Des tonnes de zolies histoires
Marre des femmes, vive les kufs
Je l'observais cette petite salope qui quittait mon domicile après m'avoir pompé mon pognon durant des mois. Sa vue me dégoûtait mais j'avais enfin trouvé le courage de la foutre dehors, elle avait gentiment décidé de me laisser ses tampons usagés sous le matelas. De cette façon ses bagages furent fort allégés.
  Elle m'était parvenue il y a quelques mois bien enveloppée par courrier postal. Rien à dire sauf à partir du moment ou j'ai suivi les instructions pour la réveiller, j'ai dû louper quelque chose au montage. C'est vrai en y repensant qu'à partir du moment ou il faut monter quelque chose, il y a toujours l'éventualité de foirer un boulon ou deux.
   Et c'est surtout ensuite ou de toute façon j'ai déconné. Comme je n'ai pas respecté les rations alimentaires elle a été engraissée comme une oie. Et cela à commencer à véritablement se gâter avec des exigences à la con car je la foutais régulièrement au régime.
  Tout cela à commencé par mes chaussettes. pour éviter de perdre la frangine, cette saloperie m'imposait une couture. Méthode efficace certes, jamais je n'ai eu d'orpheline mais pour marcher c'était pas trop top.
  Alors j'avais des chaussettes pour aller au bureau. Mais rapidement cela a changé, vous pouvez pas imaginer la galère pour marcher. Alors je me suis habitué à me déplacer en sautant et sans chaussures.
  Comme c'était vraiment gênant, je me suis habitué au collants réputés pour être plus extensibles. Ma tranquilité n'a duré que deux semaines.
  Puis cela à été ma moto. Déjà il fallait que j'en fasse pied nu pour ne pas abimer mes chaussettes, puis elle a exigé que je remette comme à mes débuts les petites roues à l'arrière. Mes potes tarmos ont envoyés une photo de moi à tarmo TV et j'ai été la risée de toute la confrérie.
  Puis elle n'a plus voulu que je fasse de rugby alors que mes potos avaient été vachement sympa avec moi car par solidarité ils jouaient maintenant sans chaussettes.
  Puis vint la supression du saut à la bite qui consiste à se nouer la bite à une rampe de pont et de se jeter dans le vide. C'est un sport qui gagne à être connu.
  Idem pour la chasse, alors que je passait mes dimanches après midis à taquiner le moineau avec quelques collègues de bureau, elle a cru bon de me sucrer aussi cette activité que j'adorrais.
  Un soir je me suis murgé pour avoir le courage de le faire, il fallait que je la vire. Mes souvenirs sont peu clairs mais je me suis réveillé de ce coma éthylique dans un drôle d'état.
  Il fallait donc que tout cela change : un peu d'action bordel, maintenant que la gourdasse est partie. Primo aller faire un tour à la SPA et voir ce qu'il y avait en magasin. J'ai très rapidement déchanté, tout ce qui sortait de l'ordinaire était déjà en attente de livraison, voir pré-consommé.
  Je me suis trouvé en totale otarcie sexuelle. Aucune de mes relations sachant ce que je venais de vivre ne souhaitait franchir le pas ou faire don quelques instants de sa personne. Je devais donc me sortir de mon carcan et trouver moi même la solution.
  Décidant donc de prendre le taureau par les cornes, je montais sur mon toit en calebutte pour faire comprendre à mon entourage ma solitude et mon envie de m'accoupler en ce printemps frémissant. Comme personne ne fit attention à ma requête, je décidais de mettre toutes les chances de mon côté.
  Dommage pour moi, les femmes bien qu'ultra libérées de nos jours n'osèrent m'aborder. Le premier fut un jeune flic en tournée de surveillance. Comme au départ il était fort souriant, je pensais que j'avais trouvé le partenaire idéal. Mais je déchantais rapidement lorsqu'il gara sa mécanique le long du trottoir en m'intimant de descendre sous peine de me prendre un pruneau et en appelant des renforts.
  Une fois descendu, il m'apprirent rapidement la politesse puis disparurent. Ce n'est qu'à mon réveil que je compris ce qu'il m'était arrivé et quelle jouissance j'avais éprouvée, ma nouvelle voie était donc tracée.
  Suite à cette découverte, je fis immédiatement d'autres expérience qui se révellèrent toutes concluantes. A chaque fouille je devais me retenir de ne pas pousser de petits cris de jouissance.
  Je fis rapidement le tour de ce nouveau type de relation, il me fallait des préliminaires. Et toc je me rencardais avec des potes trempant dans l'activisme. Pour se chauffer, il fallait une petite manif bien sensible.
  Ensuite un peu de corps à corps rock'n roll et je suis devenu fou de ces préliminaires qui n'en finissent pas, on se prend quelques baffes et coups de poings, après c'est l'arrestation puis si tout va bien : la fouille.
  Ma décision était prise : marre des filles, préfère me friter puis faire fouiller par les kufs, c'est tellement plus hot ces mains affairées à la tâche qui s'attardent dans chacunes des parties de votre corps.
  Par contre, gaffe si on est un éjaculateur précoce. En effet, j'ai un pote qui c'est fait fouiller par un groupe de kuf en rut et cela à rapidement tourné à la bavure. Depuis il ne s'intéresse qu'aux infirmiers, cela paraît aussi un bon compromis.
  Essayez ce type de relation et vous pourrez constater qu'une fois que la fouille est terminée tout le monde se sent bien mieux.
  Et puis il y a des variantes, certains donnent un peu dans la perversité dans l'exercice de leurs fonctions. Certains vont même jusqu'à vous faire une petite pipe, ce n'est pas désagréable et cela donne une autre dimension à la fouille.
  Ce type de relation est très facile. Par exemple dès qu'une petite envie se pointe à l'horizon de mon esprit, je sors ma bécane et fais un petit run en plein centre ville. Cela se termine toujours par une gamelle car je suis un gros nul de tarmo et me fait donc à chaque fois contrôler par la patrouille locale.
  Maintenant je l'avoue sans aucune honte, je suis flicophile.
  Mais il y a bien un truc que j'essayerais, mais la timidité m'empêche pour l'heure de le faire. Il existe des gens encore plus crétins et brutaux, Ah plus tard j'espère bien devenir militarophile.
  Cela m'excite par avance d'imaginer tout ce que ces gens peuvent vous faire...