faire ce genre de chose et se précipita vers la baignoire pour s'enfiler un mètre cube de flotte. Quelques heures plus tard alors qu'elle regonflait tout doucement, je me décidais à sortir. | ![]() |
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Putain de dimanche du 1er mai, quelle galère, j'avais perdu ma dulcinée toute potelée. Même pô pu copuler, oh et puis tiens, personne ne me regardais, je descendis mon falzard me dirigeant vers la créature dégonflée qui me regardait avec concupiscence mais qui avait visiblement des soucis avec son ratelier. En fermant les yeux et en pensant à ma créature de rêve envolée, le tour fut joué. Demain serait un autre jour. | ![]() |