Des tonnes de zolies histoires
Nos kopines de Saint Tropinambourg sur Kronembourg
Gros amateur de nombrils frais, j'ai longtemps profité de l'ouverture de la chasse pour attaquer comme un forcené. Les saisons passant, je me suis rendu compte que je tombais extrêmement souvent sur des poules.
 
 

Au hasard de RTT, nous nous sommes retrouvé avec mes potos dans un bled d'enfer situé entre Saint Saturnin les Bains et Goudriole les Fiotes : Saint Tropinambourg sur Kronembourg. 'Tain sacrée rivière que le Kronembourg, l'eau est super potable.

 
  M'enfin, il n'y a pas que la rivière qi est intéressante dans ce bled. En effet, coincé entre l'autoroute, le chemin de fer, la centrale nucléaire, la déchêterie et la montagne, Saint Tropinambourg regorge dans ces charmantes maisonettes, de canons de la beauté.
 
  On a tout de suite accroché et nous sommes sentit chez nous. Mais un indiscernable rejet des autochtones nous laissait penser qu'il ne serait pas si simple de s'intégrer.
 
  Cela c'est fait progressivement avec beaucoup plus de sérieux. Comme dans un magasin, on ne peut pas toucher la marchandise comme cela. D'ailleurs les rustauds veillaient avec leurs fusils de chasse et la chevrotine. Il faut être introduit dans les milieux autorisés.
 
  Une fois que nous connûmes le bonheur d'être adopté, nous accédâmes au nirvana. Nous jouissîmes de la contemplation de profils uniques.
 
  Même de face, ce fut indescriptible et inoubliable. Que d'heures nous passâmes béats, incapables de la moindre action.
 
  Fous de curiosité, nous devions savoir. A la manière de grand reporters, nous nous sommes fondus dans le décors et après quelques semaines d'observation, nous sommes en mesure aujourd'hui d'expliquer le phénomène.
 
  Nous avons percé le secret de ces créatures de rêve. Les Saintes Tropinambourgeoises attendent le printemps pour se baigner dans la rivière. Dous les cailloux elles ramassent des liposucius qu'elles se placent sur la peau. En clair elles se font liposucer par ces gentilles petites bestioles.
 
  Cette coutûme remonterait dans la nuit des temps. Quoiqu'il en soit, le résultat d'un tel traitement est remarquable. Après la séance quotidienne de liposucion elles se prélassent sur les cailloux chauffés par le soleil.
 
  Marcel n'en dort plus et en oublie même d'aller au vélodrôme. Il ne pense plus qu'à ces créatures de rêve.
 
  Une plastique surréaliste parfaite qui fait qu'avec mes potos, sommes acroc aux femmes de ce bled et nous nous y rendons dès que l'occasion se présente.
 
 

Au fur et à mesure ou nous avons établit le contact avec ces superbes créatures, nous nous sommes aussi rendu compte qu'elles se faisaient faire par un animal inconnu des anus artificiels, les gourmandes.

 
  Fin du fin, nous nous apperçûmes aussi que pour maintenir leur poitrine ferme, les coquines avaient un rocher spécialement sculpté ou elle allaient régulièrement se nicher.
 
  Plus loin, en contre-bas un objet attira notre attention mais visiblement ce sont les Saint Tropinambourgeois qui s'y rendent.